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samedi, 07 mars 2015

Le pélérin de l'Absolu

Plus peut-être que ce qu'on raconte de Bloy dans ce document vieux de presque un demi-siècle, ce sont les visages, les regards, les cravates, les bibelots, le phrasé, les voix, les accents, les passés simples des intervenants qui méritent le détour. Qui a lu Bloy n'y apprend rien;  mais on y retrouve la saveur et le goût d'une époque pour la littérature, goût et saveur parfaitement disparus dans la France dévastée de Hollande dont Bloy n'aurait eu, je crois, rien, mais alors plus rien à dire tant elle est devenue inexistante au regard de ses espérances.


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