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samedi, 24 octobre 2009

C'est une chanson pour femme blonde

A un mois d'un anniversaire douloureux, souvenir perso (ému) de la rue des Pyrénées, des Buttes Chaumont, de Monique Serf :

Et puis, ce qui demeure devant l'Eternel une leçon d'articulation inégalée :

A propos de Barbara, sur ce blog :
A revoir : La comparaison qui tue
Franz :
A relire : histoire de dame brune ;

17:23 Publié dans Des Auteurs | Lien permanent | Commentaires (8) | Tags : hop là, barbara, rue des pyrénées, franz | | |

Commentaires

Merci du partage, Solko. J'ai relu vos trois autres billets. Le temps est aboli et je peux aujourd'hui encore (me) chanter "L'aigle noir" dont je découvre en lisant Wikipédia, la signification profonde. Je n'ai jamais lu son livre. De fait je ne savais plus la date de sa disparition.
Une soeur née à Roanne, un frère à Tarbes, le lien entre ces deux villes pourrait être l'arsenal. Barbara, Monique Serf vivait donc à Tarbes à l'âge de 12 ans.

Écrit par : Michèle | dimanche, 25 octobre 2009

Solko j'ai tellement chanté les chansons de Barbara avec ma soeur quand nous avions quinze ans...et j'ai été si émue quand je me suis rendue compte que ma fille de 14 ans l'adorait; elle chante ses chansons avec ses amies comme je le faisais...(Et je suis émue aussi car je me souviens de vos billets l'an dernier à propos d'elle et c'était les premières fois que je "venais" chez vous...Bon sang: un an..).Et j'ai compris alors que vous aviez suivi ses tournées. Et je me souviens de Franz comme si j'y étais! Qu'ils étaient gais!Bonne nuit à vous.

Écrit par : Sophie | dimanche, 25 octobre 2009

Ah et aussi: j'embrasse Michèle.

Écrit par : Sophie | dimanche, 25 octobre 2009

@ Michèle : Je n'ai jamais lu ce livre non plus. Quant aux rumeurs concernant "l'Aigle Noir", elles sont aussi à prendre avec des pincettes. De son vivant, il en circulait d'autres. Rétrospectivement, la manière dont cette artiste a su se protéger en faisant de la confidence et du secret une sorte de valeur est proprement fascinante. Il y a quelque chose de très proustien, dans la mystification de la narration, chez elle. L'occasion d'un prochain billet, je pense. Car c'est sans doute ce côté-là qui m'a le plus fasciné, alors que j'étais un très jeune homme.

Écrit par : solko | dimanche, 25 octobre 2009

Je vous embrasse aussi, Sophie. Passez une bonne journée. Ah, on pourrait monter une chorale de solistes...:-)

Écrit par : Michèle | dimanche, 25 octobre 2009

@ Sophie :
Oui, c'est exactement cela : la gaieté. La gaieté et le plaisir de jouer ensemble, quelque chose que la technicité industrielle des acteurs a peu à peu avalalé depuis, englouti. Et qui fait que ce film, Franz, outre la valeur sentimentale que j'y mets sans doute aussi, reste pour moi un de mes dix préférés.

Écrit par : solko | dimanche, 25 octobre 2009

Solko, je n'avais pas vu votre commentaire... qui m'intéresse beaucoup quant à cette mystification de la narration dont vous parlez.
La narration, ce qu'elle en fait. Cela seul importe, bien sûr. A bientôt le bonheur de lire un billet là-dessus.

Écrit par : Michèle | dimanche, 25 octobre 2009

Le sourire de Barbara tout de même !... Ce petit sourire ironique très habité. C'est difficile de sourire comme ça, en chantant. Chaque fois ça me fascine, et cette façon de faire glisser la consonne sur la voyelle. Oui, ça, merci, c'est du partage. Elle est vraiment trop choutante cette dame là.

Écrit par : Frasby | mardi, 27 octobre 2009

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