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mercredi, 22 janvier 2020

Depuis plus de deux siècles, la France est malheureuse...

En donnant aux hommes et aux femmes une simple déclaration désincarnée de leurs droits pour établir une éthique commune en lieu et place des Dix commandements, la République a trompé le peuple. En lui jetant à la figure un slogan utopique comme Liberté Egalité Fraternité à adorer en lieu et place de la vivante sainte Trinité, la République lui a menti. Enfin, en ordonnant de guillotiner son roi, la République l'a blessé profondément, et pour longtemps.
Car le sentiment monarchique est un sentiment naturel pour l'homme et la femme, qui leur permet de goûter à une vertu principale, celle de l'obéissance assumée à un souverain incarné. Les gens déboussolés d'aujourd'hui obéissent à leur désir de consommation, à leur besoin d’idolâtrer, à des opinions toutes faites et des conditionnements grossiers, à des idéaux en kit, à des passions confuses et des désirs inconstants. Cela donne ce qu'on voit se promener en zigzags dans nos rues, un smartphone à la main ou une trottinette au pied...

L'homme sans roi est en tout point comparable à l'homme sans Dieu : il veut être libre et n'y parvient jamais, parce qu'il a rompu avec l'histoire de son commencement, qu'il n'en sait plus l'exact déroulé et qu'il ignore donc où se trouve sa place. Pour être libre, il faut connaître sa place, et la place de l'homme, quoi que son orgueil en pense, se découvre dans l'obéissance. Parce qu'il n'a plus de roi et qu'il ne peut plus obéir, le peuple est blessé de ne savoir à qui obéir et s'invente des royautés de pacotilles, des loyautés de fiction, des conquêtes de vent.
Mais seul le sentiment monarchique comble vraiment cette nécessité que nous avons d'obéir durablement et d'être loyal profondément.

Tout à l'heure, dans le recueillement de la messe pour le roi-martyr, je songeais à ce torrent impétueux, débridé, satanique du libéralisme qui entraîne notre société - sa jeunesse- dans une charrette de la mort, véritablement. Et je voyais clairement que le péché principal de cette poignée de républicains maçonniques qui décapitèrent Louis XVI est un péché de désobéissance. Et que le péché du peuple fut en grande partie un péché d'ignorance...
Etre républicain, c'est se condamner à la régression infantile et la déception politique à perpétuité. Depuis deux siècles, la France est malheureuse. Et je ressentais cette blessure en moi comme je la voyais dans ce malheureux peuple de France errant dans la nuit de son infortune à la recherche de solutions technologiques, idéologiques, économiques, politiques, écologiques, médiatiques, identitaires, nationalistes ou internationalistes, à ce mal qui le ronge depuis deux siècles, qui est au sens propre comme au sens figuré d'avoir perdu toute majesté... Et pour tant de désobéissance, érigée en constitution, en morale, en religion presque, je demandais pardon...

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13:16 Publié dans Là où la paix réside | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : république, franc-maçonnerie, france, peuple, louis xvi, monarchie | | |

lundi, 13 janvier 2020

Frédéric Fromet est un pédé

Frédéric Fromet est assurément un pauvre pédé. C'est tout ce qu'on apprend en l'écoutant. Il ignore à coup sûr la malignité, la férocité et la voracité occulte du pouvoir LGBT dont il sert les intérêts, soit par perversité, soit par stupidité, soit pour des raisons plus bassement matérielles. Comme il ignore la justice et la miséricorde du pouvoir de Dieu qu'il provoque aussi aveuglement.
Dans un Etat qui ferait encore un usage rationnelle de la liberté d'expression, il serait tout simplement mis hors d'état de nuire par l'indifférence générale des citoyens. Cependant, dans une société qui fait du scandale gratuit et de la provocation vaine une marchandise, de la dévastation des esprits une politique et de la haine de soi un mode d'être, ce pauvre pédé et sa ridicule pantomime sont érigés en modèle de la mondanité ironique dominante, de la culture d'état où tout est inversé. C'est ce qu'on appelle être "en marche".
L'époque, dans sa totalité, est à vomir. Mais toutes les prophéties nous le disent : la France qui a corrompu l'univers par son apostasie va encore descendre bas, très bas. La Vierge ne peut effectivement plus retenir parmi nous le Bras de Son Fils, voilà pourquoi ce genre d'énergumènes qui ne mérite même pas l'intérêt de trois gamins dans une cour de récréation plastronne au sommet de l'affiche. Mais cette chute est le prélude à un redressement qui s'opérera dans le secret, lentement, par la prise de conscience de chacun de l'ignominie d' un tel spectacle, et un retour de chacun à la raison tout d'abord, au Saint-Esprit ensuite...


13:20 | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : frederic fromet, france inter, lgbt, propagande, provocation | | |