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vendredi, 01 juin 2012

Et toi, tu es de gauche ou de droite ?

SI être attaché à la transmission de la  culture dite classique, y compris – en Europe – celle du catholicisme, si se battre en vain pour qu’un patrimoine historique comme l’ Hôtel Dieu de Lyon ne devienne pas un hôtel de luxe du groupe Eiffage, c’est être un vieux réac de droite voire un facho alors je suis un vieux réac de droite et un facho.

SI s’opposer au principe d’endettement des Etats par la loi de 1973 ou au traité de Lisbonne qui, de Pompidou à  Hollande, a été accepté par tous les présidents de la République sans exception, si protester en vain sous formes de textes de toute nature contre la privatisation éhontée de la monnaie commune, c’est être d’extrême gauche, alors je suis d’extrême gauche.

Si  comprendre le fait que les plus pauvres commencent à flipper de se sentir sans la protection souveraine de leur monnaie historique et de leur frontière nationale et votent Le Pen en nombre croissant face à des marchés dérégulés, des états impuissants et des élites qui se foutent ouvertement ou normalement de leur gueule , c’est être lepéniste, alors je suis lepéniste.

Si critiquer les formes technologiques du divertissement de masses parce qu’on voit  trop à quel point elles servent de rempart contre la transmission de la culture universelle tout en étant attaché à la liberté de chacun, qui se revendique de plus en plus d’une communauté spécifique et des formes technologiques de divertissement, c’est être en contradiction avec soi-même, alors je suis en contradiction avec moi-même

Si considérer que des formes d’artisanat et de pensée reléguées aux oubliettes par le tout technologique furent des facteurs de civilisation autrement plus efficace que l’égalitarisme postmoderne, le consumérisme passif et le multiculturalisme mercantile, c’est être un nostalgique dépressif, alors je suis un nostalgique dépressif.

Si refuser la confusion entre la morale et le fait politique, et admettre qu'il n'y ait pas de solutions miraculeuses à tous les problèmes que soulèvent la nature humaine et le monde moderne, tout en continuant à les soulever, c'est être un contradicteur inutile ou un fataliste déprimé, alors je suis un contradicteur inutile et un fataliste déprimé. 

Enfin si mettre sur le même plan la démagogie des racistes et celle des antiracistes, qui entretiennent un débat médiatique et juridique incessant sur les valeurs des uns ou les valeurs des autres, si dénoncer les discours sur la repentance comme ceux sur le révisionnisme, l’indignation militante ou l’intégration citoyenne, comme des moyens pour les gouvernants d'éviter de soulever la question économique, c’est-être un inconscient voire un salaud, alors je suis un inconscient voire un salaud.


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Photo de Jules Sylvestre

00:00 Publié dans Sur le vif | Lien permanent | Commentaires (25) | Tags : politique, france, europe, lyon, société, littérature | | |

Commentaires

Ce texte me semblant - à tort ou à raison - être un écho à " Toujours les mêmes erreurs", je ne puis, au risque d'être lâche, me dispenser d'y mettre un commentaire.
Dire que vous n'aviez jamais été, depuis janvier 2012, au moins été aussi clair.
On ne peut effectivement qu'opiner du chef à vos synthèses des conclusions d'apparence contradictoire.
La charge s'équilibre. Elle n'est plus, ici, charge détestable par son parti pris du sens unique.
Dommage qu'elle intervienne un peu tardivement.

Écrit par : Bertrand | vendredi, 01 juin 2012

A Bertrand
Moi, ça fait peu de temps que je viens sur le blog de solko. Et, j'ai tout de suite compris quelles étaient ses opinions.
Je ne suis ni de droite ni de gauche, mais vous, vous avez réfléchi avec votre cerveau de gauchiste bien joli, bien pensant comme beaucoup de votre bord et j'en connais!

Écrit par : Anne D. | samedi, 02 juin 2012

Pardonnez-moi, Bertrand, si je donne l'impression d'intervenir dans votre querelle avec Roland, mais pour ma part, j'ai toujours lu Solko ainsi ; et du coup, je ne serais pas loin de trouver cette mise au point superfétatoire si elle n'était pas si claire, finalement, et bien écrite.
Evidemment, tel billet isolé, ou telle suite de billets réagissant à l'actualité (parler ici des risques divers liés au fait parfois de vouloir "trop" coller à l'actualité et partant, de se mettre à son rythme, d'ajouter du commentaire, même intelligent, à des informations dont le recul fait assez comprendre qu'elles ne méritaient pas une ligne, sans parler des réactions à chaud que cela peut susciter, jusqu'à l'effet boule de neige qui nous éloigne fatalement du point où nous voulions rester, serait faire une trop longue digression)peut donner l'impression que Solko s'est en quelque sorte effondré, que l'équilibre est rompu, la bascule opérée... C'est le risque, oui ; mais n'en pas prendre est certainement, quoique sur un autre plan, plus grave; et le risque de n'être pas compris est inhérent toujours, me semble-t-il à l'acte même d'écrire. Mais il ne faut pas oublier en somme dans quel ensemble et dans quelle logique d'ensemble, faite de plusieurs années de travail, s'inscrit ou tel billet, ou telle suite de billets.
Et aussi que nous, lecteurs, non moins que l'auteur, sommes possiblement sujets à de grandes variations aussi, à de grands espoirs et de grandes illusions qu'il peut en effet être douloureux de voir "douchées" en quelques lignes par un qui ne "s'est pas mis dedans".
Bon, j'arrête là, pardon pour la longueur.

Écrit par : Pascal Adam | vendredi, 01 juin 2012

Franchement,merci pour le "superfétatoire".

Écrit par : solko | vendredi, 01 juin 2012

@Bertrand : j'avais écrit le 24 avril, sur mon blog, qu'à l'endroit de Solko vous étiez "injuste" et 'mauvais lecteur". Celui-ci n'a nullement besoin de moi pour se défendre. Mais ce rappel fait écho à votre cécité outrancière qui s'est déversée ces dernières semaines envers lui, envers moi aussi. Que vous reconnaissez enfin ce qui n'a jamais été autrement peut rassurer (enfin, qui, au fond ? tant il y a de dérision dans cette affaire) ; ce qui rassure moins c'est l'injure comme vous l'avez pratiquée chez vous ou sur d'autres blogs pour en arriver là.
Que vous ayez confondu entre temps (et ce temps fut long, je trouve) une pensée (et vous vous trompiez) et sa manière d'écrire m'a sidéré. Il ne me semble pas que la dureté de l'affrontement l'ait poussé, lui, à vous passer à la trappe. De même pour moi : vos insultes et votre grossièreté, aussi outrancières aient-elles été, n'effaçaient nullement ni ce que vous écrivez par ailleurs, ni comment vous l'écrivez. Pour le reste, nous ne nous connaissons pas...

@Solko : vous savez qu'on dirait presqu'un programme (auquel 'j'adhère évidemment) ! Dans ce cas, je connais une directrice de campagne, amatrice de bière blonde, qui serait parfaite. Moi je veux bien assurer la com'. Enfin, je dis ça, je dis rien.

Écrit par : nauher | vendredi, 01 juin 2012

Je peux adhérer à ce que dit Pascal : l'écriture est une tentative d'exposer sa pensée et sa vision ressentie du monde, cette vision et cette pensée ne sont pas cohérentes, forcément, puisque le monde ne l'est pas et marche à coups de contradictions renforcées... Il y a donc des moments contradictoires, des moments engagés dans telle direction et des moments dans une autre...Rattacher l'écrit séparé à un tout, donc.
Admettez cependant qu'il y a de ces moments qui sont franchement outranciers et semblent falsifier tous les autres. Les rayer. L'écriture s'emporte et bascule du côté de l'idéologie. Les commentaires en rajoutent, ceux que satisfait cette accumulation de partis pris à sens unique, et la boule de neige ne s'arrête plus de dévaler la pente. J'en veux pour preuve que les lecteurs-commentateurs de "ces billets de campagne" ne sont pas les habitués, à part quelques-uns, des lecteurs-commentateurs habituels des textes littéraires de Solko.
Toute réaction contradictoire est donc permise au lecteur. Ce que j'ai eu envie de dire à Solko, c'est cela : Stop ! On a compris ! Pas la peine d'en rajouter ! Je l'ai dit avec colère. Tant pis ! Je ne fais pas amende honorable ni ne cherche à me réconcilier avec quiconque.

Par contre, vous, Nauher, votre contribution ressemble plus à un procès qu'à une véritable explication de faits. A propos d'insulte, revoyez votre titre : "Amnésiques de gauche".
C'est à partir de là, je crois, que les choses se sont gâtées.
Parce que, je m'y suis senti visé, forcément, n'étant que peu amnésique et pas de gauche pour un poil de mon cul pourtant, dans l'acception courante de cette vile expression.
ALors ,à propos de confusion et de mauvaise lecture de l'autre, je crois qu'on peut se serrer la main.
Appliquez donc à vous-même vos conseils de modération du langage. Il y a des insultes crues, les miennes, et des insultes policées, les vôtres. Toutes se valent.

Écrit par : Bertrand | vendredi, 01 juin 2012

Nous sommes un petit groupe de blogueurs à commenter comme cela chez les uns chez les autres. Mais l'espace de nos blogs n'est pas un espace réservé, nous n'avons pas nos chaises chez les uns chez les autres et les débats que nous tenons sont ouverts. Sinon, il y a les mails privés.
Je continue de penser qu'une ré-élection de Sarkozy eût été préférable à celle de Hollande pour une raison simple : Sarkozy incarnait clairement aux yeux de tous "le président des riches" celui du traité de Lisbonne. Hollande et les siens font mine d'incarner autre chose,je ne sais quelle normalité alors qu'il est du même bord. Ce n'est pas du changement, c'est de la diversion. Heureusement cela ne durera pas longtemps. Pendant ce temps là,les spéculateurs auront gagné du temps.
Ayant dit cela, je n'ai certes pas dit grand chose mais ne reconnais à personne le droit de me juger et de m'insulter.
Quant aux débats sur les mains propres ou les mains sales, la parole qui dérape ou celle qui ne dérape pas, ils sont d'un autre âge et d'un autre temps. Le temps où il y avait justement des lignes officielles, des paroles dictées par des partis, des idéologies régnantes, des procès d'intention et des exécutions punitives.

Écrit par : solko | vendredi, 01 juin 2012

@Bertrand : "parce que je m'y suis senti visé, forcément". J'aime le "forcément". On ne dira jamais assez la puissance désastreuse des adverbes.
Je ne crois pas qu'on puisse se serrer la main, vraiment pas...
"des insultes crues" : vous ? Je croyais seulement que vous rectifiiez des inexactitudes, et des approximations et redressiez dans le bon sens la droitisation poujado-lepéniste de certains. Mais il est vrai que vous étiez en colère et la colère chez vous excuse tout.
Et pourquoi Solko n'en rajouterait-il pas ?
"Admettez cependant qu'il y a de ces moments qui sont franchement outranciers et semblent falsifier tous les autres." Pauvre gamin pris les mains dans le pot de confiture... Comme vous m'avez assimilé à la chienlit fasciste et plus (avec votre ami Tanguy...), je me permets de vous dire que pour ma part je n'admets rien, et surtout pas cette rhétorique du "j'avais quand même des raisons de m'énerver...".

Mon intervention ressemble plus à un procès : cela vous gêne ? "amnésiques de gauche" : je persiste et je signe.

Écrit par : nauher | vendredi, 01 juin 2012

Il m'apparaît clairement en lisant les deux commentaires que se "serrer la main" est compris de la même façon. Enfin peu importe. Pas envie de faire la police des mots, mais des "insultes" qui, lâchées de vive voix à la sortie d'un bar, seraient sans conséquence prennent un poids absurde en demeurant écrites. J'ai donc effacé certains commentaires.

Écrit par : solko | vendredi, 01 juin 2012

Ce billet ne fait confirmer ce que nous savions déjà: Solko se situe au-delà des partis. Pour le reste, je condamne aussi les infiltres qui ont fusé ici et ailleurs.

Écrit par : Jérémie | vendredi, 01 juin 2012

Erratum: insultes.

Écrit par : Jérémie | vendredi, 01 juin 2012

Il est difficile de commenter un tel texte. Je ne m'en sens pas capable, alors pourquoi écrire ? Parce que des mots me touchent, parce que c'est intelligent, habile, un peu trop parfois. Aimer le patrimoine pour ce qu'il nous apprend et tout simplement parce que c'est beau, ce n'est ni être nostalgique, ni réac, ni de droite, aucun rapport. Las cathédrales gothiques ou romanes sont des monuments, des lieux de culte qu'on a le droit d'aimer et d'admirer même si on n'est pas croyant.

La culture telle que nous l'entendons, (l'entendions ?) en France, une particularité qui fait rire hors de nos frontières, parait-il, dans ces pays où la seule chose qui compte ce sont les connaissances permettant d'être productif et de gagner et faire gagner de l'argent. Le déplorer n'est ni de droite ni de gauche.

Qu'on se soit fait rouler dans la farine par l'Europe, le constater et s'en désoler, ce n'est pas non plus être de gauche extrême, c'est simplement se rendre compte que cette belle idée a été complétement dévoyée et que l'Europe n'est rien puisque la rivalité règne en maître entre ses membres, une famille à la Mauriac dans laquelle on se hait et se déchire.

Aimer l'artisanat, souffrir de voir les artisans considérés comme des archaïsmes, oui, ça peut conduite à un sentiment de dépression.

Penser que la politique ne réglera aucun problème, que les mesures prises sont cautères sur jambe de bois, d'accord aussi.

Mais être lepéniste, ça jamais, jamais.

Écrit par : Julie des Hauts | vendredi, 01 juin 2012

Bien d'accord avec vous Julie! :)

Pas besoin d'être Lepéniste pour flipper! Je n'ai jamais été sarkozyste, et encore moins hollandiste, et je flippe oui!

Écrit par : Sarah. S. | vendredi, 01 juin 2012

@ Julie : Ce texte vous touche non pas parce qu'il serait "habile",mais parce qu'il rend compte d'un vécu.Ce n'est pas moi, vous vous en doutez bien, qui assimile la défense du patrimoine à de la nostalgie ou au fait d'être "réac". Ce sont des bons socialistes, dont certains/certaines sont élu(e)s de Gérard Collomb qui vous le disent lorsque vous leur rentrez dans les plumes à cause de ce projet insensé que fut le bradage du plus beau bâtiment de la ville au groupe Eiffage. Imaginez si Sarkozy avait fait ça ? Que n'a-t-on entendu à propos de La Princesse de CLèves, chez ces mêmes gens. Après tout Sarkozy n'en a pas ôté une phrase, abîmé un mot, ce ne sera pas le cas des malheureux planchers et des magnifiques boiseries de l'Hôtel-Dieu. Sans parler de la dimension symbolique qui est celle qui fait le plus de dégât. Honte à Gérard Collomb, je persiste et signe
Ceci n'est qu'un exemple parmi tant d'autres de l'arnaque idéologique et de la bétise de ce que fut l'anti-sarkozisme", à la hauteur exact du "sarkozisme", à vrai dire.

Quant aux mesures politiques, oui, augmenter une allocation de rentrée de 20 % c'est une mesurette. Comme embaucher quelques profs, ça ne changera rien à la vie des gens.
Mais décider de quitter l'euro, abolir la loi de 73, rendre à la BdF sa souveraineté, ce serait une vraie gouvernance. Et qui peut dire de quel côté de l'échiquier politique serait cette mesure de reprise en main du pays, au sein de ce naufrage général qui ne profite qu'à des spéculateurs ?

Écrit par : solko | vendredi, 01 juin 2012

Que Gérard Collomb soit un iconoclaste n'a aucun rapport à mon avis avec le fait qu'il soit socialiste. Mitterrand était plus cultivé que Sarkozy, je pense que personne ne peut dire le contraire. La princesse de Clèves, du pipi de chat, en effet, ceux qui ont daubé sur cette phrase maladroite n'ont certainement pas lu le livre.

Le problème de Sarko c'est qu'il faisait semblant de mal parler pour faire peuple, mais le peuple n'attend pas d'un chef d'état qu'il parle comme un cochon.

Je suis désolée de voir qu'on place les gens dans des cases et qu'on les juge en fonction de leur étiquette politique. L'homme ne se résume pas à ça, pas plus qu'à la marque de sa montre ni à sa sexualité.

Écrit par : Julie des Hauts | vendredi, 01 juin 2012

Pour revenir sur les mises à l'index de Solko, Nauher et d'autres (dont moi)...

J'adore ces gens qui se disent être de gauche, ou n'être pas socialistes, faire preuve de sectarisme en insultant ceux qui ne sont pas de leur avis. En outre, contrairement à leur esprit de tolérance affiché, ils montrent que c'est "vraiment pas beau" d'avoir des positions "poujadistes", "réac", "droitières" sur certains sujets ; mais au nom de quoi, bon dieu ?!

Heureusement que le ridicule ne tue pas : il y a deux ou trois blogs qui seraient obligé de fermer. Quand on lit des billets sur ces pitoyables pages nombrilistes, on a l'impression de surfer sur des cahiers d'adolescents exaltés, découvrant la politique et pratiquant donc le militantisme idéologique d'emblée à la manière de petits Saint-Just ou Robespierre : la main sur la Guillotine de la pensée unique, outrancière et sectaire.

Les insultes en guise d'arguments : le degré zéro de la réflexion.

Écrit par : Jérémie S. | samedi, 02 juin 2012

Pour moi ce n'est pas tant l'injure qui est blessante, que le jugement de valeur qui est derrière, et qu'on se croit tout à coup autorisé à livrer sur quelqu'un, au nom de quelle grandeur de soi supposée ?
Mais comme le fait remarquer Nauher, il y a beaucoup de dérision dans cette affaire. Il y a 1219 notes sur ce blogue, d'autres sujets d'intéret et pour moi l'incident est clos

Écrit par : solko | samedi, 02 juin 2012

"pitoyables pages nombrilistes" "cahiers d'adolescents exaltés" "pensée outrancière et sectaire"......

Qui insulte là ?

Écrit par : Julie des Hauts | samedi, 02 juin 2012

Je vous dirai la même chose qu'à Jérémie : il y a beaucoup de dérision dans cette affaire. Il y a 1219 notes sur ce blogue, d'autres sujets d’intérêt pour laisser des commentaires et pour moi l'incident est clos

Écrit par : solko | samedi, 02 juin 2012

L'incident est peut-être clos, mais je tenais à résumer ma pensée.

Ce ne sont pas des insultes, Julie, mais des constatations : je ne ferai pas de liens explicites avec les blogs concernés. Chacun comprendra.

Écrit par : Jérémie S. | samedi, 02 juin 2012

A la lecture de ce billet, je m'aperçois que je suis solkiste ! A quand l'ouverture d'une école de philosophie sur le modèle du Portique ou du Lycée ? :)

Toutefois je perçois que ce billet est une mise au point nécessaire face à quelques critiques. Je suis dans le vrai ? Je ne suis pas toujours le feuilleton des commentaires....

Écrit par : Upsilon | samedi, 02 juin 2012

"Solkiste" ! Excellent. Solkiste moi itou, donc. :)

Écrit par : Sophie K. | samedi, 02 juin 2012

Oui, je me suis fais allumer à force de gratter le cul des socialistes de manière trop univoque. Je les ai vus venir de si loin avec leur stratégie de l'anti-sarkozismen ceux-là, et leur com' tout terrain de la normalité...
Solkistes, dites-vous ? Le problème, c'est que le parti solkiste ferait PS en sigle, ce qui me dérange un peu !
Sinon, une libre école de commentaires, oui ce serait sympathique.

Écrit par : solko | samedi, 02 juin 2012

Ces socialistes, toujours à faire des leçons de morale à tout le monde sans regarder le tas de fumier sur lequel ils sont assis... Surtout notre Gérard, très vindicatif en ce moment contre Meirieu dans ma circo.

Écrit par : Upsilon | dimanche, 03 juin 2012

Et cette immonde hypocrisie fait qu'on leur pardonne moins qu'à d'autres leurs écarts. Et c'est bien normal au fond, tant pis pour ceux qui ne veulent pas l'admettre. Je ne me suis jamais gênée pour étriller tant les gauchos que les droitos, ce qui m'a valu d'être traitée tantôt de facho, tantôt de bolchevik, et je m'en fous. Et maintenant que les gauchos sont au pouvoir, je me prépare un bon stock de bois vert!

Écrit par : Sarah. S. | dimanche, 03 juin 2012

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