mercredi, 17 avril 2019
Notre Dieu est au Ciel et Il fait ce qu'Il veut
Comme beaucoup de gens sensés, je doute que la forêt de chênes séculaires composant la charpente de Notre-Dame ait pu ainsi s’embraser sans quelque aide maléfique : il en est des forêts de cathédrale comme des forêts corses : attentat islamiste ? spéculateurs immobiliers internationaux ? complot du gouvernement ? Tandis que le président exerce son cynisme au jeu du petit père de la nation, le filiforme premier ministre annonce déjà le lancement d’un « concours international d’architecture sur la reconstruction de la flèche » de Notre-Dame, détruite dans l’incendie. On peut s’étonner, comme le fit un petit curé de province anonyme, de cet « activisme effréné qui les a saisis là où le Roi David aurait couvert des semaines durant sa face de cendres, là où l’Empereur de Chine se serait astreint à trois jours de bains d’eau lustrale. Ceux qui nous gouvernent ne se sont-ils pas demandés quelle main les avait frappés ? Sont-ils à ce point orgueilleux que même la catastrophe la plus inattendue ne puisse prendre à leurs yeux la figure d’un présage ? » Ce dont je suis sûr, c’est que quelle que soit la main criminelle qui a agi, elle n'a n’a pu le faire sans le consentement de mon Dieu qui, comme le proclame le psaume 115 chanté à chaque vêpre du dimanche : « est au ciel et fait ce qu’il veut »
Et ce qu'Il fait, Il le fait bien : les reliques sacrées ont été sauvées (couronne d'épines, tunique de saint Louis) le corps du bâtiment médiéval a été préservé. La flèche de Violet-Leduc n'était qu'une restauration et n'avait rien en soi de sacré : elle a été perdue, est-ce une telle affaire ? Demeure de la cathédrale l'essentiel, ce qui est véritablement consacré à Dieu et à sa liturgie. Le reste ...
Pendant bon nombre d'années, il n'y aura donc plus de cérémonies modernistes à Notre Dame, ni de conférences, ni de touristes en promenades culturelles... Tant mieux. Le temps que la France, je l'espère, retrouve ses esprits. Le temps que les Français perçoivent la nécessité pour eux de revenir à la liturgie millénaire et sacrée de la sainte messe traditionnelle, qui seule témoigne de la beauté de l’Église du Christ, de l'Eternité de son Père, ainsi que de la force et de la vérité de l'Esprit Saint.
En attendant, les grandes fortunes françaises, l'état maçonnique, les intérêts privés et les gens attachés à leur patrimoine national « se mobilisent pour Notre-Dame » : ce n’est certes pas très catholique d’entendre certaines de leurs motivations (rouvrir la cathédrale pour les Jeux Olympiques, sauver une certaine image de Paris, satisfaire la curiosité des touristes, retrouver "notre" fierté). Ce que l’humain possède de plus aveuglé, c’est-à-dire l’amour du profit, de l’argent, de la reconnaissance, s’y exprime sous couvert du bien – ce qui est en réalité le pire ! Tout cœur aimant le Christ a le droit de juger cela détestable. Mgr Patrick Chauvet, recteur archiprêtre de la basilique cathédrale Notre-Dame, vient de déclarer : « Je vais devenir un prêtre-bâtisseur », ce qui est de mauvais augure quand on sait ce que représente le « dieu bâtisseur » dans la Bible et qu’on est un tantinet versé dans la symbolique maçonnique et son luciferisme.
Un catholique ne peut que se fier en Jésus-Christ seul : Sur l’Église des fidèles, l'enfer ne prévaudra pas.
Plutôt que de « reconstruire » une cathédrale pour les touristes, il vaudrait bien mieux songer à construire des fidèles : si l’éducation nationale, par exemple, introduisait dans les écoles primaires des cours de théologie catholique, plutôt que de laïcité maçonnique, dans lesquels on expliquerait aux enfants de toutes les confessions religieuses que si la nature de Dieu est bien d’être Une, à la fois éternelle, juste et miséricordieuse, ce Dieu unique s’est réellement manifesté dans l’Histoire sous la forme de trois personnes, Père, Fils et Saint-Esprit, et qu’Il est vain de Le prier sans Le connaître, tel que le Verbe (sa Connaissance parfaite, son Fils) l’a révélé. Enseigner autrement dit la Vérité. Je rêve ? La France qui a construit Notre-Dame savait ce mystère, celle qui parle de la reconstruire l’a oublié. Elle ne peut donc – à moins de renaître à son baptême - cette France là que construire autre chose : un temple maçonnique à la gloire d’Olympie… Mieux vaudrait alors que dans les ruines de Notre-Dame poussent ronces et vignes-vierges, et que la nature, sous la croix, y reprenne tous ses droits…
14:55 Publié dans Là où la paix réside | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : notre-dame, macron, christianisme |
samedi, 28 novembre 2015
La terreur
On glissera rapidement sur quelques formules oiseuses du président hier, du genre : « Ils ont le culte de la mort, nous avons l'amour de la vie » : cela veut dire quoi, président ? Les gens de Daech disent la même chose à leurs troupes ! Ou encore : « Une horde d’assassins a tué 130 des nôtres et en a blessé des centaines, au nom d’une cause folle et d’un dieu trahi » : Des hordes d’assassins sorties d’où ? Armées par qui ? Et le dieu trahi, c’est quoi ? D’où parlez-vous ? Êtes-vous imam ? Prêtre ? Et puis : « Ces femmes, ces hommes, étaient la jeunesse de France, la jeunesse d’un peuple libre, qui chérit la culture, la sienne, c’est-à-dire toutes les cultures. » Sa culture, la sienne, toutes les cultures, euh… On ne suit plus, là… Vous passeriez le bac, François, c’est le 4/20 assuré… Et enfin : « L’ennemi, c’est le fanatisme qui veut soumettre l’homme à un ordre inhumain, c’est l’obscurantisme, c’est-à-dire un islam dévoyé qui renie le message de son livre sacré » Ravi d’apprendre que pour vous, président d’un pays prétendument laïc, le Coran est un livre tout soudain électoralement sacré…
Pour mesurer la pente descendue, j’emprunte à mon ami Alexipharmaque ce dessin de Dutreix qu’il a publié sur son blog récemment. On y découvre les 4 dessinateurs de Charlie abattus en janvier riant à gorge déployée devant une voyante qui leur prédit un avenir alors incroyable, délirant, absurde, littéralement - et c'est la force de ce dessin - inenvisageable, si l'on se souvient des certitudes de l'époque... Et pourtant... Tout ce qui était encore une certitude est devenu depuis une incertitude : la fameuse liberté d'expression, certes, certes. Mais également une paix durable en Europe, et tout ce qui va avec, tant sur le plan culturel qu'intellectuel et matériel.
Car le dessin de Lutreix a tout l'air de surgir d'une société disparue. Une société qui - en toute insouciance - croyait globalement en sa force, son origine, son avenir, vivant dans l'enclos merveilleux d'une souveraineté assurée, sans qu'on pût imaginer qu'elle était peu à peu bradée, de traité en traité, par chacun de ses dirigeants. L'esprit Charlie, on ne dira jamais assez à quel point seul un pouvoir politique fort, celui hérité de De Gaulle, le rendit possible : il était enfant de la dissuasion nucléaire, d'une souveraineté républicaine que n'avaient entamée ni l'euro ni Schengen, d'une urbanité dans laquelle l'Islam faisait figure de lointain folklore inoffensif, entre hindouisme et bouddhisme, et d'une liberté de paroles et d'actions qui tient à présent, à l'ère de Google et de la vidéo-surveillance, de la rêverie antédiluvienne. On ne parlait pas de communautarisme mais de liberté individuelle de croire et de penser, pas de 90% de bacheliers, mais d'ascenseur social.
Il y avait certes dans cette posture autant d'arrogance que d'insouciance, comme si toute la génération qui naquit au sein de cet oasis français d'après-guerre, à l'abri de son histoire et de ses frontières, n'avait fréquenté vraiment le reste de la planète qu'en touristes peu éclairés, sans en mesurer la réelle dangerosité. Mais cette arrogante insouciance, ou cette insouciante arrogance, comme on voudra, tenait lieu de certitude, justement, et presque de citoyenneté.
« Nous sommes entrés dans la Troisième guerre mondiale, disait le pape François le 8 aout 2014, simplement c'est une guerre morcelée, menée par chapitres ». Que dit notre pitre de président, lors d'une cérémonie de commémoration après la mort de 130 français fauchés en plein Paris ? «Nous multiplierons les chansons, les concerts, les spectacles, nous continuerons à aller dans les stades». Avec François président, on résiste en continuant à rigoler, dans le déni de l'État d'urgence par lui, pourtant, déclaré, dans le déni surtout de ce que tout le monde voit... A quoi joue-t-il ? Parviendra-t-il - ou plutôt parviendrons-nous - au terme de son cauchemardesque quinquennat ?
Car ce dont ce dessin terriblement lucide se moque aussi, c'est de la puissance, de la généralisation et du ridicule de la récupération orchestrée après les événements de janvier par ce pouvoir hors-sol : Notre Dame, Hollande, Netaniyahou, le Nasdaq, l'Académie Française... Dès lors que le président à la cravate de travers eut donné son feu vert, tous les medias, toutes les institutions s'y sont mis. Après l'aveuglement de l'insouciance, l'ineptie de la déploration sur le mode de la pantomime Je suis Charlie. Une France décidément tout aussi aveugle que soumise, conduite par son président normal jusqu'aux confins de l'absurde anormalité. De quoi en effet rire aux éclats, comme si l'irréalité de la France de Hollande dépassait en degrés tout ce que la bohémienne au hibou pouvait prédire, pour s'écraser contre un réel plus compromis encore qu'aucune fiction ne saurait le dire : de quoi cesser, alors, de se tordre de rire comme des idiots.
Quittons dès lors le domaine franco-français, cessons de contempler notre nombril, prenons au sérieux les menaces qui pèsent sur nous : selon l'axe de la propagande des djihadistes sans cesse martelée dans leurs vidéos et sur leurs sites, leur objectif ultime, ce n'est ni New York, ni Paris, ni Londres, mais Rome. Pourquoi ? Parce que la guerre en cours, outre ses enjeux économiques, politiques, démographiques, puise sa raison d'être et le renforcement de sa main d'œuvre dans le religieux. Et parce que c’est de Rome que vint la force morale qui en 1571, à Lepante, et en 1683, à Vienne, repoussa l’Islam et configura l'Europe chrétienne d'où sont issues nos fameuses valeurs. C'est par conséquent Rome que l'État Islamique souhaite frapper le plus durement. C'est donc Rome qu'il nous faut tous protéger par-delà nos atermoiements républicains, dans le fond assez grotesque quand La Marseillaise y côtoie Perlimpinpin.
Le FBI, averti de risques potentiels, a en effet prévenu le pape François que le Jubilé de la Miséricorde est dans le collimateur des islamistes. Il va néanmoins heureusement s'ouvrir, mais sous une haute surveillance policière et militaire. Il est certain que la remise en cause, par les barbus de Daech, de ce Jubilé qui doit s'étendre durant un an, et dont l'un des points culminants sera les JMJ de Cracovie, serait un formidable moyen de déstabilisation des consciences et un levier puissant pour imposer un peu plus la terreur dans un continent de consommateurs soumis à une désorganisation politique et religieuse sans précédent dans son histoire.C'est tout ce que Rome représente qu'ils visent et, qu'on ait ou non la foi chrétienne, il va bien falloir se positionner devant ce fait autrement qu'en chantant du Brel et en allumant des bougies dans les rues..
Pour la première fois, j'ai rencontré hier à Lyon trois militaires devant la cathédrale saint-Jean, postés là comme devant une synagogue ou une mosquée. J'ai échangé quelques paroles avec l'un d'entre eux et lui ai souhaité Bon Courage. C'était à la fois irréaliste et chaleureux, leurs treillis, leurs bérets et leur jeunesse, devant cette façade aux niches de saints vides de la primatiale, et sur ce parvis délaissé par ses habituels clochards.
Robert Ménard vient de publier une charte de l'Imam contre laquelle s'enflamment quelques activistes des réseaux sociaux qui, dans leur rhétorique boursouflée, évoquent une charte de la honte. C'est simple, précis, et cela tient en six points :
• Tous les prêches doivent être faits en français.
• Imams et fidèles ne doivent faire aucun appel à la prière dans les rues.
• Imams et responsables des mosquées ne doivent pas établir de liens avec des courants extrémistes.
• Imams et responsables des mosquées ne doivent pas diffuser des discours ou faire la promotion des cheikhs saoudiens (wahhabites) ou des Frères musulmans.
• Imams et responsables des mosquées doivent s’engager à ne pas promouvoir les textes et livres appelant au djihad et réclamant la peine de mort pour les apostats, les athées et les homosexuels.
• Imams et responsables des mosquées doivent s’engager à ne recevoir aucun financement d’un État, d’une collectivité ou d’une association étrangers.
Contient-elle autre chose que ce qu’a promis de faire l’État français ? Quel « républicain » favorable à la fameuse intégration et aux fameuses valeurs peut dire qu’il est contre ? A moins, d'une certaine façon, de céder à la Terreur...
09:47 Publié dans Sur le vif | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : béziers, ménard, charte de l'imam, lutreix, invalides, attentats, notre-dame, hollande, netaniyahou, le nasdaq, l'académie française, charlie, cabu, wolinski, jubilé de la miséricorde, rome, pape françois, fbi, jmj, cracovie, perlimpinpin, marseillaise |
mardi, 21 mai 2013
Dominique Venner
Personne ne peut rester indifférent au geste d'un homme qui se suicide devant un autel. Pour de multiples raisons, qui vont bien au-delà du geste spectaculaire. D’abord parce que dans la théologie catholique, le suicide est un péché d’orgueil, le pire qu’on puisse asséner à son Créateur. Cela dit, je ne doute pas qu’en conscience, Dominique Venner ne se soit pas considéré comme un suicidé, mais bien plutôt comme un soldat.
Dans le dernier billet qu’il a laissé ce matin même sur son blog, consacré à la loi absurde passée en coup de force par Hollande, il écrit ceci :
« Je viens d’écouter un blogueur algérien. De toute façon, disait-il, dans quinze ans les islamistes seront au pouvoir en France et ils supprimeront cette loi. Non pour nous faire plaisir, on s’en doute, mais parce qu’elle est contraire à la charia »
Suit cette phrase, citée partout : « Il faudra certainement des gestes nouveaux, spectaculaires et symboliques pour ébranler les somnolences, secouer les consciences anesthésiées et réveiller la mémoire de nos origines. Nous entrons dans un temps où les paroles doivent être authentifiées par des actes ».
Pour se maintenir au pouvoir et faire, à sa place, la politique de son prédécesseur, Hollande a mis le doigt dans un engrenage qui finira par lui être fatal, c’est celui d'une manipulation trop criante de l’opinion. Parce qu’il en avait besoin, il a fait de cette réforme du mariage « pour tous » une manière d’être de gauche quand même. Il a pris de front l’épiscopat français et une grande partie des catholiques, de même que la tradition du pays, alors qu’il était si simple de mettre sur pied une union civile donnant les mêmes droits aux homosexuels, sans engager avec le mot mariage une possibilité de recours devant la cour de justice européenne pour obtenir des droits sur la filiation, et sans choquer les consciences religieuses, juives et musulmanes comprises.
Mais Hollande a beau être un énarque doctrinaire enfermé dans l'histoire de son parti et sa stratégie personnelle, il veut être le président de tous les Français. Aujourd’hui pompier pyromane, il parle d’apaisement pour tenter d’éteindre par la loi l’incendie qu’il a lui-même allumé en proposant cette loi. Le sang de Dominique Venner l’éclabousse donc indirectement comme, ironie du sort, celui de Grossouvre lui aussi suicidé (mais à l’Elysée), éclaboussa plus directement Mitterrand, l’homme que le triste sire qui habite àl’Elysée s’est donné pour modèle. Ironie du sort, toujours, non seulement Venner et Grossouvre étaient de grands amis, mais encore Venner, en tant que directeur de la Nouvelle Revue d’Histoire, avait dernièrement rouvert le dossier sur le prétendu suicide de son ami personnel, ce même Grossouvre qui fut surnommé durant deux septennat le ministre de la vie privée de MItterrand
Bref, le suicidé de Notre Dame n'est pas n''importe qui, un quelconque agité d'extrême droite, un simple militant anti mariage pour tous, comme on le clame sur toutes les ondes
Je cite ici quelques propos de Venner, plus érudit que militant, directeur de la NRH où écrivit Decaux et Jacqueline de Romilly, qui permettent d’aider à mieux comprendre cet acte, par-delà les raisons données par la propagande officielle :
« Ce qui caractérise la société dans laquelle nous vivons et ses classes dirigeantes, c'est le rejet de l'histoire, le rejet de l¹esprit historique. Celui-ci avait plusieurs mérites. Il assurait d'abord la vigueur du sentiment national ou identitaire. Il permettait d'interpréter le présent en s'appuyant sur le passé. Il développait l¹instinct stratégique, le sens de l'ennemi. Il favorisait aussi une distance critique par rapport au poids écrasant du quotidien. Ce rejet de l'histoire s¹accompagne paradoxalement d'une hypertrophie médiatique de ce qu'on appelle la mémoire, qui n'est qu'une focalisation partielle et partiale d'évènements contemporains. Comme les autres spécialistes des sciences humaines, les historiens subissent le chaos mental de l'époque et participent à l'effort général de déstructuration. Sous prétexte de répudier tout impérialisme culturel, l¹enseignement de l'histoire a brisé le fil du temps, détruisant la véritable mémoire du passé. Suivant l'expression d¹Alain Finkielkraut, il nous apprend à ne pas retrouver dans nos ancêtres l'image de nous-mêmes. Le rejet de la chronologie est un procédé très efficace pour éviter une structuration cohérente de l'esprit. Cela est bien utile. La cohérence gênerait la versatilité et le tourbillonnement dont se nourrit une société soumise à la tyrannie de l'éphémère et de l'apparence. Ma conception de l'histoire est évidemment différente. Je l'ai définie dans l¹éditorial du premier numéro d'Enquête sur l¹histoire : Notre vision du passé détermine l'avenir. Il est impossible de penser le présent et le futur sans éprouver derrière nous l'épaisseur de notre passé, sans le sentiment de nos origines. Il n'y a pas de futur pour qui ne sait d'où il vient, pour qui n'a pas la mémoire d'un passé qui l'a fait ce qu'il est. Mais sentir le passé, c'est le rendre présent. Le passé n'est pas derrière nous comme ce qui était autrefois. Il se tient devant nous, toujours neuf et jeune. »
L'impératif de l'historien (propos recueillis par Laurent Schang).
La gauche, enfin cette gauche socialo-libérale exécrable, Lang, Bergé, Mamère et consorts, va fêter non loin de Notre Dame sa « victoire » à la Bastille. Ils vont klaxonner dans les rues, aussi ? Sans doute ce que Hollande et ses sbires appellent apaiser. En attendant, voici une capture d’écran (vers 20h30), qui en dit long sur l’état des troupes, en effet. Triste pays.
20:55 Publié dans Des Auteurs | Lien permanent | Commentaires (16) | Tags : dominique venner, suicide, notre-dame, mariage gay, politique, france, société, festif, décadence |
mercredi, 13 février 2013
Femen propagande
D’où sortent ces femmes ?
Quel lobby organise leurs commandos anti-catholiques ?
Qui paye les amendes (troubles de la voie publique, attentats à la pudeur…) que provoque chacune de leurs récurrentes sorties ?
Qui met sur pied leur communication, facilite leur médiatisation, provoque les points presse ?
Qui les protège, jusqu’au plus haut sommet de l’Etat ?
Quelle cause mortifère, derrière cette propagande ?
Qui est derrière ces actrices porno recyclées en pseudo-militantes ?
Qui conduira l'enquête ?
A lire ICI le billet de Nauher sur le sujet
A lire ICI l'article de Roger-Petit
16:21 Publié dans Sur le vif | Lien permanent | Commentaires (10) | Tags : fement, france, notre-dame, propagande, provocation, mariage gay, politique |