mercredi, 10 septembre 2014
Narcisse et les pauvres
« Je ne veux pas qu'on puisse dire ou écrire que je me moque de la douleur sociale, car c'est un mensonge qui me blesse», vient de déclarer au milieu de la cacophonie politique – pauvre chou – le pingouin disgracieux. Autrement dit, je me fous comme de ma première chaussette de la misère sociale, mais pas d’un mensonge qui me blesse, à ca non !. Blesser Moi Président dans son amour propre, un crime de lèse majesté ! Valérie dépasse les bornes ! Eh oui, l'anaphore tristement fameuse aurait dû inquiéter davantage les électeurs : Quel aveu narcissique, quel souci de soi aussi, dérisoire au centre du chaos du monde ! Conclusion : N’est pas le pape François qui veut ...
14:48 Publié dans Sur le vif | Lien permanent | Commentaires (6) | Tags : pape françois, hollande, narcissime, imposture |
Commentaires
Écrit par : patrick verroust | mercredi, 10 septembre 2014
Écrit par : Julie | mercredi, 10 septembre 2014
Écrit par : Julie | mercredi, 10 septembre 2014
Écrit par : Sophie K. | jeudi, 11 septembre 2014
C'est joli comme tout, cette appellation..
Strauss Khan doit les aimer aussi, ces fleurs...
Oh !
Écrit par : Bertrand | jeudi, 11 septembre 2014
Avec pareille recette, les gogos s'engouffrent.
Il était pourtant aisé de comprendre que le pays allait en ressortir paralysé pour des années.
Écrit par : tamet de bayle | lundi, 15 septembre 2014
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