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samedi, 19 mai 2018

Le Christ et le Jihad

Le Christ nous a tout dit. Dans son deuxième discours d’adieu, Il a annoncé le Jihad islamique (Jean, 16, 2-3) : « L'heure vient où quiconque vous fera mourir croira rendre un culte à Dieu. Et ils agiront ainsi, parce qu'ils n'ont connu ni le Père ni moi… »
Beaucoup de Chrétiens ont toujours été tués, en effet. Mais qui, en le faisant, croit « rendre un culte à Dieu » ? Juifs et Romains qui tuèrent des Chrétiens par milliers dans l’Antiquité ne s’imaginaient pas rendre un « culte à Dieu » ; ils se débarrassaient simplement de gêneurs politiques et d’ennemis religieux. D’ailleurs les 10 commandements de Moïse dictés par Dieu sont clairs : si on peut tuer en temps de guerre, il est interdit de tuer son prochain pour rendre un culte à Dieu, pas plus que de lui mentir, de convoiter sa femme ou de dérober ses biens.
C’est l’Islam qui a prôné de nouveau au VIIe siècle après Jésus Christ cette notion de sacrifice humain infidèle qui serait capable de plaire à Allah (celui qu’ils croient être Dieu). Le Christ non seulement prophétise la venue du Jihad bien après Lui, mais en donne la raison : ils font cela non pas pour se débarrasser d‘ennemis politiques ou religieux, mais parce qu’ils croient que Dieu n’est pas Père : La sourate du dogme pur le dit clairement (sourate 112) : « Dis : « C’est Lui, Dieu l’Unique,  Dieu le Suprême Refuge, qui n’a jamais engendré et qui n’a pas été engendré, et que nul n’est en mesure d’égaler !» Dieu est Unique et n’a jamais engendré » ; ce qui signifie clairement que n’ayant jamais engendré, il n’est pas Père, il ne peut non plus être Fils, il est donc unique, informel : les Musulmans, comme le Christ l’annonce, « n’ont connu ni le Père ni le Fils », et c’est pour ça que les plus fanatiques d’entre eux vous tueront.
La seule façon, pour un Chrétien, de combattre et de mettre fin au Jihad, c’est donc de permettre à ses combattants de faire la connaissance du Père et du Fils. De leur donner accès, autrement dit, à la lecture de l'Evangile.

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15:55 | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : islam, jihad, attentats, christ, christianisme | | |

mardi, 06 décembre 2016

Cazeneuve : le pire du quinquennat reste à venir.

Cazeneuve aux affaires européennes, ce fut le premier reniement de campagne du Moi président, avec l’acceptation du traité budgétaire européen. C’est lui qui eut la lourde tâche de faire avaler cette première couleuvre aux parlementaires socialistes qui deviendront des « frondeurs ».   Bilan négatif.

Cazeneuve au Budget, remplaçant au pied levé Cahuzac, ce fut les augmentations d’impôts qu’on appela fort justement « matraquage fiscal ».  Ce fut aussi l’enterrement d’une autre promesse de campagne du Moi Président avec la légitimation du trading à haute fréquence. Bilan catastrophique.

Cazeneuve à l’Intérieur, ce fut la mort de Rémi Fraisse, onze attentats islamistes et 250 morts sur le sol, Viry-Châtillon, les manifestations policières dans la rue. Bilan tragique.

Cazeneuve, d’un air sérieux (et, disent certains, rassurant) de croque mort caustique et d’un ton grave (et disent certains, pédagogique, d’instituteur de la troisième République, ne fit jamais que parler en bon frère. C’est cela, semble-t-il, qu’en Hollandie, on appelle « le sens de l’état ».

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La valse maçonnique de Matignon

Cazeneuve Premier Ministre, à présent. Même les mondanités de passation de pouvoir ont l'air surjouées, en papier glacé. Papier glaçant.Dans une France où les courtisans de tous bords s’écharpent pour s’installer à leur tour sur le siège d’un calife exsangue, une France en plein état d’urgence, avec 9 millions de pauvres et 4 millions de chômeurs, le pire reste sans aucun doute à venir. Autour du Moi Président ,qui n’est plus parait-il obsédé, en bon pervers narcissique, que de « l’image qu’il laissera dans l’Histoire » ( 1) ne demeurent que la poignée de fidèles incapables que ce Cazeneuve incarne sous son masque de cire. Les ennemis du pays l'ont dans leur viseur. Le pire reste à venir. Ce n’est pas jouer les Cassandre que le dire. Vous verrez…

 

  • Marieur d‘homosexuels ? Tête de turc de Léonarda ? Vaudevillesque conducteur de scooter ?  Président démissionnaire ? Fossoyeur de son propre camp ... Hollande, c'est l'embarras du choix.

18:08 Publié dans Sur le vif | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : cazeneuve, hollande, socialisme, gouvernement, france, attentats | | |

lundi, 14 novembre 2016

Commémorations

Sottise de ces dirigeants qui croient en l’Islam de France. Et pourquoi pas l’Islam de Norvège ? L’Islam de Californie ?  Du Lichtenstein ? L’islam n’est pas seulement ponctuellement satanique lorsqu’il tue des gens, mais il l’est universellement, en son essence même, parce qu’il nie et la Trinité sans quoi le pardon absolu est impossible, et qu’il foule du pied la Divinité du Christ sans le sacrifice duquel il n’est pas de liberté possible ni de charité véritable. La petite force de l’Islam, c’est qu’il avance masqué derrière une théologie de contrefaçon. Sa grande force, c’est que les « humanistes européens » ces aveugles qui nous guident, professent de ne plus croire en Satan, alors qu’ils en sont volontairement ou non les plus zélés serviteurs, et qu’ils lui ouvrent ainsi tout grand les portes en se donnant l’illusion de prêcher la tolérance.

Inutile, donc, de se leurrer : le combat politique contre l’Islam n’étant que de façade, ça ne s’arrangera pas. Qui peut croire, comme ils feignent de le croire, que la laïcité, cette auberge espagnole ouverte à tous les vents, vaincra la folie rétrograde intrinsèque à l’Islam ? Qui peut croire que le credo libéral-libertaire, qui donne de fait à tous le même droit de cité, saura hiérarchiser les priorités et dissiper les illusions ?   L’espoir de vivre en paix est une ruse de Satan quand il n’est fondé que sur des vœux pieux, et ce sont des vœux pieux que de croire à la bonté de l’homme au nom de spéculations philosophico-politiciennes. Il ne sert donc à rien d‘allumer des bougies sur les trottoirs et de se taire quelques minutes, abusés par de faux rites de fraternité, et perdus dans les méandres des symboles et les vanités des incantations comme dans les rues et sur les places de la République. A rien.  Si nous ne sacrifions pas à la seule paix qui soit, celle du Père, cet espoir naïf nous conduira collectivement au désastre.

L’intelligence est le lieu du péché, Satan le sait mieux que quiconque.  Lui qu’aucune chair n’encombre, il a tout loisir, jour et nuit, d‘être en esprit plus rapide que le plus malin de nous tous. J’ai beau être très bête, néanmoins, fort stupide face à lui, d‘une idiotie que je n’imagine même pas du fond de ma soumission au péché [car ce dernier demeure, à l’image de l’Islam, une soumission], je sais par le Christ notre Seigneur, et je le vis par ma prière, qu’il est un lieu où Satan ne peut se rendre et où je le puis moi, à sa grande fureur. Un lieu où j’ai tout loisir d‘être plus intelligent que lui. Je tiens là mon salut, rien de moins, du fait que le Christ aime avec plus de force que Satan ne hait. Non, cela ne sert à rien de s’assembler en cortèges émus par les rues et les places de la République, où brillent tant de ses artifices et résonnent tant de ses appels. Mais c’est , au pied de la Croix, c’est à dire dans la conscience sacrée que j’ai de la douleur du Christ, qu’il faut prier pour ces morts du Bataclan, pour tous les morts et pour tous les pécheurs. Là, le silence est épais, la paix dense, la consolation certaine et l’intelligence féconde. Ce lieu au-delà de la nuée bleue, que le Christ a racheté, le Prince de la contrefaçon s’en est interdit stupidement l’accès. Sa toute-puissance sur notre espèce et sur notre infirmité individuelle a beau être grande, elle s’estompe et part en fumée dès que nous prions à partir de cet endroit. Ce n’est donc pas dans la conscience que nous avons de leur mort ou de notre mort à venir, et de toutes nos chères douleurs, que nous devons nous adresser à Dieu, mais dans la conscience que nous avons de Sa  Douleur à Lui.  Tout l’enseignement du Christ réside là, et c’est par là qu’il est Fils, quand  tous les autres ne sont que lointains adorateurs. 

 

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07:38 Publié dans La table de Claude | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : bataclan, paris, attentats, islam, politique, christianisme, christ, satan, croix, religion, france | | |

mercredi, 07 septembre 2016

Le révisionnisme

J'entends pour la première fois parler de "la communauté chrétienne" à la télé.  Dans le même reportage (sur la chaîne 5, C dans l'air) j'entends plus loin : "La République protège les catholiques". Ravi de l'apprendre. Les Chrétiens seraient donc en France une communauté parmi les autres  (bouddhistes, musulmans et pourquoi pas scientologues ???...) , dans une République qui les protège.  Ha ha ! Les protège à l'aune de leur communautarisme qui est une tradition républicaine

Et le but de Daesh, d'après Alain Bauer et des  experts du même acabit, serait de fissurer cette belle République communautaire. Bref, l'Islam s'en prendrait à la République et à ses valeurs universelles !  On se demande pourquoi il y a des attentats ailleurs, alors.  La propagande tourne à plein régime, la falsification de la vérité est scandaleuse. Je reproduis ici la couverture du dernier numéro de Dabiq (1) où chacun pourra voir à quel point c'est à leur Marianne et à sa laïcité que les islamistes en ont...

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La vérité, c'est que dans l'échelle des valeurs d'un imam, même modéré, il y a en bas le sociétal, un peu au-dessus le politique, encore au-dessus le philosophique, et enfin tout là-haut le théologique.
Si l'on ne conteste en simple laïc que le sociétal (voile, repas...) et que le politique (droits de la femme, valeurs de la république) on n'aboutit à rien, je crois même qu'on les amuse. La cible des islamistes n'est pas la République, contrairement à ce que nous racontent cet incapable de Hollande et ses sbires (2), mais la Croix. Car à leurs yeux, le combat mené, s'il est bien politique, est fondé sur du théologique. C'est d'ailleurs par là qu'ils recrutent avec beaucoup d'efficacité. Car à leurs yeux, nous sommes tous chrétiens, même les athées, et nous avons perdu la guerre de l'exemplarité face à l'Islam . Même les gays massacrés à Orlando sont des chrétiens ! (3) Des chrétiens dégénérés, certes, qui avouent par leur comportement la défaite du Christ, ce qui confirme en suivant leur raisonnement que les chrétiens sont bien ce qu'en dit le Coran  (des égarés) et ce qui justifie le génocide des chrétiens en Orient. Il faut lire le chapitre "pourquoi nous vous haïssons" dans leur livret de propagande... En plus, il faut les entendre, ces joyeux républicains de la télé,  se réjouir des défaites de l'État Islamique, quand on sait que c'est les Russes qui ont relancé les bombardements efficaces... des Russes dont on ne souffle mot non plus.
La République ?  Moi, elle me fait gerber... Carrément. 
 
(1) : Nom de la revue de propagande islamique, et de la ville où doit se produire l'ultime guerre entre musulmans et "croisés"
(2) Cet idiot parle aux Français demain. Je ne l'écouterai pas, je connais sa rhétorique creuse par cœur. Il ne vous dira jamais que les Islamistes s'attaquent aux Chrétiens. Il vous dira que les terroristes s'attaquent aux démocrates. Et que, peut-être, les véritables ennemis, c'est Le Pen et les populistes. Pauvre con !
(3): Nous dira-ton qu'eux aussi portaient les valeurs universelles de la République ?
 

18:47 Publié dans Sur le vif | Lien permanent | Commentaires (1) | Tags : bauer, cdansl'air, attentats, islam, daesh | | |

mardi, 19 juillet 2016

Entrailles

Le diable n’a pas d’entrailles.  Il est esprit, pur esprit. C’est pourquoi il s’est installé dans celles de l’homme et de la femme, pour s’y cacher de la colère de Dieu. C’est aussi pourquoi le Fils a dû descendre jusque dans la chair de l’homme, sans s’y corrompre par le péché originel comme n’importe quel homme, en passant par les entrailles d’une Vierge. Et il l’en a délogé. Mais à quel prix !

Satan n’aime pas la chair, parce qu’il est tombé à cause d’elle. Satan est tombé pour avoir refusé de servir le salut de l’homme comme Dieu le lui demandait. Satan a bien compris, grâce à sa haute intelligence, que Dieu lui offrait ce moyen de servir plus petit que lui, comme il l’offre à n’importe quel ange, pour gagner en charité. Mais Satan l’a refusé. Ce que Satan n’a pas compris, c’est la nature exacte de Dieu, qui est certes Lumière, Infini, Gloire et Puissance, mais qui ne s’exprime qu’à travers le vecteur de la charité. En refusant la charité, Satan s’est coupé de Dieu à jamais et s’est damné dans ce lieu où Dieu n’est pas, qui possède une largeur, une longueur, une profondeur, mais curieusement aucune hauteur, et où il doit ramper et mordre incessamment la poussière. Le feu éternel de l’enfer, explique le Christ, n’est pas la destination naturelle des hommes, mais le lieu « préparé pour le diable et pour ses anges » (Matthieu, 25,41)

Satan s’est damné d’une certaine façon à cause de nous. Et c’est à cause de nous qu’il a damné ses légions d’anges. D’où l’objet de sa haine. Nous sommes haïs de Satan presque autant que nous sommes aimés de Dieu. Autant l’amour de Dieu travaille à notre salut, autant la haine de Satan travaille à notre perte. Il ne nous pardonnera pas sa damnation, cette erreur de sa part qu’il nous attribue, car il ignore et la justice, et la charité. Il ignore Dieu. Aussi, dès que nous ne sentons plus la charité en nos entrailles, nous sommes potentiellement exposés à ses attaques. Satan est comme un camion fou qui fonce dans la nuit et disperse entre ses roues la chair des hommes, qu’il hait plus que tout.

De Satan et de toutes les formes qu’il prend dans le monde sensible et intelligible (le monde bas, le monde de la chair), l’homme n’a pas à avoir peur. Nous devons simplement comprendre comment Dieu nous protège de lui. Dieu nous protège de lui en nous faisant connaître la Charité. Tel est le sens de la phrase du Christ : « Un bon arbre ne peut porter de mauvais fruits, pas plus qu’un mauvais arbre n’en peut porter de bons. Tour arbre qui ne donne pas de bons fruits est coupé et jeté au feu. C’est donc à leurs fruits que vous le reconnaîtrez » (Matthieu, 7, 18-20)

La preuve que le Christ est Fils de Dieu s’exprime tout entière dans la Croix : Ce que Satan lui-même n’a jamais compris, Le Christ est venu l’expliquer aux hommes. Il a vaincu Satan parce qu’il a montré à toutes les générations par sa chair crucifiée que la Lumière, l’Infini, la Gloire et la Puissance de Dieu ne s’expriment en réalité que par la Charité. Et c’est parce que Dieu est Charité que le Christ est son Fils. Le Christ est mort à 33 ans sur la Croix que Juifs et Romains ont plantée de concert sur le Golgotha, pour racheter tous les péchés des hommes qui souillaient leurs entrailles, après en avoir guéri en grand nombre ; Mahomet est mort à 63 ans d’une mauvaise grippe après avoir été chef de guerre et en avoir tué un grand nombre. Je ne nie pas qu’il y ait dans le bouddhisme une belle école de détachement et de confort spirituel, mais où s’y trouve la Charité ? Où s’y trouve Dieu ?

Le monde est infesté de gurus, d’imams, de bonzes, de prédicateurs et de francs-maçons plus ou moins complices les uns et les autres dans leur ignorance ou leur détestation du Christ : car aucun n’a accompli ce que le Fils de Dieu a accompli sur la croix, aucun. Qui que nous soyons, il nous faut bien l’admettre, à moins d’être fourbes, bêtes ou purement sataniques. Satan, si puissant soit-il, ne résiste pas à cette simple reconnaissance. Satan ne résiste pas à la Croix, et c’est pourquoi on peut sereinement affirmer non pas que le christianisme est la seule religion, il en existe des centaines. Mais que le christianisme est la vraie religion.

Satan ne résiste pas davantage à la Mère de Dieu, parce qu’elle l’a délogé un jour des entrailles des hommes d’où il dirigeait le monde, d’un simple acquiescement au saint Esprit, la Troisième Personne de la Divinité. Satan ne résiste pas à un seul Ave Maria convaincu. Dites-lui : « Et Jésus le fruit de tes entrailles est béni », et il fuira. Non que vous soyez spécialement saints vous-mêmes, loin s’en faut. Non que vous prononciez une parole particulièrement magique, tout au contraire. Mais songer que Dieu ait pu engendré, et que de ces entrailles qu'il abhorre ait pu naître le Fils de Dieu, le terrasse. Et la haine que Satan garde de la chair est moindre que l’amour que Dieu a pour elle, parce que malgré des siècles de dégradation, Il l’a faite à son image, et qu'Il est Charité.

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13:32 Publié dans Là où la paix réside | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : christ, christianisme, charité, bouddhisme, islam, attentats, france | | |

dimanche, 17 juillet 2016

La radicalisation spontanée

Ça a quelque chose de dément, cette posture du pouvoir en place, qui dit en même temps la vie doit reprendre et d’autres vies seront fauchées, on est en guerre et amusez-vous, ce sont des attentats islamistes mais l’Islam n’y est pour rien, il faut respecter les morts et les affaires doivent reprendre, etc, etc… Ce n’est même pas l’expérience déjà très déstabilisante de la double contrainte, mais une sorte de destruction du logos de l’intérieur, une plongée dans l’illogisme d’une absurdité totale. Le président, emmerdé sans doute du fiasco de sa politique en Syrie, affirme de son insupportable ton plan plan que ça peut arriver dans n’importe quel pays alors que la France ( et lui-même en ce jour de quatorze Juillet) est clairement visée et que cela n’arrive ni en Finlande, ni en Suisse, et qu’il le sait très bien. Les commanditaires de Daesh doivent jubiler de voir les images partout diffusées de ces gens « pris en charge par des cellules de crise » devant des montagnes de fleurs, quel aveu de faiblesse psychologique! Même si elle est compréhensible, pourquoi la diffuser si ostensiblement et en boucle. Que cherche-t-on à montrer ainsi ses faiblesses à l'ennemi ? à quand le prochain ? 

Je lisais un titre tout à l’heure : « les Français demandent de la fermeté à François Hollande… Mais demander de la fermeté à François Hollande, c’est comme demander de la fermeté à un potage de légumes. Il va vous dire qu’on doit, qu’il y a des règles, qu’il faut et qu’il condamne, puis il ressortira un pacte ou une boite à outils et passera encore trois mois à faire sa synthèse… Cet homme est un incapable. Comment a-t-il encore le culot de demander une unité nationale autour de tant de mou, de contradictions, d’illogisme et d’inaptitudes ?

Pendant ce temps, les radicalisations spontanées n'ont aucune raison de cesser, au contraire, devant tant de pagaille, nos sympathiques déséquilibrés auraient tort de se priver.

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23:23 Publié dans Sur le vif | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : nice, france, attentats, hollande | | |

vendredi, 15 juillet 2016

La religion qui ne dit pas son nom

En réaction aux attentats islamistes de plus en plus fréquents, de plus en plus meurtriers, l’espace public s’emplit d'un rite qu’on pourrait appeler civique, rite auquel la prière des rues si décriée des Musulmans n’a rien à envier en termes d’occupation des lieux : la création de mémoriaux improvisés, à la mémoire des victimes. L’allégorie de la République, sur la place parisienne du même nom, a ainsi été transformée pendant plusieurs mois en un véritable sanctuaire, avec des autels, des bougies, des fleurs et des lettres d’anonymes déposés devant elle comme devant une divinité. On a vu la même chose à Bruxelles, et dans tous les lieux où se sont manifestées « la terreur » et « la haine », termes employés pour ne pas nommer les soldats du Jihad, enfants du Coran fanatisés. Nul doute que la promenade des Anglais niçoise, transformée pour l’instant en scène de crime, va bientôt connaître le même traitement. L'élévation de ces chapelles improvisés qui écartent toute forme traditionnelle de transcendance et de sacré a commencé à New York, sur son tristement fameux Ground Zero, après l’effondrement des deux tours du World Trade Center. Quoi de condamnable, se dit-on a priori, à manifester en commun une émotion légitime devant ces meurtres de masse aussi insoutenables que délirants ?

Rien en effet, sauf que la propagation du phénomène et son instauration dans l’esprit des gens finit par interroger. D’attentat en attentat, et bien qu’il existât des lieux religieux consacrés au recueillement, au deuil et au culte des morts, l’habitude est prise, comme celle des #prayfor, #jesuis, drapeaux en berne, bâtiments tricolores et autres concours de caricature sur twitter. Non seulement prise, mais exaltée par les médias qui y voient un « mode de résistance au terrorisme », pour reprendre leurs éléments de langage douteux. C’est très étrange, oui, ces autels partout improvisés, ces manifestations spectaculaires quand les églises historiques de France demeurent en partie désertées, et qu’on ne cesse de nous entretenir de la nécessité citoyenne de bâtir des mosquées, des centres de la culture musulmane (1), d’accepter » le vivre ensemble ». Très.

L’information relayée par ces médias se borne à la mise en scène en boucle de l’émotionnel, mise en scène initiée le plus souvent par les réseaux sociaux  (jamais de débats théologiques posant la question du statut de la violence dans le Coran, géopolitiques s’interrogeant sur l’action de la France et des USA au Moyen Orient depuis une dizaine d’années, stratégiques sur le statut de l’Europe actuelle en pleine crise économique et politique, du rôle de la finance internationale dans la vente des armes). Quant aux dirigeants occidentaux, ils paraissent si bien s’accommoder de cette forme de culte inédite sur les trottoirs, les places, les devantures de magasins, qu’on finit par se demander à qui profite cette mise à l’écart du rationnel et cette mise à disposition de l’espace public à l’exaltation du sentiment, lesquels ne rencontrent leur pareil (en versus positif) que durant les grands tournois sportifs ; et lorsqu’on voit tous les dirigeants politiques de la planète se prêter à cette religiosité et en encourager tous les rites (2), on finit par se demander si ces gouvernants de villes et d’états n’appellent pas de leurs vœux la fabrication de cette « théologie civile » à l'usage de citoyens déchristianisés, pour en devenir au nom de la Démocratie, des Droits de l’homme et de leur globalisation les intransigeants évêques et les sourcilleux cardinaux, bref, des dirigeants [monarques ?] absolus.

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L’empire romain possédait ainsi ses divinités politiques, dont saint Augustin démontra magnifiquement l’incompétence, la vacuité et l’imposture au IVe siècle. On lit dans le livre VII, chapitre 33, de La Cité de Dieu que ces dieux choisis ne sont que des démons très impurs qui « mettent à profit des âmes défuntes ou, sous l’apparence de créatures de ce monde, désirent se faire prendre pour des dieux et, dans leur orgueilleuse impudeur, se délectent d’honneurs prétendus divins, mais en fait criminels et ignominieux (…) L’homme, continue le saint, se libère de leur souveraineté barbare et sacrilège lorsqu’il place sa foi en Celui qui, pour le relever, lui a fourni l’exemple d’une humilité aussi grande que l’orgueil des démons, cause de leur chute.»

L’inconscience et le déboussolement des Occidentaux devant la radicalisation inévitable de l’Islam [on entend peu de penseurs s’en prendre à la matrice idéologique même du Coran, et qui n’est rien moins que l’anéantissement de tout ce qui n’est pas lui], l’abandon par ces mêmes Occidentaux de leurs autels, livrés par centaines dans les campagnes aux vols [le nombre de pillages d’églises va grandissant dans l’indifférence générale des baptisés], l’usure même du divertissement libéral [la mayonnaise de l’euro et son patriotisme de pacotille qui l’accompagna], l'indigence intellectuelle du concept même de laïcité [ne parlons pas de ses représentants !] ainsi que l’inévitable achèvement du calendrier consumériste qui se profile à l’horizon, tout cela ne plaide pas pour un futur très heureux : Grâce à l'incompétence et au cynisme de nos politiques, nous nous trouvons, à n’en pas douter, à la veille d’événements extrêmement graves et meurtriers. Pourtant, l’espérance doit nous demeurer vive et chevillée au cœur : « Bien des grands paradigmes de référence qui sont à la base de la civilisation européenne, ont leurs racines les plus profondes dans la foi trinitaire, rappelait au début de ce siècle le pape Jean Paul II. Cette dernière porte en elle une extraordinaire puissance spirituelle, culturelle et éthique, capable, entre autres, d'éclairer aussi certaines grandes questions qui se posent aujourd'hui en Europe, telles que la désagrégation sociale et la perte d'une référence qui donne un sens à la vie et à l'histoire.» Et plus loin, il rajoutait : « Il faut être conscient, entre autres, de la divergence notable entre la culture européenne, qui a de profondes racines chrétiennes, et la pensée musulmane. » (3)

« Prends en gré ma supplication, comme une immense clameur, pour que mes paroles soient de plus en plus dignes d'être exaucées de Toi, donne intensité et persévérance à ma prière. (…) Puisque Ta miséricorde est immense et que mon péché est grand, aie pitié de moi grandement, aussi grandement que l'est Ta miséricorde, alors je pourrai chanter tes louanges en contemplant ton nom, qui est Seigneur. Je Te bénirai d'une bénédiction qui durera aussi longtemps que les siècles, je Te louerai par la louange en ce monde et en l'autre » Ainsi priait Bruno de Cologne, dit aussi le Chartreux, en ce onzième siècle fondateur qui nous parait si éloigné, et avec lequel pourtant nos cœurs peuvent entrer en si belle résonance : « Je crois particulièrement, concluait-il en son Credo, que ce qui est consacré sur l'autel est le vrai Corps, la vraie Chair et le vrai Sang de notre Seigneur Jésus-Christ, que nous recevons pour la rémission de nos péchés, dans l´espérance du salut éternel. » (4)

 

[1] Comme celui de Lyon dans lequel Laurent Wauquiez a légitimement refusé d'investir l'argent de la région, mais que Gérard Collomb défend mordicus. 

[2] On se souvient du recueillement nocturne du président Obama, en compagnie de la maire de Paris et du ridicule président français, le 30 novembre 2015

[3] Jean Paul II, Ecclesia in Europa, 2003

[4] Profession de Foi solennelle de Saint Bruno le Chartreux (1030-1101), fondateur de l'ordre des Chartreux, à l'heure de sa mort le 6 octobre 1101 prononcée devant tous ses Frères réunis de l´ermitage Santa Maria de la Torre de Calabre en Italie.

 

mardi, 29 mars 2016

Résurrection 2

Ressentant en mon cœur une soif d’absolu, de paix, de dépassement incessant de toutes limites, et pour tout dire une véritable soif d’éternité, j’ai longtemps cherché parmi les normes terrestres ainsi que parmi les entorses à ces normes des manières de la combler. En dresser ici la liste serait fastidieux, inutile et douloureux tant je me suis confronté et parfois heurté en vain à toutes sortes d’êtres, d’idées, de comportements et de règles, animé par un désespoir de l’âme qui me fit à l’époque porter aux nues aussi bien Hölderlin que Dostoievsky, Céline que Lautréamont : disons que de la simple sensation à l’autosuggestion idéologique affirmée, j’ai épuisé beaucoup de chimères avant d’en revenir à ce que me soufflait à l’oreille raison la plus simple, et la plus nue : une telle soif d’éternité ne se pourrait étancher au sein de ce qui est mortel : inutile d’en quêter l’apaisement dans les choses de la vie finie, ce n’est donc qu’en passant par la mort que cette soif trouverait son apaisement. Facile à penser, me direz-vous, mais terrible à ressentir : Je vous l’accorde.

La vie chrétienne a cela d’antimoderne qu’elle s’éprouve telle une attente, me disais-je samedi soir au terme de la vigile de Pâques, alors que les diacres dévoilaient toutes les statues des draps violets qui les avaient recouvertes durant tout le temps de la Passion. Car le Christ est déjà ressuscité, que je ne suis toujours pas mort. Il est bien de ce point de vue l’alpha et l’Omega de toute vie spirituelle, comme le soleil est le commencement et la fin de toute journée, « avant que le monde fût »[1], celui qu’on ne cessera d’attendre et d’espérer. Je peux certes, en attendant de mourir tout à fait, commencer à mourir à moi-même, comme l’enseigne la vie de tous les saints. J’entre alors assurément dans un conflit avec le monde, conflit dont je me retrouve le seul à connaître toute la profondeur et tous les enjeux. Pour aller au Christ, écrivait Claudel, il y a le chemin de ce qui est clair et le chemin de ce qui est obscur, de ce qui direct et de ce qui est indirect, de ce qui est simple et de ce qui est nombreux, entremêlé, le chemin de la grâce, autrement dit, et celui du péché[2]. La proposition demeure avant tout romanesque, spectaculaire. Mourir à soi-même est un chemin quotidien qui manifeste moins de panache et consiste à laisser agir chaque jour la rencontre avec le Ressuscité, dans l’espoir de lui plaire.

Or l’idée qu’il nous faille passer par la mort pour être absolument comblé de joie est bel et bien à rebours de tout ce que cette époque, qui par toute la planète s’ingénie à effacer toute trace de nuit, préconise. On mesure alors tout ce qu’elle contient de luciférien. A cet effort de mourir à soi-même elle oppose en effet toutes les activités du développement personnel qui, pour peu qu’on les observe de près, ne sont rien moins que la recherche effrénée d’une solution dans toutes sortes d’activité, à l’endroit même par conséquent où demeure le problème.

A l’humilité qui plait à Dieu, l’époque oppose le culte de la prouesse, de la réussite, de la performance. A la liberté que donne Dieu, elle substitue un assistanat sous condition, à la palette des choix fondamentaux, la soumission à la gamme superficielle de ses options. A la vérité, elle oppose son exact contraire.

Car en nous immergeant dans le constant déni de notre propre mort, cette société luciférienne, dans son ensemble, nous contraint sans cesse au mensonge sur notre propre nature. Niant notre mortalité, comment s’étonner que nous ne parvenions plus, dès lors, à nous confesser pécheurs ? Il nous faut trop souvent, hélas, la perte d’un être cher pour découvrir toute l’immensité de ce déni que le diable qui, niant le péché, nie aussi la mort, a gravé en nous. Ou que, sur notre propre corps, nous découvrions un matin la trace palpable d’un nouveau pas vers notre vieillissement, imperceptible d’ordinaire. Nous comprenons alors que pour être heureux du lent acheminement vers la mort qu’est notre existence physique, il nous faudrait accepter déjà en notre corps la présence du cadavre qu’il deviendra un jour :  telle est la leçon de Lazare (revenu à la vie, et non ressuscité), tel est aussi celui du memento mori de la Genèse. Ce cadavre qu’on maquille, aseptise, cache, brûle, occulte témoigne pour le plus profond de nous-même que « poussière, tu redeviendras poussière… ». Le premier travail de la société luciférienne est ainsi d’occulter de nous la conscience de notre condition réelle sans quoi nul bonheur n’est possible :  oui, le premier mensonge par lequel cette société nous lie au mensonge qu’est son mode de vie est bien le déni de la mort. C’est ce mensonge là que la Résurrection du Christ, fruit de sa Passion, vient profondément déranger.

Car de morale ou religieuse, la question est devenue entretemps existentielle : Niant notre mortalité, nous nions aussi toutes les traces du péché originel et donc toutes les possibilités de Rédemption. Nous devenons des infirmes, pour ne pas dire des damnés, nous nous excluons du cœur même de la Trinité. Nous tournons le dos au Christ qui, au moment d’accepter sa mort, pria ainsi son père pour lui-même, ses disciples, pour la communauté des croyants : « Père l’heure est venue, glorifie ton Fils afin que ton Fils te glorifie (…) La vie éternelle, c’est de te connaître, toi, le seul vrai Dieu, et celui que tu as envoyé, Jésus-Christ » (Jean – 17, 1-3)

Au christianisme, donc, cette société luciférienne oppose sa propre religion falsifiée, celle d’un humanisme sans Dieu. Les vertus y deviennent des valeurs. La charité envers le prochain se mue en respect pour la personne, et l’on appréciera le saisissant passage du concret à l’abstrait. La fraternité, qui va de soi pour tout chrétien, si l’on se souvient que le Christ lui-même a porté son Père aux Gentils, aux Païens, aux non-Juifs, se mue en un antiracisme lui aussi devenu un prétexte creux pour sacraliser l’homme – quelle que soit sa couleur ou sa différence, qui passe au second plan. La tolérance envers toutes les minorités – puisqu’ils sont hommes, ils sont forcément parfaits –  tient du même mimétisme, relève de la même soupe. Le credo magique de cette nouvelle religion d’état étant l’amour [il y avait une pensée unique, voilà que s’impose à nous le sentiment unique], ceux qui résistent, protestent ou s’opposent sont forcément des semeurs de haine. Quant à l’ordre, n’étant plus inspiré ni maintenu par le Père, il l’est par César et ses caricatures. Dès lors, de divin, il devient dictatorial. Un stade de France cerné de tireurs d’élite censés intervenir en cas d’attentats pour sécuriser des spectateurs venus voir des footballeurs et sollicitant eux-mêmes la fouille au corps pour entrer dans l’arène, c’est quelque chose comme le Colisée, vous l’avouerez, mais en pire. En bien pire, l'Empire…

Le Christ est-il encore parmi nous ?

(A suivre…)

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[1] Jean – 17, 4

[2] Voir le monologue du jésuite dans la première scène de la première journée du Soulier de Satin,

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mardi, 09 février 2016

Déchéance ...

La déchéance ?  Tout le monde s’en balance bien, j’ai l’impression ! Hormis les professionnels du politique, bien sûr, qui y ont vu, à gauche comme à droite, une manière bienvenue de couper l’herbe sous le pied du front national au moyen d’un thème porteur, comme ils croient. Il a fait flop, leur thème porteur, tant l’homme de la rue a l’air de s’en tamponner ! Flop ! A juste titre…

Les attentats parisiens sont déjà loin de nous. Pourtant, « les risques sont encore plus importants qu’en novembre », assure le Premier Ministre, tandis que sa franco-marocaine subalterne lance une opération pour démonter, lâche-t-elle, «les théories du complot » auprès des jeunes. Les singes savants veulent des ouistitis dociles. Blabla généralisé, dilution de la réflexion dans le consensus maternant, extension du domaine de la non-lutte et du non-événement.  Tel ce logo projeté sur l’arc de triomphe, pour la candidature de Paris aux Jeux Olympiques 2024. Du vent.

Les événements de novembre auraient pu être l’occasion de sortir par le haut du marasme économique et culturel dans lequel la France se trouve plongée. D’ouvrir, par exemple, une vraie réflexion théologique sur les différences fondamentales entre l’Islam et le Christianisme, plutôt que d’échanger vainement des lieux communs sur la laïcité et le vivre ensemble, nerfs d’une propagande socialiste morte et sans pertinence dans le monde qui vient. De lancer des pistes sur la place du travail dans l’acquisition de l’autonomie et la citoyenneté plutôt que de se cramponner à un modèle sociétal figé,  moribond. D’amorcer même un débat sur la représentation politique et son rôle exact dans une économie mondialisée, pourquoi pas ?

Mais au lieu de cela, encéphalogramme plat, remise en cause inexistante, esprit critique au point mort… Rien. Des mollusques. Des momies.

En plein auto-sacramental, l’Etat constitutionnalise l’état d’urgence, et son idiot de chef envisage un remaniement gouvernemental… comme si telle était la solution face à la violence du monde et des idées…

Un gouvernement !

Cet Etat crapoteux et crapuleux représenté par des cadavres en costumes me répugne, et ça me dégoutte de payer, pour lui, des impôts. Elle se situe là, la déchéance, dans cette représentation qui n’en est plus une d’un peuple qui a la tête ailleurs, entre les petits écrasés par des problèmes de survie, des grands qui s’en fichent, et des moyens, comme nous, qui trimons entre, pour rien. Rien. C’est une déchéance culturelle, intellectuelle, spirituelle, et ça ne se règlera pas avec des bulletins de vote, puisque c’est du vote qu’est venue la déchéance…

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