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mardi, 09 mai 2017

Banquier pour Banquier

Au point où nous en sommes, banquier pour banquier, je préfère encore Louis XX :

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21:35 | Lien permanent | Commentaires (2) | Tags : france, légitimité, louis xx | | |

samedi, 06 mai 2017

Richard Millet, chronique 131

 

La misère Macron

 

 La macronisation de la France est en bonne voie. L’unanimité s’est constituée autour de lui, comme en toute période de crise, ou de pré-dictature ; et Marine Le Pen, censée menacer des « valeurs républicaines » pourtant bien faisandées, ne fait que resserrer davantage cette unanimité. Macron est donc le nom d’une unanimité qui ne reflète nullement la « décomposition du champ politique », comme on peut le lire ça et là ; c’est même tout le contraire qui a lieu : la coalition médiatico-politique et financière se porte mieux que jamais ; elle s’adapte à toutes les situations, y compris à la mort d’une forme de bipartisme qui ne trompait personne, au sein de l’enfumage démocratique. Ne créant plus l’Histoire, la démocratie européenne fabrique de l’événementiel, en l’occurrence un prétendu enjeu, alors que Macron est d’ores et déjà président de la République, parce que le Système le veut.

            Ainsi voit-on une nouvelle clique de politicards de gauche, du centre et de droite se convertir au macronisme, applaudis par une claque d’acteurs, de chanteurs, de sportifs, d’essayistes mondains, de financiers et d’écrivassiers qui, alors qu’on est sorti du symbolique pour vivre uniquement dans l’économique, ont tous leur mot à dire sur le danger de revivre « les heures les plus sombres de notre histoire » ; on fait parler les morts, ou les demi-morts tels le Marocain Ben Jelloun qui y va de sa plume de dromadaire pour exhorter Macron à être plus de gauche, tandis que les éditorialistes font croire qu’il y a là un enjeu civilisationnel, à tout le moins un « débat », et un suspense.

            En vérité, les jeux sont faits, parce que Macron est tout ce qu’on veut : de gauche, de droite, du centre, hétéro, homo, gendre idéal, fils rêvé, intello, pragmatique, « prodige », marié avec sa mère, mais pas encore père, et tout dévoué pour finir d’évacuer l’idée de nation française dans un « espace France » ouvert au grand rut migratoire et à la soumission. Macron est vide ; mais c’est un vide sémillant, donc acceptable. Macron n’est qu’un Fillon qui a 25 ans de moins que l’ex-candidat de la droite officielle, pour qui il était impossible de voter, me dit une amie, depuis qu’on avait appris que ses discours étaient réécrits par une ordure telle que Macé-Scaron. Ce simple fait en dit long sur la décomposition morale d’une France où les musulmans s’apprêtent à voter pour Macron – raison suffisante pour ne pas le soutenir, me dit encore cette amie ; car partager un bulletin de vote avec un musulman est non seulement une faute, mais une soumission au muezzin du totalitarisme mondialisé.

            Si l’on pouvait souhaiter la victoire de Marine Le Pen (à supposer que celle-ci veuille vraiment le pouvoir, et non la puissance de l’opposition), c’eût été uniquement pour qu’il se passe enfin quelque chose : l’état insurrectionnel que ne manquerait pas de déclencher son élection, et qui amènerait un groupe d’officiers catholiques à prendre le pouvoir pour mettre de l’ordre dans un pays prostitué à l’audimat politico-culturel.

            Redisons-le : nul candidat n’a posé les vraies questions – celle qui agite en profondeur la France et l’Europe : l’immigration de masse, principalement musulmane. L’oligarchie règne toujours sur les faibles d’esprit qui constituent le « peuple », du moins ce qu’en daignent montrer les médias. Un peuple qui ne se révolte plus pour dire ce qu’il est et chasser les intrus n’est plus un peuple.

            La seule bonne nouvelle, dans ce désastre, est la découverte d’une larve capable de digérer la matière plastique. L’humanité sauvée non par la démocratie mais par une larve ? Les larves humaines devant leur salut à un ver ? Nous sommes non plus chez Macron, qui serait, lui, de l’ordre du plastique, mais chez Pascal : sans Dieu, l’homme n’est qu’une larve. Macron est le nom de cette misère.

Richard Millet, chronique 131

 

 

18:53 | Lien permanent | Commentaires (2) | Tags : richard millet, france, macron | | |

jeudi, 04 mai 2017

Conscience de Marthe Robin

Si la France n’est plus, comme c’est le cas depuis des décennies, « la fille ainée de l’Église », que mérite-t-elle d’autre que de devenir une succursale de la zone européenne chérie par le bonhomme Macron et consorts ? « Vous n'imaginez pas jusqu'où l'on descendra ! », disait Marthe Robin à propos de la France. Nous y voilà : « La France tombera très bas, plus bas que les autres nations, à cause de son orgueil et des mauvais chefs qu'elle se sera choisis. Elle aura le nez dans la poussière. (…) » 

Si la France n’est plus, comme c’est le cas depuis des décennies, « la fille ainée de l’Église », pourra-t-elle résister efficacement et longtemps à la folie de l’adhan ? Nous y voilà encore :  « La France va descendre jusqu’au fond de l’abîme, poursuit Marthe Robin, jusqu’au point où l’on ne verra plus aucune solution humaine de relèvement. Elle restera toute seule, délaissée de toutes les autres nations qui se détourneront d’elle, après l’avoir conduite à sa perte. »

Macron élu dimanche, quel que soit son score, ne suscitera aucun espoir de redressement chez les millions de Français conscients de la mascarade électorale hollandaise qui l’aura porté au pouvoir. Ils ne voulaient pas de lui au premier tour et ne le désireront pas davantage au second, même s'ils se croient contraints de voter pour lui. Marine Le Pen a dit bien des vérités sur lui hier, que le piège médiatique rendait inaudibles. Macron le fédéraliste européen dont le libéralisme débridé n’incarnera jamais rien de français, au sens où l’entendait Marthe Robin encore, qui écrivait dans son journal, le 23 janvier 1930 : « N’est malheureux que celui qui veut jouir de soi. »

Nous vivons dans ce pays depuis des décennies un temps d’indifférence à Dieu extrême. Souvenons-nous donc de ce que disait aussi la stigmatisée de la Drôme : « Aimer Dieu, le faire aimer, c’est gagner une couronne pour le ciel.Aimer la France, la faire aimer, c’est ajouter un fleuron à cette couronne. »

Mais le renouveau sera extraordinaire, prédit-elle également, comme une balle qui rebondit : « Elle sera sauvée, mais ni par les armes, ni par le génie des hommes, parce qu’il ne leur restera plus aucun moyen humain… Le Bon Dieu interviendra par la Sainte Vierge et par le Saint-Esprit : Après le nouvel avènement du Saint-Esprit qui se manifestera plus particulièrement en France, celle-ci réalisera vraiment sa mission de fille aînée de l’Église, et l’épreuve, en la purifiant, lui rendra son titre perdu. »

 

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Puissent les temps vraiment obscurs dans lesquels nous entrons avec l’élection de Macron dimanche prochain rendre à beaucoup de Français et à nous tous  le goût de la prière de cœur et de l’amour authentique pour le Christ.

04:43 | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : france, marthe robin, présidentielles | | |

mardi, 25 avril 2017

Macron, Le Pen & la falsification des signes

La présence de nombreux drapeaux français, agités dans les meetings de Macro, apparaît quelque peu loufoque : pourquoi ne pas agiter des drapeaux européens, puisque ce candidat et ceux qui l’ont placé là veulent engager l’Europe dans une voie clairement fédéraliste. Que se cache-t-il, en effet, derrière ces éléments de langage martelés en meetings :  « L'Europe nous rend plus grands. L'Europe nous fait plus forts » ?  Pour le savoir, il suffit de visiter les clauses de son programme européen, dont voici quelques extraits, avec en rouge, ce qui paraît très clairement aller contre notre souveraineté :

  1. « On oppose depuis 10 ans Europe et souveraineté. Il est temps d’affirmer que, sur les grands défis de notre époque (sécurité, migrations, commerce, numérique…), la vraie souveraineté passe par une action européenne, dans un cadre démocratique renouvelé. L’Union européenne est un outil de souveraineté sur bien des sujets ».
  2. « Nous proposerons de mettre en place un Quartier Général européen permanent chargé d’assurer une planification et un contrôle des opérations de défense européenne, en lien étroit avec les centres de commandement nationaux et l’OTAN.Nous proposerons de créer un Conseil de sécurité européen rassemblant les principaux responsables militaires, diplomatiques et du renseignement des États membres ».
  3. « Nous proposerons de renforcer et d’harmoniser la sécurité des cartes d’identité (biométrie) »
  4. «Nous proposerons de créer un budget pour la zone euro avec 3 fonctions (investissements d’avenir, assistance financière d’urgence et réponse aux crises économiques). »
  5. « Nous proposerons de créer un poste de ministre de l’Économie et des Finances de la zone euro, qui aura la responsabilité du budget de la zone euro, sous le contrôle d’un Parlement de la zone euro, rassemblant les parlementaires européens des États membres »
  6.  « Nous proposerons de créer un « procureur commercial européen », pour vérifier le respect des engagements pris par nos partenaires et sanctionner rapidement leur violation, notamment en matière sociale, environnementale ou fiscale ».

Bref, si je sais lire, cela revient à inspirer la création d’un état fédéral sur le modèle américain sur le vieux continent, et l’on comprend dès lors pourquoi, pour ce jeune Cyber Gédéon issu de « l’ordre cyber-mercantile » du « financier spéculateur » [tel que Gilles Chatelet le théorisa dans son ouvrage Vivre et penser comme des porcs en 1998] « la culture française n’existe pas.

Pour justifier ce projet de disparition de la souveraineté française, les gens qui sont derrière Macron font appel à des bons sentiments qui sont tous e pieux mensonges. Il n’est pas vrai d’affirmer que la fermeture des frontières est un repli sur soi, car l’ouverture des cœurs n’est pas l’ouverture des frontières et n’est en rien garantie par elle.  C'est ce que signifie le fameux « rendez à Dieu ce qui est à Dieu et à César ce qui est à César » de l’Évangile. C’est de plus faire peu de cas d’un Islam conquérant dont la dangerosité n’est plus à prouver.

Il est faux de croire que Macron offre la garantie d’une République unie et apaisée. Alors que l’euroscepticisme est majoritaire dans le pays, vouloir imposer un tel projet et toutes les conséquences qui en découlent, notamment sur le code du travail français, c’est prendre le risque d’affrontements sociaux qui relèveraient d’une forme de guerre civile. D’ailleurs, si Macron est élu le 8 mai, nul ne sait qui sera son premier ministre (un centriste ? un socialiste ? un membre de la société civile ?), nul ne sait avec quelle majorité il pourrait gouverner.

Ce candidat prospère sur la liquidation des héritages collectifs (les partis, les nations) : Il est le candidat de l’individualisme et du libéralisme intégral, ce qui n’est nullement garant de paix et de lien social,  mais d’une vision post nationale de l’individu tout puissant, nomade, interchangeable, inculte, dans une société où prospérera l’islam radical sans qu’aucune morale puisse lui être opposée, autre que celle des valeurs républicaines qui ne seront plus que des vœux pieux, si ce n’est déjà le cas. On peut voter Macron si l’on est résolument fédéraliste et si l’on ne croit plus à la possibilité de construire l’avenir de la France sur son histoire millénaire. Mais ne nous faisons pas passer alors pour des patriotes…

Je n'ai pas envie de polémiquer sur les sujets périphériques comme la moralisation de la vie politique, la nouvelle façon de faire de la politique ou l'âge de la potentielle première dame, qui sont autant de tartes à la crême pour divertir l'attention. Dans une telle situation, je voterai sans état d’âme pour Marine Le Pen en n’écoutant pas la propagande médiatique qui bat son plein, dans l'espoir de préserver la souveraineté déjà bien entamée de mon pays, qui est son bien le plus précieux.

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13:53 Publié dans Sur le vif | Lien permanent | Commentaires (7) | Tags : macron, le pen, élections présdientielles, france, europe, politique | | |

lundi, 24 avril 2017

Ce que signifie être macronisé

Je me souviens avoir ressenti en  2012 à quel point l'élection de Hollande serait un mal pour mon pays. Mais je n'imaginais pas que ce mal prendrait l'allure de ce mixte entre le loup de Tex Avery et  Peter Pan que j'ai vu prêt à jouir sur les écrans hier. Ce clown a déjà oublié le policier flingué à bout portant sur les Champs il y a quelques jours, et ne parlons pas des 240 victimes civiles de l'islamisme en France dont il n'a pas l'air de faire grand cas non plus.

Si j'ai entendu un politologue de service expliquer que l'extrême droite et le catholicisme représentaient des risques pour la démocratie, je n'ai pas entendu le mot Islam de la soirée, ni sur BFM ni sur france 2.

En revanche, le candidat de En Marche a tenté d'expliquer qu'il représentait du nouveau alors que tous les désistements en sa faveur, jusqu'à celui de ce décidément veule et faux dur Fillon, ont prouvé avec éclat l'existence avéré de l'UMPS et le peu de renouveau de sa candidature. Comment dire le contraire de ce qui est et nier le réel en toute obscénité : Orwell, au secours ! 

Tous ceux qui ont compris le lien intrinsèque qui unit, contre toute apparence, l'ultralibéralisme de moeurs et de marché pour les riches avec l'Islam le plus totalitaire pour les pauvres ne pourront pas voter pour Macron. Ils n'ont désormais d'autres solutions que de voter massivement pour Marine Le Pen, à moins de consentir à une mutation culturelle égale à la transformation des hommes en rhinocéros chez Ionesco, ce à quoi personnellement, je ne pourrai me résoudre. 

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03:57 Publié dans Sur le vif | Lien permanent | Commentaires (2) | Tags : macron, le pen, france, présidentielle, rhinocéros, ionesco, politique, littérature | | |

dimanche, 09 avril 2017

Les rameaux de la République

Cette entrée à Jérusalem sur une ânesse, le peuple juif, encore impressionné par la reviviscence de Lazare, la confond avec un moment de liesse en battant le sol de rameaux, et ne se doute pas qu’elle correspond à une entrée en Passion, dont la violence extrême marquera les siècles en lui révélant la source de son péché et en le marquant d’un sceau indélébile. Car c’est la vérité d’un repentir que le Père attendait de chacun de ses membres en ordonnant ainsi le sacrifice de ce Fils qui est Un avec Lui, la simple vérité du repentir et non pas le seul remords ou la soudaine bonne volonté.  Membre par membre, ce peuple devait offrir à la Trinité son péché le plus intime contre le Père, le plus injuste devant le fils, le plus consentant devant l’Esprit.

Or cette entrée dans la Passion correspond cette année en France avec une entrée dans une parodie d’élection ; pas de quoi se réjouir ni de battre au sol des rameaux : la France ne se doute pas que les temps de violence extrême dans lesquels elle entre sont aussi ceux de sa Passion, qui lui révélera aussi l’étendue de son péché. Car c’est bien aussi la vérité d’un repentir que le Père attend de chacun de ses membres en ordonnant la continuité de son abaissement politique à travers la mascarade des urnes. Membre par membre, ce peuple, qui oublia collectivement son baptême dans l’ivresse du blasphème républicain, devra subir sans aucun doute de multiples outrages et de multiples humiliations, jusqu’à offrir au Père la confession de son plus vain orgueil, au Fils celle de son plus veule abandon, à l’Esprit celle de sa plus vive  erreur.

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08:07 Publié dans Là où la paix réside | Lien permanent | Commentaires (2) | Tags : rameaux, christ, jérusalem, france, élections, présidentielles, république | | |

jeudi, 30 mars 2017

Fillon président

Les Français qui ont des enfants, des assurances vies, des prêts en cours, des vacances à prendre en juillet ou en août, des études à terminer, une retraite à préparer, dans leur grande majorité, aiment l'ordre. Comme disait je ne sais plus qui, ils n'apprécient l'aventure que dans les Trois Mousquetaires. Ils possèdent en propre une passion du politique certes tonitruante, mais essentiellement verbale et, quand leur confort intellectuel ou leur sécurité matérielle sont un chouya menacées, ils reviennent docilement à ce qui leur paraît le moins risqué : voilà pourquoi je suis certain que le prochain président sera François Fillon. Ils lui pardonneront, vous verrez, les costumes, la montre et le salaire d'appoint de Pénélope puisqu'il est le seul à avoir un programme, un parti en ordre de marche, des élus locaux bien implantés et donc une majorité quasiment assurée au Parlement (il la possède déjà au Sénat). Il sera au second tour face à Marine Le Pen et passera, vous verrez, le second, avec le soutien de ces fameux beaux parleurs de la gauche des centres ville que Marine horrifie et qui iront glisser leur bulletin dans l’urne avant la fermeture des bureaux. On évitera ainsi une crise de régime assurée avec le spécialiste de géographie guyanaise et une crise sociétale avec la fausse dame de fer du front national. Et cela ne manquera pas de piquant, le soir du deuxième tour, de voir les Ruth Elkrief, David Pujadas, Roland Cayrol et autres Laurent Joffrin nous expliquer d'un air hypocritement soulagé que, finalement, le pays aura bien voté....

20:47 | Lien permanent | Commentaires (7) | Tags : présidentielle, président, françois fillon, france, élections | | |

dimanche, 19 mars 2017

Structurellement déséquilibré

Au marché ce matin, une jolie femme me tend un tract sur le programme de Macron. Après le matraquage médiatique subi à mon insu à chaque fois que mes yeux se posent sur un écran, ça sort de moi tout cuit, comme c'est en vérité : "Quelle horreur !" Elle a l'air surprise. Un type qui vous dit qu''il n'est ni de gauche ni de droite, que la culture française n'existe pas, qu'il n'a jamais vu l'art français, qu'il est populiste et anti système, tout en allant draguer Merkel, j'en passe ! Ce type est selon moi structurellement déséquilibré, et je ne peux que me désoler qu'il trouve quand même une fille mignonne comme elle pour perdre son samedi matin à tracter sur les marchés pour son discours attrape tout.  Tête vide, buse lamentable, quel gâchis ! Elle aussi, semble-t-il, structurellement déséquilibrée. Si ce type se retrouve à l'Élysée après le second tour, c'est ce que je me dirai : le pays tout entier est majoritairement structurellement déséquilibré, et il n'y aura plus qu'à prendre le maquis comme d‘autres en leur temps, ou aller vivre ailleurs.

charlie hebo,présidentielle,macron,en marche,france

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samedi, 04 mars 2017

Le culte des allégories est mauvais pour la démocratie

Juppé , ex-favori des sondages qui s'est ramassé aux primaires, leur meilleure carte pour "faire barrage" , anonnent-t-ils ! S'ils trouvent encore un seul électeur de droite pour aller voter Juppé contre Macron, quand l'opportuniste Bayrou leur aura démontré que c'était la même ligne, et presque la même loge, ils seront forts ! Un parti qui a fait cracher 16 briques aux Français durant les primaires, dont les électeurs ont choisi le candidat, lequel a ses signatures avant tous les autres, et qui se plie aux injonctions du prétendu "ennemi de gauche" en leur balançant dans les gencives celui-là même qu'ils croyaient avoir enfin écarté !... C'est comme le traité rediscuté en coulisses après le référendum de 2005 : on ne voit ça que dans le pays des droits de l'Homme, assurément. Et tout ça pour une prise de position personnelle de principe dudit candidat contre l'avortement, et un engagement politique sensé et courageux contre l'Islam, lesquels dérogent à l'infernale doxa maçonnique qui étrangle le pays ! Le Grand Orient exulte et la Grande Loge de France applaudit à tout rompre ! Ils peuvent, c'est certain, adorer leurs allégories de paiens déifiées, qu'ils auront corrompues à loisir, et répéter à l'envi que la culture française n'existe pas !
Toute cette caste politico-judiciaro-mediatique se rend-elle compte qu'elle ne laisse le choix à des millions d'électeurs qu'entre Marine Le Pen et la rue ?

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Ci dessus : Allégorie de la justice, hospice Comtesse, Lille

08:19 Publié dans Sur le vif | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : juppe, fillon, les républicains, france, socialisme, franc maçonnerie, justice, grand orient | | |