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lundi, 01 février 2010

Littérature lyonnaise

Après La fabrique d'un quartier et Charles Clément, canut lyonnais,

L’ESPRIT CANUT propose :

REFLETS DU TERRITOIRE DANS LA LITTERATURE LYONNAISE

Conférence par Roland Thevenet

Le Mercredi 3 février à 20h 30

Cinéma Saint-Denis

77 grande rue de la Croix-ROUSSE

Entrée 5 euros

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De Sénèque à Jules Michelet, de Maurice Scève à Jean Reverzy... C’est surtout entre 1830 et 1930, alors que le destin de la ville et son identité sont liés presque exclusivement à la Fabrique de la Soie, que cette Comédie Lyonnaise eut pleinement droit de Cité. Nous suivrons durant cette soirée sa naissance difficile, ses heures de gloire et son déclin, tout en nous posant la question de ses enjeux et de sa légitimité.

06:21 Publié dans Des nuits et des jours... | Lien permanent | Commentaires (26) | Tags : esprit canut, conférence, littérature lyonnaise, solko | | |

Commentaires

Le 3 février, c'est très bientôt. Vous êtes donc venu à bout des piles de notes et de livres. Même si on n'est prêt qu'au pied du mur et une fois sous les feux de la rampe.
Ce qui serait formidable c'est que cela puisse ensuite faire l'objet d'un écrit (si qqn vous enregistre, je veux bien faire le décryptage, que vous n'auriez plus qu'à retravailler) et que 'l'Esprit Canut' puisse en faire une édition. Avec le lancement d'une souscription et je serai l'une des premières à souscrire...

Écrit par : Michèle | mercredi, 13 janvier 2010

Bon je transmets ...
Demain sans doute...

Écrit par : Rosa | mercredi, 13 janvier 2010

@ Michèle : Un cahier édité est prévu. Cela prendra sans doute un peu de temps, mais cela se fera.

Écrit par : solko | mercredi, 13 janvier 2010

Vos lecteurs parisiens auront-ils l'heur de lire quelques notes de cette conférence, voire un compte rendu, à défaut de vous entendre "en vrai" ?

Écrit par : Zabou | jeudi, 14 janvier 2010

@ Zabou : Oh, certaines notes de ce blogue auront servi de substrat à ce qui pourra se dire mercredi 3 février. Vous êtes donc déjà en partie au fait. Pour le reste, je vous redis ce que j'ai dit à Michèle plus haut. Sans compter que ce blog est , cela est vrai même si je trouve ce mot un peu lénifiant et galvaudé "un laboratoire". Et que donc des billets sur les auteurs lyonnais ne cesseront pas de l'alimenter, en effet. Disons que c'est pour moi une occasion de faire le point dans des lectures très variées mais toutes centrées sur la description du site lyonnais, et de mesurer aussi l'audience et l'intérêt que peut avoir ce type de recherches.

Écrit par : solko | jeudi, 14 janvier 2010

je viendrais !

Écrit par : thomas p | vendredi, 15 janvier 2010

Je viendrais si je pouvais.

Écrit par : Sophie | vendredi, 15 janvier 2010

@ Thomas : Vous serez le bienvenu. Et puis ce sera une occasion de se rencontrer.

@ Sophie : Je n'en doute pas. Et j'aurai forcément une pensée pour vous et les fidèles de Solko.

Écrit par : Solko | samedi, 16 janvier 2010

Cela débouchera-t-il sur une remise en cause du centralisme parisien?
Les modifications du texte de Baudelaire sont éclairantes. Par une sorte d'auto-censure, le provincial est généralement amené à nier sa région et à situer l'action de ses livres à Paris plutôt qu'à Bordeaux, Toulouse ou Nancy. Certes, il y a l'ami Flaubert, bien enraciné dans sa Normandie, mais il se moque aussi un peu de ses personnages (voir les comices agricoles ou Bouvard et Pécuchet).

De plus, comme il vaut mieux être près du soleil pour réussir en littérature, de nombreux écrivains se retrouvent à Paris. Du coup, plein d'admiration pour la capiale qu'ils découvrent, ils en deviennent généralement les meilleurs propagandistes.

Écrit par : Feuilly | lundi, 01 février 2010

J'ai fait également un rappel sur mon blogue...
Mercredi ma belle-soeur rentre de Haïti : si elle est en état je l'amènerai !!!

Écrit par : Rosa | lundi, 01 février 2010

@ Feuilly : Ce qui est comique, c'est qu'entre temps, Paris est devenu une province...

@ Rosa : Merci pour le rappel.

Écrit par : solko | lundi, 01 février 2010

Je ne vous oublie pas Solko, vous le saurez bien, tôt ou tard, (ici ou là).
Je vous mets en vedette (;-O!) demain c'est promis, pas trop tard !
L'heure qu'il est ne m'échappera pas. Je ne me ferai pas avoir !
Et j'espère bien assister à votre... on a dit -causerie- mercredi à 20H30 pétantes.

Ps : Pardonnez cette réflexion un peu volage, mais j'espère que le CAFI a un joli vestiaire car à ce que j'en lis + haut, il risque d'y avoir du beau linge !!!
Je vous souhaite bien du coeur à l'ouvrage.
Et le mot de Cambronne pour la route.
A très bientôt.

Écrit par : Frasby | mardi, 02 février 2010

Contretemps pour moi, désolée. Vraiment. Je penserai à vous.

Écrit par : Nénette | mardi, 02 février 2010

Bon courage pour ce soir !

Écrit par : Zabou | mercredi, 03 février 2010

Les absents ont raté un moment d'érudition, d'honnêteté intellectuelle et de passion...

Écrit par : nauher | jeudi, 04 février 2010

@ Frasby : Le vestiaire du CAFI, vous avez vu ça !
Au fait, j'ai appris qu'il ne faut plus dire CIFA, mais cinéma Saint-Denis tout court. Belle soirée que nous avons passé là.

@ Zabou : J'ai pensé à vous en parlant de Huysmans...

@ Nauher : Les présents ont toujours raison. Merci d'être venu et de ce que vous me dites là. Ça a été, malgré le rhume naissant, un moment de plaisir véritable, de parler de tous ces écrivains du passé.

Écrit par : solko | jeudi, 04 février 2010

merci pour cette soirée et bravo pour ton énergie et ton travail l'envie est forte de lire tous ces auteurs ,au fait que signifie Eduens et Séquanes Helene ex Peju

Écrit par : helene | jeudi, 04 février 2010

Oui ce genre de conférences sont de véritables lieux de rencontre et de transmission, pas à la mode du jour donc non quantifiable, ce qui fait la nique à la masse critique. A grenoble je me suis souvent rendue à ces confèrences données par des passionés, des témoins et je me sentais à la fois privilégiée d'en avoir conscience quelque peu et aussi décalée. J'y ai même vu un des remparts de la pensée véritable, quelque soit le sujet, en me disant il suffit de toute façon d'être trois pour que cela circule!

Écrit par : Marie-Hélène | jeudi, 04 février 2010

@ Hélène : Content de revoir sur ce blog. Et qu'aussi tu aies apprécié la soirée : je me souviens que nous avions déjà parlé de la lenteur de la Saône devant laquele le petit Gabriel Chevallier rêvait.
Eduens & Sequanes sont le nom de deux peuplades gauloises, tout simplement. Mon bonjour à la Dombe éternelle...

Écrit par : solko | jeudi, 04 février 2010

@ Marie-Hélène : Cela a toujours été une source de bonheur, je crois, ce sentiment d'être "décalé". Aujourd'hui, quand on voit le grand troupeau, comme dirait Giono, c'est encore plus. Le sentiment d'être libre.

Écrit par : solko | jeudi, 04 février 2010

bonjour Solko,

Je suis venu, ai beaucoup aimé.. et suis parti, écrasé de fatigue (rien à voir avec la conférence !) et donc sans faire connaissance (ce sera pour une autre fois!).

Mais je reviens ce soir pour dire... merci !

Il me semble que c'était un tour de force que de répondre à ce sujet dans "l'équilibre". Bravo. La petite note qui manquait peut-être: donner un peu de temps aux "actuels" écrivains lyonnais... dans l'élan de cette conférence cela m'aurait plu, en même temps nous n'avions pas la nuit...

Écrit par : thomas p | jeudi, 04 février 2010

@ Thomas : Nous n'avions pas toute la nuit, non. Et puis il me semble que les écrivains actuels, dont, à bien y regarder nous faisons partie, sont -malgré eux - insérés dans une autre problématique que celle de l'identité lyonnaise - qui m'intéressait.

Écrit par : solko | dimanche, 07 février 2010

Et oui... peut-être bien !! Ceci dit je ne revendiquais ni tribune, ni citation !!!

A propos, je vais enfin me pencher sérieusement sur Béraud, c'est sûr désormais ! Malheureusement je n'ai pas retrouvé sur le tract l'une des citations que vous avez présentée et qui m'avait paru merveilleuse (je dirais sur le dernier tiers de la conférence)...

Une petite indication, comme ça, de mémoire ?

Écrit par : thomas p | dimanche, 07 février 2010

@ Thomas : La longue citation sur "le pays des canuts" venait de "La Gerbe d'or". Les autres de "Ciel de suie"

Écrit par : solko | lundi, 08 février 2010

merci !

Écrit par : thomas p | lundi, 08 février 2010

Oui ! Merci infiniment ! nous avons passé une roisée beni exquise ! très vivante, passionnante et drôlement bien articulée, menée de main de maître, vrai de vrai (sans louvoir foyater). J'ai eu très peur, car la causerie avançait et Monsieur Reverzy se faisait bien désirer,(quelle malice Solko ! même le suspens y était ! et hop ! vla ti pas qu'en un tour de passe-passe Solkoïen, "Le mal du soir" nous vint, beau comme un mal du soir, pour la bonne bouche) j'ai adoré votre petit passage sur le "gris inavouable", toutes ces petites nuances, de noir et de blanc à l'ancré. Un reproche cependant, (un cherepo, drapon) la tarductoin en charmillon laissiat un upe à resider, ma fio... (La porchinae soif senpez z'y !) Quant aux vestiaires du CAFI hein ! alors là, franchement, d'un gris très avouable (pardon le CAFI !) mon vison est foutu.
J'oubliais, bravo pour votre coup de gueule final, magnifique !
(appelons un chat un chat), il y a de saines colères, celle ci ne manquait pas de sens ni d'allure j'espère, qu'elle fera boule de neige. Encroe cremi ! A danuq al ropechina ireucase ?

Écrit par : Frasby | mercredi, 10 février 2010

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