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mercredi, 22 avril 2009

On parle de Béraud...

Conférence LA FORCE DU TEMPS, par Roland Thevenet : On parle de Béraud, vendredi prochain (à partir de 18 heures) aux XANTHINES, 33 rue de Condé, dans le deuxième arrondissement : Henri Béraud (1885-1958) est l'un des auteurs les plus importants de la génération des "enfants humiliés" (l'expression est de Georges Bernanos, son conscrit). C'est l'occasion, dans une lecture contemporaine et dépassionnée, de découvrir (ou de rédécouvrir) une œuvre foisonnante et méconnue : des poèmes, plusieurs reportages européens, de nombreux romans historiques, et des récits de souvenirs, où se trouvent les pages parmi les plus belles de celles qui furent écrites sur Lyon.

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06:10 Publié dans Des Auteurs | Lien permanent | Commentaires (25) | Tags : béraud, xanthines, la force du temps | | |

Commentaires

Nous serons en pensée aux Xanthines le 24.
Quels chanceux les Lyonnais !

Écrit par : michèle pambrun | mercredi, 22 avril 2009

Quel hasard ! Il se trouve que je serai à Lyon vendredi .

Je compte passer ma journée aux Archives Municipales pour y travailler à la résurrection du "frère cadet" de Béraud.

Écrit par : Dominique R | mercredi, 22 avril 2009

Excellente initiative, que ne suis-je lyonnais ! Au soir du 24, assurément, la rue de Condé ne sera pas la rue des c...
:)

Écrit par : Le photon | mercredi, 22 avril 2009

@Solko: Je ne pourrai finalement y assister. Je vous ai toutefois envoyé un mail. Il y est question aussi d'un roman de Béraud particulièrement émouvant, si bellement empassionné qu'il mest très difficle d'en parler sur un écran...

A bientôt...

PS: Ah j'ai lu vos billets pris en retard mais il faudra plus de temps pour commenter le cas échéant. cependant merci pour les extraits de Cailloix, j'ai bon espoir de piquer chez l'ami restif Babel dont avait parlé Pascal - je l'en remercie une fois encore...

Écrit par : tanguy | jeudi, 23 avril 2009

PS: Ah merci aussi pour la photo... C'est assez émouvant en fait.

Écrit par : tanguy | jeudi, 23 avril 2009

@ Dominique : Une occasion en or de se rencontrer.

Écrit par : solko | jeudi, 23 avril 2009

Ce qui m'aurait plu, si j'avais pu venir, c'est que d'une façon ou d'une autre Béraud parlera de vous demain, et j'aurais aimé vous rencontrer en vrai. Heureux ceux qui seront là, pour Béraud et pour vous! (c'est pas un gentil commentaire de groupie, ça?! Bonne journée Solko!)

Écrit par : Sophie L.L | jeudi, 23 avril 2009

Je viendrai peut-être (?) : ce sera une conférence en bonne et due forme ou une lecture d'extraits? je n'ai pas bien compris...

Écrit par : Myriam | jeudi, 23 avril 2009

@ Myriam : C'est une conférence sur l'oeuvre de Béraud. En bonnet Duforme (comme me l'avait écrit, un jour, un élève).

Écrit par : solko | jeudi, 23 avril 2009

@ Sophie : C'est parfait.

Écrit par : solko | jeudi, 23 avril 2009

Zut j'espérais que vous viendriez en chapeau haut-de-forme... Je suis déçu!

Écrit par : tanguy | vendredi, 24 avril 2009

Bonne conférence à vous.

Écrit par : Pascal Adam | vendredi, 24 avril 2009

Oui Solko, bonne conférence. Trac et concentration. On pense à vous.

Écrit par : michèle pambrun | vendredi, 24 avril 2009

Horreur! Solko va rater OL-PSG!!! Le béraldisme est un humanisme et un sacerdoce. J'admire une telle abnégation!

Écrit par : tanguy | vendredi, 24 avril 2009

Merci à toi Solko d'avoir répondu à notre invitation d'une manière non seulement brillante mais avec une passion et une force de conviction encore plus forte en présence réelle que par l'écrit. Solko est un homme de théâtre et ça se voit.
Les participants qui ne connaissaient pas Béraud auront fait hier une précieuse découverte.
Mais notre modeste bistrot qui offre un cadre intimiste chaleureux est malheureusement un peu petit et heureusement que vous n'êtes pas tous venus.
Pour accentuer les regrets de Sophie la groupie, je précise que Solko ressemble à Jacques Weber.

Pour Le Photon, la rue de Condé n'est peut-être pas celle des c... mais bien celle des condés dont le commissariat est en face de notre bistrot.

Écrit par : Rosa | samedi, 25 avril 2009

Rosa, merci! mais chez moi c'est depuis longtemps tout tapissé de photos de Solko: Solko à six mois nu sur une peau de bête, Solko à cinq ans avec son seau pour la plage, Solko à l'école, Solko et sa première guitare, Solko sur les marches du festival de Cannes, bref!!! et ce matin je scotche dans la cuisine Solko aux Xanthines! je vous embrasse Rosa!
(vous aussi Solko, toujours à faire son intéressant, quand même!)

Écrit par : Sophie L.L | samedi, 25 avril 2009

@ Rosa : vous êtes au 33, et eux ? au 22 ? Oui, je sais, elle est facile... Tiens, justement, j'étais hier à La Motte (Var), là où a eu lieu une polémique (à multiples rebondissements) entre le curé et un bistrotier dont l'établissement se trouve à moins de 30 m du perron de l'église, ce qui mettait le premier en droit d'exiger le déplacement du bar, voire sa fermeture, pour préserver la morale des paroissiens (nota : le bar est toujours ouvert, au même endroit, ça lui a fait une bonne publicité à peu de frais) ; et si, pour préserver la sécurité des citoyens, on demandait la même chose pour les commissariats ?

Écrit par : Le Photon | samedi, 25 avril 2009

@ Sophie :
Oui. Et finalement, ce que je vois de la cuisine est plus sympathique du neuvième étage, comme vous l'avez dit vous-même un jour : une vue nettement plus dégagée, plus céleste...

Écrit par : solko | samedi, 25 avril 2009

@ Le Photon :
Clochemerlien au possible, votre histoire. Et c'est arrivé quel jour historique ? Il faudrait en effet pouvoir exiger la fermeture des commissariat se trouvant à moins de 30 mètres des bistrots. Mais d'un autre côté, pourquoi faire tant de publicité aux condés...

Écrit par : solko | samedi, 25 avril 2009

@ Rosa : Belle expérience pour moi aussi, tu t'en doutes.

Écrit par : solko | samedi, 25 avril 2009

@Rosa : j'ai regardé les photos de Solko chez Sophie (bel effet dans la cuisine d'ailleurs) et je dirais que c'est plutôt Jacques Weber qui ressemble à Solko.
Une suggestion pour les Xanthines : vous entourer des compétences d'un ou d'une qui saurait installer retour vidéo de la conférence. Comme ça y aurait pas que Sophie qui verrait Solko. :-)

Écrit par : michèle pambrun | samedi, 25 avril 2009

Michèle, seul problème je ne suis pas une groupie et ne pense pas trop à ce genre de choses;
ado j'avais sur mes classeurs une photo du buste du grand Condé !

Le Photon, il y a non seulement une paroisse à côté des Xanthines mais une aumônerie avec laquelle nous partageons le numéro 33.
je ne pense que notre équipe ( des mamies ou presque) menace la moralité de tous ces bien-pensants.
Officiellement nous ne vendons pas de vin, juste de la bière.
Enfin il y aura une petite exception pour PAG (Pierre Autin-Grenier) qui fera une lecture jeudi... car je connais son péché-mignon, vraiment très mignon.

Écrit par : Rosa | samedi, 25 avril 2009

@ Solko : Deux rectifications à mon histoire. Tout d'abord, ce ne sont point 30 mais 40 mètres qu'impose un arrêté préfectoral de 1978 (reprenant une loi nationale), distance valant également pour les écoles, les cimetières (!) et les prisons dans les villes de moins de 10.000 habitants ; ensuite, le pauvre curé n'y était pour rien, l'affaire a éclaté lors du renouvellement de la licence du débit de boisson, les Douanes et le procureur de la République y étant opposés. Je rends donc à César ce qui lui appartient. Là où ça devient franchement pagnolesque, c'est de voir que le président du tribunal de grande instance de Draguignant a conclu, le 21/02/07, que la distance réglementaire était respectée, considérant qu'il faillait la mesurer non "à vol d'oiseau" mais "à pied de piéton", en incluant la distance nécessaire pour emprunter le passage protégé le plus proche, ce qui donne très exactement... 40 mètres et 3 millimètres :)

Écrit par : Le Photon | samedi, 25 avril 2009

Rosa, plaisanterie à part, ce que j'évoquais c'était la possibilité qu'offre le net de diffuser au delà des seuls présents, un moment important de rencontre.
Comme sur le site du Festival des Etonnants Voyageurs de Saint-Malo, ou celui du Salon du livre de Bron. Ou le site de François Bon, sur lequel j'ai ainsi assisté à des lectures.
J'en parle d'autant plus tranquillement et sans vergogne que je n'ai pas de blogue.
C'était, au-delà de l'envie réelle de partager ce moment, un clin d'oeil à votre travail aux Xanthines et un écho à l'humour de Sophie.

Écrit par : michèle pambrun | samedi, 25 avril 2009

Béni soit le hasard qui me permit d'être un de ces "happy few" !
Je le redis en public : il parle aussi bien qu'il écrit . Et ce n'est pas peu dire .

Écrit par : Dominique R | dimanche, 26 avril 2009

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