jeudi, 29 janvier 2009
Jour de grève
08:39 Publié dans Des nuits et des jours... | Lien permanent | Commentaires (15) | Tags : sarkozy, politique, grève, actualité | 
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08:39 Publié dans Des nuits et des jours... | Lien permanent | Commentaires (15) | Tags : sarkozy, politique, grève, actualité |
Commentaires
Zabou (bloquée chez elle)
Écrit par : Zabou | jeudi, 29 janvier 2009
Écrit par : PAG | jeudi, 29 janvier 2009
Écrit par : Albertine | jeudi, 29 janvier 2009
Écrit par : simone | jeudi, 29 janvier 2009
Écrit par : Porky | jeudi, 29 janvier 2009
Écrit par : réponse à Porky | jeudi, 29 janvier 2009
"Plan sentimental de la ville de Paris", on a beau rêver, on ne le trouvera pas en bibli (en grève, c'est pendant la manif qu'on s'informe des probabilités de la présence dans les rayons de tel auteur et pour Béraud c'est La Gerbe d'Or et rien d'autre, même plus Vitriol de Lune, alors Plan sentimental...vous pensez !) et le dernier bouquiniste a déserté notre bonne ville.
Mais le détour par la bibli n'était qu'une mise en bouche. On tient ici quelque chose qu'on a repéré. Deux nouvelles.
"Le Dernier Franc" & "Un Pascal dans la neige".
Il y a la raison officielle du jour de grève et puis la vraie, la profonde, le bonheur du temps pour soi avec le cadeau immense qu'on se fait. Des lectures dont on ne savait pas qu'elles se feraient.
Ces deux nouvelles, on les a lues avec bonheur et on les laisse faire leur oeuvre en nous ; on y reviendra, comme on revient sur les textes qui nous disent des choses essentielles, sur nous, sur l'époque qui nous a faits et qu'on ne "peut comprendre qu'avec beaucoup de littérature".
Elles nous amènent, ces deux nouvelles, (parce que le travail commencé en nous, demande à la fois nourriture continue et retrait - du désir - progressif) sur des chroniques intitulées "Les Anciens Francs", qu'on parcourt et sur quoi on reviendra aussi, chacune nécessitant une halte prolongée.
Mais celle dont on peut immédiatement parler, c'est la première. "La poésie et la monnaie". La fascination à la lire et l'envie de citer :
"Il fut un temps où la valeur (d'un) signifié s'exprimait exactement dans son signifiant : la valeur marchande d'une pièce équivalait à peu près à la valeur attribuée au métal dont on la frappait (cuivre ou argent). Exista-t-il jamais, hors du temps mythique, une période où la forme d'un mot garantît absolument son sens ? Autrement dit, où la parole fût d'or ? "
Écrit par : michèle pambrun | jeudi, 29 janvier 2009
Écrit par : Sophie L.L | jeudi, 29 janvier 2009
Écrit par : simone | jeudi, 29 janvier 2009
Écrit par : solko | jeudi, 29 janvier 2009
Écrit par : solko | jeudi, 29 janvier 2009
Écrit par : Tang | jeudi, 29 janvier 2009
Écrit par : romain blachier | vendredi, 30 janvier 2009
Pour La Cloche
jugement rendu le 10 février.
à suivre....
Écrit par : Rosa | samedi, 31 janvier 2009
Écrit par : solko | dimanche, 01 février 2009
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