lundi, 23 février 2009
Vente Bergé Saint-Laurent
Lot spécial hors catalogue : Une machine royale à foutre en l'air la gauche. Mise à prix 3 euros. Tout doit partir.
Cela intéresse quelqu'un ? Un effort, allez : Une machine à perdre en parfait état d'marche, vous n'allez pas me la laisser sur les bras. Elle a servi qu'une fois. La p-tite dame au troisième rang ? Le monsieur à ma droite ? 3 euros cinquante si vous voulez...
19:27 Publié dans Des nuits et des jours... | Lien permanent | Commentaires (5) | Tags : politique, ps, ségolène royal, vente bergé saint-laurent |
Commentaires
Cà m'étonnerait qu'elle n'ait servi qu'une fois ! ... (wouarf !)
Écrit par : simone | lundi, 23 février 2009
Je vous l'échange Solko contre une magnifique machine à lol, qui a abondamment servi mais reste en parfait état de fonctionnement (hélas).
Moins sérieusement, ah mais votre gerbe d'or, votre Béraud, formidable vraiment!!! J'en ai recommandé la lecture à la patronne de l'auberge Rabelais où j'étais très bien hier midi, seul dans une alcôve, avec le Lyon disparu du XIXème...
Merci encore!!!! Il sera question de cette lecture d'ici peu sur VB, quelques extraits surtout et puis des réflexions brillantes évidemment...
Écrit par : tanguy | lundi, 23 février 2009
Votre estimation de ma gracieuse personne est carrément insultante. Je vous donne rendez-vous tantôt sur le pré et nous règlerons ça au canon de soixante quinze.
Écrit par : La Madone des déshérités | lundi, 23 février 2009
Votre titre m'a trompée: je croyais avoir des infos sur la vente de St Laurent à votre façon.
En plus d'être romantique, vous êtes un impénitent humoriste!!!!!!!!!!!
Je suis MDR
Écrit par : La Zélie | lundi, 23 février 2009
Savez-vous que cette machine de merde s'est réjouie de la réincart;cération de Jean-marc Rouillan, après 22 ans de tôle, pour avoir seulement donné une interview ?
Cette machine est immonde. Tout simplement. Elle mérite bien plus que notre mépris...
A la casse, I z'en voudraient même pas...Tout est faux là-dedans. Aucune pièce d'origine.
Écrit par : B.redonnet | mardi, 24 février 2009
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