lundi, 13 avril 2020
"L’espoir renaît", dit Macron
Cette façon de nous associer à son mensonge, d’un ton sataniquement doucereux : « Nous ressentons tous l’angoisse… » Moi non, franchement, j’ai ressenti la violation de ma liberté, la privation de l’Eucharistie, la foi en Christ qui ne m’a pas quitté, le mensonge d’état et la turpitude républicaine… Mais pas l’angoisse, non, désolé blondinet.
J’attends en écoutant tout le blabla de ce président holographique qui dit « nous, nous, nous… », pour qui je n’ai pas voté, qui ne me représente en rien, ni mon pays, ni ma culture, ni ma religion… De ce ton, donc, sataniquement doucereux, il égrène ses lieux communs, puis il dit «j’ai demandé, j’ai décidé» Il joue au décideur alors qu’il n’est qu’un valet de pied qui parle de suivre des règles, en qui tout sonne faux. Il parle de «dévouement» quand il faudrait parler de «servitude»
«Le système est sous tension et l’épidémie n’est pas maîtrisée». dit-il. Pourtant il précisera plus tard (c’est la seule fois où il dit la vérité ) « très peu de Français ont contracté le virus » Nous attendons la date. Elle vient enfin : Le 11 mai… Pourquoi cette date ? Qui lui en a donné l’ordre ? Que représente-t-elle dans la symbolique maçonnique de l’Etat profond ?
Il nous présente comme un progrès le fait d’être bientôt partout testés, de nous promener avec des masques dans les rues après avoir applaudi le vide à 20 heures sur nos balcons. Ubuesque :. « Le gouvernement nous présentera l’organisation de notre vie quotidienne… », dit-il sans rire.
« en toute humilité, toute franchise ».
Bâtir un nouvel ordre, donc, à partir du chaos semé au préalable. Nous le savions. De la pure propagande.
« Prenez soin de vous » ose-t-il dire à la fin…
Dont acte...
20:53 Publié dans Sur le vif | Lien permanent | Commentaires (0) |
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