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samedi, 16 janvier 2010

Chroniques de la Colline

Alexandre Vialatte est comme le Mont-Blanc. Tous ses contours ne se distinguent bien que de loin, avec le recul grâcieux de la distance. C'est comme ça qu'un jour, j'ai commencé à lire et apprécier ses Chroniques de la Montagne. Lui qui est mort depuis presque quarante ans, regardait sa gaullienne puis pompidolienne époque avec le recul distancié de la tendresse et de l’ironie. Ainsi pouvons-nous regarder les grotesques de la nôtre. Sans la même tendresse, sans doute, nous qui avons perdu beaucoup de nos illusions. Mais avec la même ironie…

 

 

En hommage  à Alexandre Vialatte & à ses Chroniques de la Montagne,

un croix-roussien reconnaissant…

 

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· Chronique des gens ordinaires qui vont regarder le foot au comptoir...

 

· Chronique de la Bourse, de George Dandin et de la Cloche de la Charité

 

· Chronique de la grammaire, de la vieille dame indigne et du général de Gaulle

 

· Chronique de l'euro symbolique, de Roselyne Bachelot et de l'Amérique

 

· Chronique du vin chaud en hiver, de la marionnette et des petits glouglous

 

· Chronique de Loulou, du nouveau président des Etats-Unis et de la vie derrière les barreaux

 

· Chronique du premier février

 

· Chronique des étés caniculaires et des hivers rigoureux

 

· Chronique de la fonte des cloches, des anciens incunables et de l'abbé Vachet

 

· Chronique de la fin du mois de juin et de la common decency

 

· Chronique du gras, de l'idiotie, de l'oursin et du prolétaire

 

· Chronique de Séfiradis, de l’argent qui tombe du ciel et de la cantatrice chauve

 

- Chronique-du-grand-style-et-des-transpositions-cinematographiques de vies héroïques

Quoi de neuf, Vialatte ?

 

 

 

10:36 Publié dans Des Auteurs | Lien permanent | Commentaires (3) | Tags : alexandre vialatte, littérature | | |

Commentaires

Oui ! le vin chaud en hiver, la marionnette, les petits glouglous !
C'est ainsi Qu'Alexandre est grand ! (au moins de la même taille que vosu rus ec pocu àl, no diriat beni).

Ej sapsias tusje vuso ride un pitet jonbrou,(ej vuso ouvae uqe ej ne usis sap éduçe,vasoureux le bellit !)
Ej vuso housiate issau nob roucage prou les icrets de trove chopriane éfroncence ua Cafi et xeutra ritorerites uqe vuso vasez.
A benitto !

Écrit par : Frasby | samedi, 16 janvier 2010

Merci à vous Frasby de ce charmillonesque passage. Je suis très agréablement occupé en effet à préparer cette éfroncence et vous dis aussi à benitto.

Écrit par : solko | dimanche, 17 janvier 2010

@Solko : Je reviendrai (verenidria, drapon) vous lire bientôt régulièrement (comme de tucumoe, isus beni upoccée issau, un upe emchêpée de rapt et d'utare) masi is vosu zeva sebion de nu pocu de nima poru fiare du tabtage cubipitalire, sru la teloi, et pratout, prou qu'no tanve le juset de l'éfroncence et qu'no reumate sle efolus
vosu n'evaz qa'u riter la vichellette.
A bno detenneur ... ;-)

Je vous housiate beni de l'ucograe et une très belle oujerné de conille ;-)

Écrit par : Frasby | mardi, 19 janvier 2010

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