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jeudi, 31 janvier 2013

La vie en rose-Brouillard

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Eugène Brouillard, Rue des Pierres plantées à Lyon. Toile à admirer parmi d'autres au musée Paul Dini, à Villefranche, où se tient jusqu'au 28 février encore l'exposition Lyon et l'Art moderne, 1920-1942.

06:44 | Lien permanent | Commentaires (4) | Tags : brouillard, peinture, paul dini, lyon, culture | | |

Commentaires

Oh qu'c'est beau...

Écrit par : Sophie K. | jeudi, 31 janvier 2013

Ah ! j'adore ce tableau.

J'ai recherché chez Marcel Rivière, euh pardon dans Les rues et légendes de Lyon, si on parlait de cette rue des Pierres plantées. Et non il ne peut pas s'y parler de toutes les rues :)

En tout cas j'aime cet endroit qu'il me semble connaître... et j'aimerais bien avoir ce tableau sous les yeux (tous les jours:)
J'aimais beaucoup aussi "Les moissons" (1922) de ce dessinandier de la Fabrique de soie.

Écrit par : Michèle | jeudi, 31 janvier 2013

Brouillard a illustré "la vie à Lyon de 1900 à 1937" de Pétrus Sambardier. Un livre dont nous avons parlé ensemble sur ce blog. Un dessin de ce même lieu, pas très loin de son domicile, y illustre page 160 l'article "les masures de la grande côte".
Quant aux pierres plantées, c'est le nom que prend, à son sommet, la montée de la grande côte. Si Marcel Rivière n'était pas devenu si paresseux, il y aurait un billet sur les rues de lyon...

Écrit par : solko | vendredi, 01 février 2013

C'est donc là que je l'avais vu !

A la fin de son article, Pétrus Sambardier écrit :

Pour neuf cents francs, le prix de deux pardessus ou d'un modeste appareil de T.S.F., la Ville a pu s'offrir deux maisons de la Grande-Côte. Sans être très fort en calcul, on peut faire à peu près le compte de ce que coûterait l'acquisition de toute la Côte qui, chacun le sait, comprend cent-moins-un numéros de chaque côté.
Pourquoi ne pas entreprendre bientôt ce travail ? Les amateurs de pittoresque y perdront leurs visites aux marchands de bric à brac qui exposent mille parafutes, de vieux panaires, des livres d'écolier, des grôles et des tableaux où l'on voit "Galibardi" monter à l'assaut, Gambetta prononcer un discours, ou Badinguet en caricature aux couleurs jaunies.
Les amateurs de pittoresque y perdront quelques satisfactions, mais les hôpitaux marqueront peut-être un peu moins d'entrées d'enfants étiolés.
Ah ! cela serait vite fait si ce quartier possédait des conseillers municipaux influents, et approchant assez de M. le Maire pour lui rappeler que la Grande-Côte est dans son arrondissement.

Écrit par : Michèle | vendredi, 01 février 2013

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