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jeudi, 19 mars 2009

De manif en manip

 

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Les professionnels de la manif ? de la manip ?

Z'ont bien une tête de damnés de la Terre, trouvez pas ?

Les seuls à être payés un jour de grève,

Ne l'oublions pas.

 

22:44 Publié dans Des nuits et des jours... | Lien permanent | Commentaires (12) | Tags : grève, syndicats | | |

Commentaires

Mais peut-être reversent-ils leur journée de salaire à leur syndicat. Et je n'ai pas le sentiment qu'il y ait foule au portillon pour prendre la tête d'un syndicat, lequel n'est rien sans les syndiqués rappelons-le ; alors peut-être que si ça ne va pas dans les syndicats c'est que nous y sommes aussi pour quelque chose.

Écrit par : michèle pambrun | jeudi, 19 mars 2009

Tout ce qui brille n'est pas d'or.
A moins que cet éclat ne soit un nouveau soleil ?

Écrit par : Zabou | vendredi, 20 mars 2009

Sans doute nous faut-il inventer d'autres lieux, aussi. Où puissent se dire le travail, les conditions, et le conditionnement. Dire le constat de peine pour n'importe quel poste de travail.

Écrit par : michèle pambrun | vendredi, 20 mars 2009

Michèle, j'adhère... à vos propos.

Écrit par : Rosa | vendredi, 20 mars 2009

Franchement, Solko!!!

Écrit par : Sophie L.L | vendredi, 20 mars 2009

Tout à l'heure, sur la route, revenant d'une petite école de campagne sur les côteaux de la Bigorre, j'entendais sur France Culture des enseignants-chercheurs donnant des explications très claires sur les conséquences qu'aurait la LRU et indiquant les formes que prendra leur lutte à partir de lundi 23 mars, si le gouvernement s'obstine à ne pas les entendre : il y aura " en place de Grève, une ronde infinie des obstinés" jour et nuit, nuit et jour. Ils indiquaient aussi les formes diverses de protestation qu'ils inventaient : des professeurs qui poussent un cri bref pendant un cours ; les activités qui s'arrêtent inopinément pendant une minute ; des chaînes humaines autour d'un bâtiment, intégrant des habitants du quartier (La Villette par ex) etc.

Écrit par : michèle pambrun | vendredi, 20 mars 2009

@ Sophie : Franchement quoi ? Vous faites confiance à ces leaders syndicaux, vous ?

Écrit par : solko | vendredi, 20 mars 2009

Solko , franchement je ne fais confiance à personne! si vous saviez à quel point!
mais le coup de leur tête pour moi c'est aussi nul et non avenu que le coup de la taille du président de la république.

Écrit par : Sophie L.L | vendredi, 20 mars 2009

@ Michèle : Je ne peux plus être solidaire avec cette profession, qui n'est vertueuse que quand ses intérêts sont touchés, vous savez. J'ai longtemps, à une époque, attendu que les enseignants chercheurs se bougent aussi un peu. Ces gens-là ne défendront jamais que leurs statuts. Cela dit, un cri bref pendant un cours, c'est en effet le genre de lutte qu'ils sont capables de mener, car en ces temps cruels, le ridicule ne tue plus.

Écrit par : solko | vendredi, 20 mars 2009

@ Sophie : Après la langue de bois, la gueule de bois ! Voyez, moi non plus, je ne fais plus confiance à grand monde dans l'univers politico-syndical !

Écrit par : solko | vendredi, 20 mars 2009

@ Solko : peut-être pour les enseignants-chercheurs mais, sur ce coup-ci, il me semble qu'ils sont autant remontés contre le projet de masterisation des concours de l'enseignement.

Je me trompe peut-être en leur accordant ma confiance mais j'en ai parlé avec deux d'entre eux, de bords bien différents, et le changement de leur statut n'était vraiment pas leur unique motivation.

Écrit par : Zabou | vendredi, 20 mars 2009

@ Zabou : Je souhaite que vous ayez raison

Écrit par : solko | vendredi, 20 mars 2009

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