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dimanche, 16 septembre 2012

Fin de vie

Les gouvernants n’ont plus que de la parlotte, et l’influence dont ils jouissent dans les medias, pour encadrer les événements et se donner l’impression qu’ils ont maté l’opinion. Conduit par de si piètres capitaines, ce pays qui confond égalité et non discrimination des minorités s’enfonce dans un marasme intellectuel qui tient autant de la boutasse que du cul-de-sac, pour ne pas dire une sorte de mort identitaire. Ici, la crise est surtout culturelle.

J’entendais tout à l’heure Vincent Lindon affirmer que la question de l’avortement avait été la grande affaire du septennat de Giscard, celle de la peine de mort de celui de Mitterrand, et que la question de la fin de vie serait celle du quinquennat de l’actuel «locataire de l’Elysée » (comme le charlot se définit lui-même, le propriétaire en étant, dit-il, le peuple… Ah ! ah! ah!)

Fin de vie. On ne saurait mieux dire. Le dessin est à lire de droite à gauche...

Hollande Poire Morchoisne ces legumes qui nous gouvernent 22x42 1250.jpg


22:05 | Lien permanent | Commentaires (6) | Tags : hollande, politique | | |

Commentaires

je ne sais pourquoi ces dessins me font immanquablement penser à la fameuse pub apple: " nous, c'est la pomme, vous, c'est la poire" ^^

Écrit par : gmc | lundi, 17 septembre 2012

Caricature des frères Morchoisne...

Louis-Philippe était, au moins, plus national que Flanby, ne serait-ce que par son patronyme.

Écrit par : Jérémie | lundi, 17 septembre 2012

Louis Philippe n'était pas du même temps. La différence essentielle ne réside-t-elle pas là ?

Écrit par : solko | lundi, 17 septembre 2012

Et si à l'inverse de Louis-Philippe caricaturé par Daumier, Hollande n'était pas justement une poire devenue président. Louis-Philippe Philippe, c'est l'inverse.

Écrit par : Jérémie | lundi, 17 septembre 2012

Je suis bien contente d'apprendre que je suis propriétaire de l'Elysée, j'attends mes loyers.

Écrit par : Julie des Hauts | lundi, 17 septembre 2012

EN guise de louers, nous risquons de payer taxes foncières et taxes d'habitation à regonfle, comme dirait Guignol. C'est cher, pour du vent.

Écrit par : solko | lundi, 17 septembre 2012

Les commentaires sont fermés.