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mercredi, 27 juillet 2016

Songes-y, musulman...

Quand on s’en prend à un prêtre en train de célébrer, c’est le Christ-Même que l’on meurtrit.

Directement Lui.

Manière de dire à tous par-delà cet assassinat : « voyez, si ce Christ était votre Dieu, il aurait sauvé ce vieux prêtre,

Mais il ne l’a pas fait, comme il n’a pu se sauver Lui-Même sur la Croix… »

Raisonnement de musulman comme jadis raisonnement de juif,

Raisonnement d’imbéciles, donc,

Car c’est par la Charité seule que le Christ a vaincu Satan, non par la Force

Ni celle de la persuasion ni celle du muscle ni celle de la kalachnikov

Car Charité est seule Infinie, telle est la Leçon essentielle de la Croix

Contemple-la, Musulman,

Car c'est par la Charité que Christ vaincra ton ignorance.

Quand on s’en prend à un prêtre en train de célébrer, on cherche à meurtrir le cœur vif du Chrétien

A le toucher en ce moment d’abandon à Dieu qui ne souffre aucune autre compagnie,

La compagnie d’Allah

La compagnie de Satan

La compagnie du crime,

Toutes mêmes compagnies.

On cherche à jeter le doute et la peine en s’infiltrant dans ce lieu de l’âme où cognent déjà toute l’indifférence du monde, toute la violence et toute la haine de Satan.

Double épreuve et double volonté de nuire

C’est un viol de l’âme collective,

La tienne également, songes-y Musulman.

 

Il aura fallu que j’apprenne le meurtre du vieux prêtre de Saint Etienne de Rouvray

Au lieu même du martyre de Pierre et de la bouche même du guide

Qui me conduisait à son tombeau sous la basilique de Constantin.

S’opéra pour moi vraiment le retour aux sources

Et Dieu – le Vrai, pas celui des millions de musulmans qui constituent la majorité silencieuse dont le crime a besoin pour poursuivre sa route –

Dieu me montra que de Pierre à ce prêtre de Saint-Etienne de Rouvray, nihil novi sub sole, vraiment,

Le cœur même plus endurci, blasé, diverti, l’homme de l’empire global demeure le même en sa nature pécheresse et mortelle que celui de l'empire romain,

Ami ou Ennemi du Seigneur, c’est selon, nulle place pour les âmes tièdes,

Et que là où la prétendue miséricorde d’Allah ne s’exerce que pour les fidèles qui suivent Mohammed

Celle du Christ se tend vers tous les pécheurs

Songes-y, musulman,

Et que oui, décidément, le Coran est bien d’essence satanique :

S’il y a des croyants parmi les musulmans,

Quelle autre solution ont-ils devant ce martyre

Que se convertir ?

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Caravage, crucifixion de Pierre,

Santa Maria del Popolo, Rome

mardi, 26 janvier 2016

Manifestation (9)

Jérôme baissa les yeux. Trop répétitif, trop vain, trop stérile, le spectacle du monde. Près de 150 000 manifestants dans les rues, selon le journal : comment, face à cette dictature mondiale, pouvait-il encore se trouver des gens pour penser sérieusement qu’une manifestation… Des fonctionnaires, des chauffeurs de taxis… Jadis, il avait participé à un mouvement contre un Premier ministre soucieux déjà d’aligner le pays à cet ordre mondial honni. Juppé 1995 : Jérôme se revoyait gare d’Austerlitz, haranguant des cheminots pour rejoindre le cortège des profs de son lycée en grève…

A plus de soixante-dix ans, ce vieux politicard habitué de la fondation Bilderberg caracolait en tête des sondages assénés par des medias le présentant comme la solution politique aux problèmes du temps, lui qui depuis plus de quarante ans avait formé l’une des pierres angulaires de ce régime de technocrates ! Et toute la bonne conscience de la gauche s’apprêtait à le pousser aux primaires de la droite... C’était risible et terrifiant, ridicule et glaçant.  

La France poursuivrait donc inexorablement sa descente dans l’enfer de ce qu’on nommait la post-modernité, sans trop savoir ce que cela signifiait. Sentiment d’être après – mais après quoi ? L’opulence des Trente Glorieuses, l’insouciance de soixante-huit, les chimères de la croissance, les vacarmes de l’Histoire… Après ?  Après eux, après toute une génération vieillissante, le déluge… Un pluie d’eau, de neige, de feu, d’événements de plus en plus imprévus, de propagande de plus en plus éhontée, et pour ramasser la mise, quelle puissance dans l’ombre ?

Y aurait-il encore longtemps un après après cet après ? Quelle manifestation issue de quel démiurge médiatico-démocratique emporterait le morceau ?  « Il en sortira pour séduire les nations qui sont aux quatre coins de la terre Gog et Magog, et les rassembler pour le combat en nombre égal à celui du sable de la mer », avait écrit saint Jean. Gog, Magog, selon qu’on lût la Torah ou le Coran, le web bruissait de rumeurs apocalyptiques contradictoires à  leur sujet, prophéties qui croisaient à la fois la propagande des états modernes et les faits brandis par l'actualité dans une sorte de délitement du monde des plus alarmants. Mais Polycarpe, l’évêque de Smyrne qui insuffla à Lyon la tradition johannique ne rapporte-t-il pas que lorsqu’on demandait au vieil évangéliste aimé du Christ de raconter ce qu’il avait vécu de plus beau avec le Seigneur, il répétait simplement comme si l’essentiel résidait à jamais  là : « Mes enfants, aimez vous les uns les autres comme je vous ai aimés »…?

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Saint Polycarpe

samedi, 29 août 2015

De bonne et de mauvaise foi

La rentrée est toujours l'occasion de médiatiser des faux-débats. Le ministre Macron devait-il assister à l'université d'été du MEDEF ? Marion Maréchal Le Pen à celle, catholique, de Sainte-Baume ? Lesquels, de ceux qui restent à Europe Ecologie les Verts ( Cosse, Pompili...) ou ceux qui quittent le mouvement ( De Rugy, Placé) pour rejoindre le gouvernement après les Régionales sont-ils les plus opportunistes ? Une démocratie d'opinions a besoin de ce brouhaha inutile pour se sentir exister elle-même et ce que Shannon appelait le bruit est finalement nécessaire à sa survie apparente. 

Les vrais débats, eux, persistent en toile de fond. Comment accueillir les migrants qui fuient l'Afrique et le Moyen Orient [et derrière ce terme migrants se cachent de multiples réalités]  ?  quelle place peut occuper l'Islam dans la société française à l'heure du jihadisme le plus violent revendiqué par ailleurs par ce même Islam ? la construction européenne [ou ce qu'on nomme ainsi dans une sorte d'antiphrase assez ragoutante] sera-t-elle fiable encore longtemps ? sans rite commun, comment endiguer la violence inexorable qui s'empare des gens lorsqu'ils n'ont plus grand chose à vivre ensemble, sinon le fait de consommer [ c'est à dire détruire par l'usage ] des spectacles, des objets, des nourritures et des idéologies que tout oppose ?

Le pape Pie XII avait en son temps remarquablement anticipé le problème posé par l'Islam : « Réveillé, fanatisé par le différend israélo-arabe, disait-il, disposant de moyens matériels considérables, de la puissance du Coran, d'une démographie galopante, l'Islamisme reprendra son expansion. L'Occident, pour préserver l'essentiel de ses valeurs ainsi que son identité, sera soumis à rude épreuve. »

Kadhafi, lui-même, en 2006, ne disait rien d’autre [video ICI] : «Tout le monde doit devenir musulman. (...) Il y a 50 millions de Musulmans en Europe. Il y a des signes qu'Allah va faire triompher l'Islam en Europe — sans sabres ni armes ni conquête militaire. Les 50 millions de musulmans vont transformer l'Europe en un continent musulman en quelques décennies. (...) Allah mobilise la nation musulmane de Turquie. Ce qui ajoutera 50 autres millions de musulmans en Europe. C'est fâcheux pour l'Europe, comme ça l'est pour les Etats-Unis. Car ils vont devoir accepter de devenir Islamiques et suivre le cours de l'histoire ou déclarer la guerre aux Musulmans. » 

Pour ma part, je lis dans le Coran (sourate 61, dite du Rang) « Souviens-toi que Jésus, le fils de Marie, disait : je viens vous annoncer la venue après moi d’un Prophète du nom d’Ahmad »  [C'est-à-dire Muhammad, le loué]. Le Christ annonçant Mahomet, je dois dire que la ficelle et grosse... Surtout si on se souvient de Matthieu (24/5-11), un tant soit peu plus fiable pour citer les paroles du Christ qu’un rédacteur intervenant sept siècles plus tard :  « Beaucoup viendront sous mon nom, disant je suis le Christ (…) Et il s’élèvera plusieurs faux prophètes qui en induiront un grand nombre en erreur ». En toute bonne logique, le Christ annoncerait donc plutôt un faux-prophète en la personne de Muhammad, que le Prophète avec un p majuscule que d'aucuns voudraient nous vendre.

 Pie XII parla avec une même clairvoyance du déclin de la France, laquelle, après  « une période de dix années de prospérité et de prestige (...) retournera, dit-il, à ses jeux politiques favoris, à ses obsessions destructrices. Une succession de gouvernements faibles, laxistes, démagogues,[ pour le coup on y est ! ] laisseront se désagréger le sentiment national et les valeurs élémentaires. Une réaction brutale des forces vives et populaires du pays mettra fin à cette déliquescence voulue par certains, tolérée par d'autres.» 

A propos de l'Église et des conséquences de Vatican II, son regard est aussi juste : «L'Église vivra des temps difficiles, subissant les effets néfastes de l'ambiance décadente de cette fin d'époque, de l'aggiornamento qui s'annonce nécessaire, mais sera mal compris.  Le clergé s'appauvrira sur tous les plans et sera troublé. Profitant de ce climat malsain et de ses incertitudes, les sectes prospéreront. Mais cette grave involution mourra avec le siècle.»  Il est certain qu'on parle moins des Enfants de Jésus, Moon, Hare Krsna, Scientologues, Maharishi Yogi, Evangélistes et autres sectes que dans les années soixante-dix. A l'époque, ça pullulait. Mais ce qu'on pourrait appeler le modèle de spiritualité de toutes ces sectes tournées sur l'individu et son épanouissement, ce fameux développement personnel, a envahi la société entière, les mœurs, les discours et les aspirations de monsieur et madame Tout l'monde.

 

A bien y regarder,  la notion même de développement personnel qui s'est imposée à partir de ces sectes est tout sauf chrétienne, puisqu'elle relève du développement orgueilleux de soi et s'oppose à la spiritualité du sacrifice qui bâtit la Chrétienté. Avec l'essaimage du New Age, nous assistons bien à cet affaiblissement moral dont il est question plus loin dans le texte de Pie XII. Ce dernier, s'il n'est pas optimiste, reste cependant empli d'espérance, et c'est d'ailleurs là un bel exemple de ce qui sépare le simple optimisme béat et niais de la mauvaise foi et l'espérance bien placée de la bonne  : «Le XXIème siècle, malgré la présence du premier Antéchrist, malgré l'affaiblissement de l'Occident, tant matériellement que moralement verra se produire une véritable résurrection de la foi et de l'Église rénovée. Le matérialisme le cédera au spirituel. Les valeurs morales, tant dénigrées, retrouveront leur place première. L'humanité reprendra alors sa marche bien longue et malaisée vers la lumière.»

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Pie XII

samedi, 15 août 2015

De la supériorité de l'Islam sur la religion catholique

Si j'avais à soutenir le droit que nous avons de considérer que l’Islam est nettement supérieur au Christianisme, voici ce que je dirais : 

Une preuve que les Chrétiens n'ont pas le sens commun, c'est qu'ils croient que Dieu a engendré leur Christ, quand la sourate du parfait dogme explique que Dieu le suprême refuge n’a jamais engendré.

On ne peut d’ailleurs se mettre dans l’esprit que l’ange Gabriel, qui dicta cette 112eme sourate au Prophète, ait  aussi annoncé sept siècles plus tôt la maternité divine de Marie. Il mentit nécessairement la première fois.

Il est impossible que Dieu, qui est un être très sage, ait lui-même voulu que son Fils unique prît forme parmi une race de pécheurs, à moins d’imaginer que Dieu fût fou !

Comment Dieu l’Unique pourrait-il être Père, Fils et Saint-Esprit tout en demeurant Un ? Cette distorsion curieuse, qui présuppose que Dieu est avant tout Amour, lui est en réalité parfaitement étrangère

L’ère des Prophètes s’étant, aux dires des Chrétiens, achevée au profit de celle des Saints depuis la venue de leur Christ, il est tout naturel que le Prophète ne soit pas lui-même un saint.

La vocation au martyre serait réservée à une élite d'Élus trop restreinte, si elle dépendait vraiment de la Grâce de Dieu. Mieux vaut s’y entraîner soi-même par les armes en décidant soi-même d’en devenir un à la force du poignet.

Il est naturel de penser que mourir d’une  fièvre douloureuse à Médine à 63 ans équivaut à mourir sur la croix à 33, puisque Dieu est Dieu et que mourir équivaut toujours à mourir.

Il est impossible que nous supposions que ces Chrétiens-là soient de vrais croyants ; parce que, si nous les supposions tels, on commencerait à croire que nous ne sommes pas nous-mêmes de vrais Musulmans. 

 

De petits esprits exagèrent trop l'injustice que l'on fait aux Chrétiens d’Orient. Car, si elle était telle qu'ils le disent, ne serait-il pas venu dans la tête des puissances occidentales, qui font entre elles tant de conventions démocratiques, d'écouter le Pape et d'en faire une générale en faveur de la miséricorde et de la pitié ?

 

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Fra Angelico  - Annonciation de Cortone

 

dimanche, 12 septembre 2010

Des mosquées et des hommes

Après le non-événement du non-autodafé par le pasteur Terry Jones de 200 exemplaires du Coran, le non événement du non-attentat terroriste qui était censé s’abattre sur la France (deux non-événements qui ont tous deux occupé la scène médiatique hier jusqu'à ce que Claude Chabrol ne meure), plusieurs questions se posent.

Quel donc l’intérêt :

1)     de susciter un climat de peur diffus dans la société et de défiance à l’égard du fait religieux chez les individus.

2)     d’entretenir dans l’esprit des gens l’idée qu’une sorte d’islamophobie s’est emparée de l’occident alors que jamais, en réalité, l’occident n’a été aussi islamophile.

3)     de  considérer que l’intégrisme religieux est le même partout, au sein du christianisme comme au sein de l’islam.

 

Le sentiment de peur ou celui de malaise profite, on le sait, aux politiques de tous bords, dont le crédit électoral repose en grande partie sur l’illusion qu’ils communiquent d’être alors à même de les dissiper. C’est vrai de Sarkozy et de sa clique, qui par ailleurs, face au danger que les roms feraient peser sur la sécurité des honnêtes gens, proposent la solution de leurs mesures en trompe l’œil. C’est vrai aussi de la gauche et de son « été de la honte », qui en réponse, face aux menaces de fascisme qu’Hortefeux incarnerait pour la République, ne découvre à nouveau que l’incantation de ses formules toutes faites et de ses vœux pieux, faute de proposer une réelle solution, en matière de sécurité comme ailleurs.

En ce qui concerne le deuxième point, je demeure surpris de la mansuétude des droits-de-l’hommistes de tous poils à l’égard d’une religion dont on vient de voir, au Pakistan comme en Algérie, à quel point elle est en effet une religion de la tolérance et du respect des autres !!! Des villages chrétiens sciemment inondés par un gouvernement pakistanais et des infidèles au ramadan rappelés à l’ordre et en cour de justice par un état algérien au garde à vous devant Allah, voilà en effet qui ne mérite pas d’être discuté. Discuté, débattu, diffusé, le délire de Terry Jones, lui, mérite de l’être : fanatisme, intégrisme, aucun terme n’est assez fort pour définir l’horreur de son acte : annoncer qu’on va brûler un livre sacré.

A en croire les politiques et leurs relais médiatiques de tous crins, il devient en effet urgent (pour la liberté des peuples comme pour la culture des individus) de fonder partout et très vite des mosquées, à Ground Zéro, en Suisse comme ailleurs, tant – dans un tel contexte - la religion des musulmans ouvrirait la voie de la lumière à l’humanité enténébrée…

On peut encore en sourire…

Pour longtemps encore ?

13:44 Publié dans Sur le vif | Lien permanent | Commentaires (11) | Tags : ground zero, coran, politique, terry jones, actualité, ramadan | | |

samedi, 11 septembre 2010

Pas d'étincelles pour le Coran

Au Pakistan, pays à majorité islamiste, un gouvernement laisse de grands propriétaires musulmans détourner des rivières en période d’inondation pour noyer sciemment des villages chrétiens et se débarrasser de leur population à bon compte. Le fait est relaté dans la presse sans déclencher outre mesure un tollé d’indignation parmi les bien-pensants occidentaux. Imaginez un peu un la chose dans l’autre sens…

Aux Etats-Unis, un pasteur intégriste promet de brûler le Coran pour l’anniversaire du 11 septembre. Avant même de passer à l’acte, il fait la une des journaux du monde entier. Même le président Obama s’émeut… Diable... Nous ne sommes plus au temps des autodafés, certes. Il est bon de rappeler toutefois que le Coran n’est qu’un livre, un assemblage de pages comme les tous les autres. Qui n’a de sacré que la subjectivité qu’on y projette ou non. Et qu’entre brûler un livre et noyer sciemment des populations rurales sans défense, il y a bien deux poids deux mesures. Deux poids deux mesures, qu’une certaine tolérance devenue imbécilité paraît ne plus mesurer quand elle crée un tel tintamarre pour si peu, et une telle omerta pour beaucoup. C’est triste.

Aux dernières nouvelles, il semble que Terry Jones, le pasteur en question, ait renoncé à faire avec le Coran de vraies étincelles : avec la presse lobotomisée du monde entier, ça aura suffisamment crépiter depuis trois jours. Much ado about nothing...

11:34 Publié dans Sur le vif | Lien permanent | Commentaires (5) | Tags : terry jones, coran, actualité, politique, religion, 11septembre, obama | | |