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« Chronique de Loulou, du nouveau président des Usa, et de la vie derrière des barreaux | Page d'accueil | Todd et Obama »

mercredi, 21 janvier 2009

Le meilleur des mondes

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Si les signes vous trompent, combien vous tromperont les choses signifiées...

06:23 Publié dans Lieux communs | Lien permanent | Commentaires (9) | Tags : obama, usa, politique, amérique, actualité | | |

Commentaires

Il pourra difficilement faire plus mal que le précédent.
Pardonnez l'expression mais j'ai l'impression qu'on lui a refilé une patate chaude ... Je serais fort étonnée qu'il effectuât 2 mandats or il en faudrait combien pour redresser la situation dont il vient d'hériter ?

Écrit par : simone | mercredi, 21 janvier 2009

Bienvenue dans le monde merveilleux des bisounours.

Écrit par : Zabou | mercredi, 21 janvier 2009

Progress, plutôt process...

Écrit par : unevilleunpoeme | mercredi, 21 janvier 2009

@ Simone : Il a hérité d'une situation qui a aussi été créé par le mari d'Hillary qu'il place au commande des Affaires Etrangères, très bien. D'ailleurs il n'a pas hérité, il a été élu parce qu'il se présentait. Le mari d'Hillary pour lequel je n'ai pas eu non plus de symapathie. Pas davantage, je vous rassure, que pour les deux Bush. Ni pour lui. Moi, la question que je pose est la suivante: Sommes-nous fait pour avoir de la sympathie pour un président américain ? C'est quoi ce délire ?

Écrit par : solko | mercredi, 21 janvier 2009

@ Zabou.
A une époque, j'allais assez souvent aux USA. Et j'ai souvent entendu des Américains dire : "French people... Oh, they are so nice...."
Je ne traduirais pas le mot "nice", ou alors on dira "gentils" en effet. Si les medias français sont en train de nous la jouer Bonne Nuit les Bisournous, c'est pas le moment de s'endormir ! Moi, le Père Noel, qu'il soit blanc ou noir, je m'en fous, voyez, je sais ce que c'est que le Père Noël ...

Écrit par : solko | mercredi, 21 janvier 2009

@ Solko - Etes vous sûr que les français ont autant de sympathie pour un président américain (blanc ou noir, peu importe) Ce sont les médias à la solde de qui vous savez qui nous rebattent les oreilles avec ça ! Pendant que l'on a les yeux braqués en direction de l'extérieur, on oublie (un temps) ce qui se passe sur place. C'est la politique du détournement d'idées. (A supposer qu'il en reste encore ...) Bien qu'actuellement notre Mégalo (avec un grand M puisqu'il n'a que cela de grand) commence à en trouver ombrage ... Si cela devait durer 100 jours il virerait carrément enragé !

Écrit par : simone | jeudi, 22 janvier 2009

Avec une bonne dose d'ironie, l'inversion du génitif marche aussi.

Écrit par : Pascal Adam | jeudi, 22 janvier 2009

Euh, je cause du titre du billet.

Écrit par : Pascal Adam | jeudi, 22 janvier 2009

Comment en sommes nous arrivés là ? Par ce gout immodéré pour le colifichet, le gadget, ces babioles qui signent l'abandon de la souveraineté collective au profit de l'envie individuelle du "bonheur". Nous consommons et ainsi prouvons que nous ne nous endurons que consommables nous même. Chez Orwell cette notion est absente. nous ne sommes donc pas encore arrivés en 1984. Même si pour nous assurer que nous y abordons, il suffit en effet de voir que le langage, le verbe ne sont plus que les prostitués du "bonheur" par l'ivresse de l'oubli.

Écrit par : Lephauste | jeudi, 22 janvier 2009

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