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Je ne peux pas te dire si c'est bien parce que je m'y mets tout juste et ne manie à grand mal que quelques fonctions. Au lieu d'images bitmap, c'est du dessin vectoriel. Il y a du gadget dans certains outils, comme sur d'autres logiciels, mais la part purement graphique offre des ressources très vastes et une précision d'orfèvre.
Écrit par : solko | lundi, 11 juillet 2011
Dans l'alcôve "forest" : La terre est un énorme Imagier. Images réelles, fictives, virtuelles où rêve et réalité se cognent, s'attirent et se repoussent en une rivalité aussi féconde que meurtrière. La langue bat la chamade. "Répons" aux cris d'incompréhension, le récit ligneux peut commencer...
Dans l'alcôve "tempest" : La terre s'est soulevée, fissurée. Les hêtres se sont arrachés à leur immobilité et ont glissé lentement le long du ciel. La lune a posé sa douceur maligne sur l’entrelacs des branches. Chaque élément a quitté son excès de solitude et tramé sans fin le chant tempêtueux.
Dans l'alcôve "winter" : Tout est devenu croupes hideuses sous l'éclat des couperets. La vie s'est en allée, embaumée d'épices, toutes têtes mises de côté. De l'aube au couchant la mort a bourdonné, claqué, clicqueté, dans les arbres étêtés.
Dans l'alcôve "désert" : Il a marché, cligné des yeux, marché vers les lointains cendreux. Il a prié, il a marché. A pas lents, pieds nus, tête nue. Sans gloire et sans escorte. Il a cheminé à contre-nuit, a passé au ralenti, et c'était toujours la même image en noir et gris, la même image au ralenti.
Écrit par : Michèle | lundi, 11 juillet 2011
Michèle
J'aime cette idée de "récit ligneux", et ces échos entre les hasards d'une image et ceux d'un texte. "Quitter son excès de solitude" et l'image "tempest", deux notions qui vont bien ensemble. "Passer au ralenti" et l'image "désert" aussi. L'idée d'une image qui se répète et celle d'un récit qui se reconduit. Cela pourrait être le point de départ d'un petit livre (virtuel)
Écrit par : solko | lundi, 11 juillet 2011
C'est marrant, j'aime bien Winter qui est très chorégraphique...
Et Alceste ? Il en pense quoi d'Illustrator ?
Illustrator, illustrator ! morbleu je ne vois là que stérile amusement, vaine occupation, et qu'on figure en ces alcôves des arbres décoiffés, étêtés, ne fait que m'échauffer un peu plus la bile.
Écrit par : alceste | lundi, 11 juillet 2011
Solko, j'ai mal positionné mon billet. Je voulais le placer sous votre consigne. :)
Écrit par : Michèle | lundi, 11 juillet 2011
Michèle
Il y a parfois des billets dont je ne sais quoi penser... Celui-là en est.
Écrit par : Benoit | mardi, 12 juillet 2011
Benoit
Oh ! et je ne crois pas avoir eu l'occasion de vous le souhaiter : Bonnes vacances !
Écrit par : Benoit | mardi, 12 juillet 2011
Benoit
A toi aussi, Benoit, à toi aussi.
Écrit par : solko | mercredi, 13 juillet 2011
Cher Solko, vous faites du Keith Haring, en quelque sorte, avec votre Illustrator : sobriété du trait, efficacité du message, simplicité chromatique. Mais vous êtes infiniment plus drôle (ceci dit sans aucun second degré). En tout cas, si vous vendez vos œuvres (et vous connaissez ma vénalité), j'achète dès à présent, avant que cela ne devienne, célébrité aidant, inabordable pour un misérable comme moi. Je compte faire une plus-value à la revente...
Puisse le Ciel vous entendre, mon cher Nauher. Mais pour l'heure, avec mes essais, mes épreuves tatonnantes je ne parviendrai pas même à nourrir mon chat. Je découvre en tout cas Keith Haring, tout arrive ...
Écrit par : solko | mercredi, 13 juillet 2011
solko
l'arbre est mis à nu par illustrator...et la dernière alcove est vide...tant pis pour illustrator il n'est pas si bon que ça...
Commentaires
:)
Écrit par : Michèle | lundi, 11 juillet 2011
Écrit par : Michèle | lundi, 11 juillet 2011
Écrit par : solko | lundi, 11 juillet 2011
(C'est bien, Illustrator ? Jamais essayé...)
Écrit par : Sophie K. | lundi, 11 juillet 2011
Écrit par : solko | lundi, 11 juillet 2011
Dans l'alcôve "tempest" : La terre s'est soulevée, fissurée. Les hêtres se sont arrachés à leur immobilité et ont glissé lentement le long du ciel. La lune a posé sa douceur maligne sur l’entrelacs des branches. Chaque élément a quitté son excès de solitude et tramé sans fin le chant tempêtueux.
Dans l'alcôve "winter" : Tout est devenu croupes hideuses sous l'éclat des couperets. La vie s'est en allée, embaumée d'épices, toutes têtes mises de côté. De l'aube au couchant la mort a bourdonné, claqué, clicqueté, dans les arbres étêtés.
Dans l'alcôve "désert" : Il a marché, cligné des yeux, marché vers les lointains cendreux. Il a prié, il a marché. A pas lents, pieds nus, tête nue. Sans gloire et sans escorte. Il a cheminé à contre-nuit, a passé au ralenti, et c'était toujours la même image en noir et gris, la même image au ralenti.
Écrit par : Michèle | lundi, 11 juillet 2011
Écrit par : solko | lundi, 11 juillet 2011
Et Alceste ? Il en pense quoi d'Illustrator ?
Écrit par : frasby | lundi, 11 juillet 2011
Écrit par : alceste | lundi, 11 juillet 2011
Écrit par : Michèle | lundi, 11 juillet 2011
Écrit par : Benoit | mardi, 12 juillet 2011
Écrit par : Benoit | mardi, 12 juillet 2011
Écrit par : solko | mercredi, 13 juillet 2011
Écrit par : nauher | mercredi, 13 juillet 2011
Écrit par : solko | mercredi, 13 juillet 2011
Écrit par : laurence | mercredi, 13 juillet 2011
Les commentaires sont fermés.