mardi, 15 juillet 2014
La peau du normal
Faut bien reconnaître que Sarkozy avait souvent un parler et des manières de marchand de tapis. Mais devant la beaufitude de son successeur, il va finir par ressembler à un prince de sang...
20:34 Publié dans Sur le vif | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : hollande, quatorze juillet, allocution, élysée, présidence normale |
mercredi, 02 juillet 2014
Les limites de l'anti-sarkozisme
Pas envie de commenter l’intervention de Sarkozy dont je n’ai entendu que des bribes. Juste ceci : en France, donc, tout le monde serait pourri : les commerçants seraient des voleurs, les politiciens des salauds, les hommes d’affaires des véreux, les instituteurs et les curés des pédophiles, les profs et les chômeurs des fainéants, les avocats des baveux, les sportifs des dopés, les CRS des SS, les journalistes des menteurs, les patrons des exploiteurs, les pharmaciens des charlatans, les médecins des assassins... Mais, par une sorte de miracle républicain inexpliqué, les juges (spécialement ceux de gauche, ou écolos) seraient probes. L'intégrité faite chair ! C'est, semble-t-il, ce qu'on veut nous faire croire chez François et Manuel, qui ne jurent plus que par leur indépendance.
Je n’ai jamais eu affaire qu’indirectement à la profession, mais cela m’a suffi pour me faire ma petite idée. Car s’il est un lieu où les réseaux sont puissants, c’est bien au Palais– et pour cause: Les réseaux ne vont pas perdre du temps à infiltrer les milieux bouseux. Or l’apparente probité janséniste, érigée en mode de gouvernement, derrière laquelle Hollande cache son cuisant échec à l'Elysée, prétend le contraire. La justice propre,donc. Rions donc avec monsieur Petites Blagues, et faisons confiance !
L’antisarkozisme a été la seule arme de Hollande pour s’emparer du pouvoir. L’avantage, c’est que cela a suppléé un temps à son dramatique manque de charisme – et d’efficacité –. L’inconvénient, c’est que cela le positionne éternellement par rapport à ce prédécesseur dont il a besoin, à moins de n' exister vraiment qu’en creux. Hollande est resté un second couteau, même dans la victoire.
Aujourd’hui l’antisarkozisme ne suffira donc pas à mobiliser des troupes de gauche dispersées et de plus en plus rebelles; quant au sarkozisme, il aura du mal à séduire une majorité de droite que le mot affaires répugne autant que le mot divorce. Du coup, les sondages nous ressortent Juppé, un justiciable lui aussi, mais de l'autre siècle... Derrière ces fantoches prêts à tout pour sauver leur carcasse en 2017, la mise en spectacle du vide politique et du déclin du pays est vertigineuse. Donner raison aux abstentionnistes et essayer un quinquennat sans personne de 2017 à 2022, juste pour voir, et calmer les ardeurs des prétendants médiocres de tous les camps... L'Elysée désert, comme l'Orient d'Antiochus, cinq ans durant, oui ce serait finalement peut-être la solution...
23:35 Publié dans Sur le vif | Lien permanent | Commentaires (8) | Tags : hollande, sarkozy, brésil, coupe du monde, affaires, france |
dimanche, 22 juin 2014
La culture sauce hollandaise
«La culture, ça fait partie de la République et le rôle du chef de l'Etat, c'est de défendre toujours et encore la culture. Je le ferai, y compris dans ces moments où il y a un certain nombre de professions qui s'inquiètent pour leur avenir. (...)Ma responsabilité, c'est de faire en sorte que la culture prenne toute sa place en France et que la France rayonne partout dans le monde grâce à la culture. »
François Hollande, samedi 21 juin à la fête de la musique, Institut du monde arabe à Paris
Première contre vérité : « la culture fait partie de la République. » Quel aveu ! Non, la République est un élément de la culture si l’on veut, en tant que système d’organisation politique du monde, au même titre que n’importe quel autre système politique. Imagine-t-on un roi dire que la culture « fait partie de son royaume » ? La culture n’a pas commencé avec la République, Dieu merci, et surtout pas la culture française, qui rayonna sur l’Europe aux XVIIème et XVIIIème siècle, et qui sans aucun doute lui survivra puisqu’elle est présente dans toutes les sociétés humaines, et de tous temps. Elle n’a donc pas à être vassalisée et instrumentalisée pour la cause républicaine, surtout quand cette cause se révèle aussi piètre que sous un tel gouvernement, traître aux intérêts et aux idéaux de son propre pays de surcroît. Je rajouterai que ni la République, ni la culture n’ont de même à être sacralisés.
La responsabilité du Chef de l’Etat : le Chef de l’Etat surtout quand il est partisan, sectaire et derechef inculte comme celui-ci, s’il pouvait se mêler le moins possible de la culture, on lui en saurait gré. Le rôle du chef de l’Etat n’est donc pas de défendre la culture, à moins de réduire cette dernière à la propagande de sa propre idéologie. Son rôle serait plutôt de participer à sa diffusion, en se montrant lui-même sous un jour moins partisan, précisément, plus ouvert aux différences et respectueux des réelles diversités parmi lesquelles nous comptons la Tradition. On en revient sans cesse au novlangue d’Orwell : Le mot culture, dans la bouche d’un tel homme, signifie tout autre chose. Appelons ça secteur économique en crise, si l’on veut, ou mélasse idéologique à bout de souffle…
Méfions-nous par ailleurs des gens qui évoquent leur responsabilité ou leur devoir à propos de tout et de n’importe quoi. Il faut quand même une sacrée dose imbécillité, quand on s’appelle monsieur 3%, qu’on vient de brader Alstom aux Américains, après avoir imposé les cours en anglais à l’université, pour affirmer sans la moindre conscience de son propre ridicule, que la culture va « prendre toute sa place en France » grâce à son action personnelle. Quant au rayonnement de la France, on prend peur à se dire que c’est avec la sous culture du PS et de la promotion Voltaire que ces gens prétendent l’étendre partout. Car ces gens-là sont bel et bien une insulte à l’esprit et à la raison qu’ils prétendent incarner.
12:02 Publié dans Aventures post-mortem de la langue française | Lien permanent | Commentaires (1) | Tags : culture, hollande, république, intermittents, littérature, théâtre, beaux-arts |
lundi, 26 mai 2014
Le bruit et la durée
On a du mal à comprendre -et on comprend aussi fort bien-, à quelle nécessité politicienne obéit – en attendant la Coupe au Brésil – le bruit médiatique qui entoure les résultats des élections européennes en France. Un président archi-minoritaire et désavoué (au point qu’à Stains, par exemple, son électorat a chuté de 44,67% à 8,92% en deux ans ) n’a plus grand-chose à dire ni à faire à la tête de l’Etat, sinon y faire du bruit, en espérant durer ainsi jusqu’en 2017. C’est à cela que sert le petit communicant Valls : faire du bruit. Il faudrait cependant lui apprendre à moins froncer les sourcils ni hausser le menton, s’il veut être un tant soit peu entendu.
Le bruit consiste donc à transformer le score du FN en événement dramatique, en prenant des postures d’indignés, de désolés, de dégoûtés, ou de fatalistes : On a dans la République toute la gamme Pantone. Alors que chacun sait que cela ne représente en rien un danger : le centre droit est au pouvoir à la Commission européenne, les fédéralistes sont toujours majoritaires et pourront même durcir le ton pour mener leurs guerres ou signer leurs traités scélérats dans le dos des électeurs.
Chacun feint de ne pas comprendre le séisme en perpétuant des analyses bidonnées, à partir d’une grille d’analyse et de lecture vieillie parce que datant de la Seconde Guerre Mondiale et de la Shoah. C’est évidemment oublier Maastricht, la réunification de l’Allemagne sous la botte libérale américaine, et le déni par Sarkozy et Hollande du référendum sur le traité européen. Car c’est Maastricht, Merkel et le déni du référendum par des prétendus démocrates qui ont placé le FN où il se trouve. Et l’on sait depuis longtemps que l’électorat du FN se constitue à partir d’un mariage de raison, inévitable face aux fédéralistes français, entre identitaires et souverainistes. C’est pourquoi, à 88 ans, le fondateur du FN obtient à Vénissieux 27,06 % des voix quand, dans le très sélect 6ème arrondissement à Lyon, il n’arrive qu’en quatrième position avec 11,91% et en cinquième position dans Lyon/Croix-Rousse, paradis du bobo écolo, avec seulement 9, 87%. Regardez les scores de sa fille dans le Nord, le constat est le même.
Alors les dirigeants nationaux n’ont plus le choix s’ils veulent éviter l’inexorable progression de cette dernière : pour réduire le vote identitaire, réduire le chômage et réguler l'immigration; pour réduire le vote souverainiste, renégocier les traités. Mais au lieu de cela, Hollande, pingouin, de plus en plus isolé sur sa banquise, premier notable arrogant d'un parti en déroute, ne peut que choisir de faire du bruit pour durer. Et du bruit bien médiocre,est-il capable d'en produire un autre ? Plus encore que Mitterrand son mentor, il sera comptable devant l’histoire de tous les troubles, de tous les drames qu’une telle posture ne manquera pas d’engendrer. Cela s'appelle la responsabilité.Les dénoncer d’un air contrit la main sur la couture ne suffira pas à s’en dédouaner.
Décidément, il est bien le pire des présidents que la Cinquième République aura produite. Un nain au volant d’un Airbus, qu’il est en train de projeter dans le décor, tout le pays et sa souveraineté dans sa suite. Une politique maladroite,conduite par un amateur,diront certains. La politique de ses maîtres, plus vraisemblablement, visant au fédéralisme européen le plus totalitaire, à l'image - en pire même - de celui, américain.
13:07 Publié dans Sur le vif | Lien permanent | Commentaires (4) | Tags : fn, euro2014, hollande, europe, france, maastricht, merkel, politique, bruit médiatique |
lundi, 19 mai 2014
Les escrocs devant leur miroir
Escrocs : Quel est le comportement commun à tous les escrocs, le point commun entre toutes leurs forfaitures, qu'ils finissent seuls et corrompus sous les toits dorés des palais ou sous ceux, en contreplaqué, des prisons ? Comme les cons, ils osent tout, et c'est à cela qu'on les reconnait. Ils osent tout et ça marche, jusqu'à un certain point, toujours. Ils recherchent le même enivrement, la même gloire passagère, hantés qu'ils sont probablement du même vide, de la même nullité. On ne saurait dire a priori quel escroc, de Kerviel ou de Hollande, sera jugé par l'Histoire comme le plus représentatif du pus le plus pur, de l'excrément le plus sordide de son temps - qui est aussi, hélas, le nôtre - Il faudrait pouvoir établir devant une Justice Loyale qui n'existera jamais lequel aura dupé le plus de gens. Ils auront cédé dans leur médiocrité respective aux mêmes sirènes passagères et sombreront de toute façon un jour dans un même oubli... Ils sont les doubles inversés d'un même reflet de la laideur du monde dans la glace. En attente de leurs biopics, ils occupent, comme on dit en temps de guerre, le même terrain, et au prix du mètre carré, c'est aussi abject dans un cas que dans l'autre.
Les escrocs devant le miroir
00:00 Publié dans Sur le vif | Lien permanent | Commentaires (6) | Tags : kerviel, hollande, france, politique, faits-divers, escrocs |
vendredi, 09 mai 2014
Tutoyer Merkel
Je n’y peux rien, depuis le commencement je trouve cet homme ridicule, ceux que ça énerve ne sont pas forcés de lire ce billet. Le tutoiement appuyé à Angela Merkel, cela pue son conseiller de Corrèze parvenu, c’est grossier, laid, comme l’accolade au pape, ce type n’a aucune classe, aucune tenue, aucune distinction, c’est la vulgarité de l’épicier qui rote en fin de repas, faite président. Rien à voir avec la culture française et sa représentation, rien, ou alors celle, ironique, du beauf. Tutoyer Merkel (parce que c'est toi cet idiot paraphraserait-il Montaigne ?) après l'avoir durant sa campagne traitée de tous les noms. Ce Hollande, oh ! s’en débarrasser au plus vite !
Au moment où l’armée ukrainienne tire sur les insurgés pro-russes et provoque la mort de 20 personnes, tout ce que les chaines de télé françaises trouvent à raconter, c’est que les parades militaires devant Poutine en Crimée tiennent de la puissance du patriotisme retrouvé et de la pure provocation. Evidemment, Hollande aux Champs Elysées, c’est les sifflets assurés, les quolibets ou pire, les rues désertées ! Il en rêverait sans doute, le pauvre pingouin, d’une telle revue militaire ! Le pauvre homme, dirait la Toinette du Malade Imaginaire ! Le pauvre homme, doit penser Angela. Mais quel enfumage !
Obama, quant à lui, déclare que la venue de Poutine en Crimée« cela exacerbe les passions ». 20 morts à Mariupol, tirés comme des lapins, ça ne les exacerbe pas, les passions ? J’imagine les commentateurs si c’était l’œuvre du gouvernement syrien plutôt qu’ukrainien…. Pas un mot, à côté de cela, sur la veulerie du traité transatlantique qui signe l'arrêt de mort des nations libres : rester dans l’Europe, mais c’est la fin de l'l’Histoire, au sens où Francis Fukuyama le théorisa un jour, et c’est rentrer dans la guerre, tout au contraire de ce que dit l’épicier-président. Votons aux extrêmes, évidemment, droite ou gauche selon nos sensibilités, ne laissons pas les débats être confisqués par ce mensonge vertueux incarné par la zone euro. Nous savons déjà qu'aucune élection européenne n’aura receler tant d’enjeux, que celle qui approche…
21:03 Publié dans Sur le vif | Lien permanent | Commentaires (3) | Tags : hollande, merkel, poutine, mariupol, europe, politique |
mardi, 06 mai 2014
L'Elysée ou comment s'en débarrasser ?
J’ai du mal à penser que ce clown qui loge à l’Elysée depuis deux ans y demeure encore trois autres en continuant ce même pas de danse dans le bal des faux-culs. Ou alors ça voudrait dire qu’en effet le pays est désormais parfaitement anesthésié. Ce qui, après tout, est peut-être le cas.
François Hollande. - AFP
Car ce qui est le plus frappant sous ce quinquennat, c’est la disparition -ou plutôt la dissipation- de tout intérêt politique pour la culture. La culture était pourtant -qui s’en souvient ?- la grande affaire de la gauche, jadis. Depuis que les Tartuffes ont inventé le multiculturel, c'est-à-dire ce que Martel appelle finalement le mainstream, ou d’autres le marché de la culture, et que les gens de gauche s’en sont faits les VRP officiels, motus sur le sujet. Quand je parle de culture, je parle de langue française, de littérature, d’art, de religion, d’histoire antérieure à cette maudite déconstruction européenne dans laquelle nous nous sommes fourvoyés. Je parle d’idées, et non pas d’éléments de langage…
Le plus frappant, dans le discours de Hollande quand il s’adresse aux Français comme si ces derniers étaient des enfants ou des débiles, de boite à outils à grand retournement, n’est-ce pas tout de même (et ce depuis celui du Bourget qu’on nous a vendu comme un discours fondateur), son imbécillité totale, son vide absolu, son absence d’esprit ? De poncifs en poncifs, monsieur Petites Blagues répand sa sottise à la façon d'un Sully Prudhomme éternellement satisfait de lui. On se dit que soit il prend les gens pour des idiots, soit il est idiot lui-même. Il suffit de relire une page de Louis Althusser ou une page de Jean Guitton – je prends à dessein ces deux personnages fortement antagonistes j'aurais pu tout aussi bien parler de Georges Dumézil ou Claude Levi-Strauss, pour se demander tout soudain où est passée et par où s’est enfuie la grande culture de ce pays…
La ministre de la culture, qui remercia publiquement sa maman le jour de sa nomination rue de Valois, au point que même Frédéric Mitterrand en fut atterré, incarne d’ailleurs ce vide culturel jusqu’à la caricature. De sorte que j’en reviens à ma question du début : Trois ans encore, dans cette « normalité », cet effacement de toute originalité, de toute personnalité, de toute ferveur, cette noyade dans cet univers de courbes et de statistiques… A moins que la France elle-même soit morte comme le cadavre que trimbale Amédée... non, c’est impossible !
01:07 | Lien permanent | Commentaires (16) | Tags : hollande, filippetti, ionesco, amédée, france, culture, politique |
jeudi, 17 avril 2014
Fossoyeurs du mensonge
Trois mots sur le pingouin arrogant et son petit roquet parvenu, qui ne se sent désormais plus pisser en parlant de la France, sur l’abruti, également, qui a vendu l’Hôtel-Dieu au groupe Eiffage et qui vient d’être réélu président du Grand Lyon.
Il y a une sorte de péché socialiste depuis Mitterrand. Pour être réélu et mener à terme son coup d'Etat permanent, ce satané monarque républicain fit une politique de droite et nous précipita tous dans l'euro. Mais une politique de droite ne peut être conduite que sous un étendard de droite ; c'est le bon sens près de chez vous qui vous le dit : d'où la Bérézina de ce faux PS en 2002.
Dérober le pouvoir aux gens de droite pour faire leur politique, c'est s'avouer pire encore que ces derniers ne sont. De simples arrivistes, même pas dotés d'un charme balzacien. Ce que fait ce qu'on appelle pompeusement le couple exécutif. Le seul mérite que je leur reconnaisse, c'est qu'ils vont peut-être finir par débarrasser le pays du parti d'Epinay dont les restes flatulents empoisonnent encore un peu nos provinces. Il faudra alors leur élever une statue : ils auront été les fossoyeurs de leur propre mensonge. Car la messe est dite et leur socialisme est foutu.
06:46 Publié dans Sur le vif | Lien permanent | Commentaires (7) | Tags : valls, hollande, politique, socialisme, france, europe, collomb, eiffage |
vendredi, 21 mars 2014
Les gens de gauche
La France qui veut partir en guerre contre la Russie, sous le parapluie de Bruxelles et de l’Otan, le tout sous un gouvernement de gauche, ça a quelque chose de surréaliste et d’inquiétant. Il fut un temps où les gens de gauche appelaient aux manifestations populaires contre les interventions en Irak de Bush. Aujourd’hui, satisfaits sans doute d’être représentés par un pingouin à l’Elysée, ils ne disent rien lorsque ce dernier court derrière le héron de la Maison Blanche (oui, en ce moment, je vois des oiseaux partout). Tout au contraire, ils applaudiraient presque. Leur énergie, ils la passent à faire de la pub à l’ancien président qui n’en demandait pas tant et à jouer les vierges effarouchées parce qu’on les a traités de Stasi, eux qui voient des fascistes et des Pétain partout..
On ne les entend pas davantage s’inquiéter du traité transatlantique négocié en coulisses, avec, toujours, la bénédiction de leur pingouin. Ils ont eu leur mariage gay, ils sont contents, les gens de gauche. Ils n’en voulaient pas plus, et ils seront les premiers, les gens de gauche, tout en se prenant, comme leur canard Ayrault pour « la République », à vous expliquer-la responsabilité chevillée au double-menton- que 50 milliards à trouver, ça justifie qu’on revoit tous les fameux acquis, ou qu’on continue à travailler un peu plus pour l’impôt.
Voilà pourquoi il ne nous reste que trois solutions dimanche, pour rééquilibrer le Sénat dès cet automne et ainsi mettre un léger contrepoint à toute cette gabegie socialiste : le vote FN, le vote UMP ou l’abstention.
20:08 Publié dans Sur le vif | Lien permanent | Commentaires (5) | Tags : politique, sarkozy, hollande, municipales, vote, crimée, russie |