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dimanche, 18 octobre 2009

Solko dans l'encrier

Causer toujours tout seul chez soi, c'est prendre le risque de finir par radoter, malgré la gentillesse des commentateurs & des commentatrices qui visitent régulièrement le taulier, comme on dit ça et là, et lui épinglent d'aimables messages sur le chêne de sa porte.  Aujourd’hui dimanche, je me suis donc paré de mon plus beau gilet et de ma redingote amidonnée, puis j'ai posé mon haut-de-forme poussiéreux sur mon crâne. Auparavant, j'avais enfilé ma paire de guêtres la moins rapée. Ensuite je me suis parfumé avec un peu de bergamote, ce qui me restait au fond du flacon pour marquer les jours d’exception (trois fois par an, guère davantage). Un petit coup de peigne, et hop ! Pressé comme j'étais, j'ai oublié de refermer le tiroir du chiffonnier...  Car figurez-vous donc que je suis invité à débobiner du maxillaire dans un blogue voisin et ami. Ce qui montre bien la convivialité et l’urbanité règnant encore par les étages de la blogosphère, où c'est tout à la bonne franquette; ce qui n’est plus toujours le cas dans ceux de la vie réelle, bien hélas, messieurs-dames.  

Adonc, et si le cœur vous en agrée, je vous convie à lire la suite ou plutôt un autre commencement, en cliquant d’un geste sûr et gracieux Là-dessus…

 

NATURE MORTE Still-Life with a Basket of Flowers d'Antoine BERJON 1814.jpg
Nature morte d'Antoine Berjon.

lundi, 14 septembre 2009

Tempête dans un encrier

vague.jpg

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06:08 Publié dans Sur le vif | Lien permanent | Commentaires (2) | Tags : tempête dans un encrier, littérature, culture, actualité, écriture | | |