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vendredi, 19 juillet 2013

Vacances

On annonce l'arrivée de grosses canicules. C'est le temps de se mettre au frais. Je vous souhaite un bel été et vous dis à bientôt, pour d'intrépides et nouvelles aventures

RUBENS LYON.jpg

Rubens  - Entrevue de Henri IV & de Marie de Médicis à Lyon, Louvre, détail

19:59 Publié dans Sur le vif | Lien permanent | Commentaires (7) | | |

Commentaires

A bientôt Solko. Merci pour ce tableau !

Écrit par : Sophie | samedi, 20 juillet 2013

Villégiature à hauteur de vos espérances !

Écrit par : Bertrand | samedi, 20 juillet 2013

Repose-toi bien ! :)

Écrit par : Sophie K. | samedi, 20 juillet 2013

Bonnes vacances, je parie que vous n'allez pas en Hollande, trop pays bas.....:)

Écrit par : patrick verroust | samedi, 20 juillet 2013

Bel été à vous aussi Solko !

Écrit par : Michèle | samedi, 20 juillet 2013

C'est l'été et certains rafraîchissent leur nuque.

J'aime beaucoup, dans les Notules dominicales de Philippe Didion, la rubrique "Poil et plume".

Voici dans ce registre, deux textes, l'un de Huysmans, l'autre de JL Bailly, (récemment évoqués tous deux à propos de décomposition de cadavres)

J.-K. Huysmans :
http://livrenblog.blogspot.fr/2007/09/huysmans-chez-le-coiffeur.html

J.-L. Bailly :
Poil et plume.
"Devant son miroir, Hugues Pecquenard s’avisa que sa barbe était un peu plus longue à gauche qu’à droite. Il la peigna pour s’en assurer, et la raccourcit de quelques millimètres du côté gauche. Mais elle lui paraissait plus longue maintenant à droite. Il entreprit de la mesurer avec une règle graduée. Expérience délicate : des poils s’ingéniaient à se courber, se rétracter, certains au contraire se tenaient bien raides pour compliquer l’opération. Enfin, convaincu que son œil ne le trompait pas, Pecquenard raccourcit un brin le côté droit, après quoi l’autre lui sembla plus long à son tour. Quand la barbe entière fut rasée, il ne lui resta que la moustache; et, quoique ayant toujours professé que la moustache seule était ridicule, il dut convenir qu’à son visage à lui, cela n’allait pas mal. Voilà comment il devint ce que vous le voyez aujourd’hui, au point que vous avez oublié (si vous le connaissez depuis longtemps) qu'il ait pu jamais être différent.
La leçon lui servit. Il procéda de la même manière pour ses livres, ses disques, ses tableaux aux murs. Sa femme et ses enfants aussi - qu'il massacra, n'épargnant que le chien." (Jean-Louis Bailly, "Table rase").
IN NOTULES DOMINICALES n° 587, de ce dimanche 21 juillet.

Écrit par : Michèle | dimanche, 21 juillet 2013

L'art de transformer une banale coupe de cheveux en une douloureuse épreuve ! Tordant, le texte de Huysmans.

Écrit par : Julie des Hauts | lundi, 29 juillet 2013

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