mercredi, 08 février 2012
La Gazette de Solko n°17
00:05 | Lien permanent | Commentaires (7) | Tags : politique, assemblée nationale |
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Commentaires
Avec le froid, les laryngites font des ravages, les rabatteurs d'électeurs, les chiens de garde, ont la voix nasi llarde, ils en jouent en rouets. il ne faut pas confondre les valeurs de l'humanisme et les voleurs de la république, ne pas confondre au sens de dévoiler leurs intentions sous peine de devoir leurs présenter des excuses.
Écrit par : patrick verroust | mercredi, 08 février 2012
La question du jour : très belle illustration de son essence spectaculaire.
Écrit par : Bertrand | mercredi, 08 février 2012
Ô ami Solko, va voir par là le blog de Jane, qui me réjouit régulièrement les neurones et les yeux :
http://journaldejane.wordpress.com/2012/02/09/bullshit/
Écrit par : Sophie K. | vendredi, 10 février 2012
J'ai vu. Le plus désolant peut-être, et ce qui rend tout espoir vain, c'est de constater que tout cet anti-guéantisme ou anti-sarkozisme ne servira qu'à mettre au pouvoir les hollandais, socialistes d'il y a 15 ans, qui ne valent pas mieux.... Mémoire si courte de l'opinion....
Écrit par : solko | vendredi, 10 février 2012
Oui. Ou alors, ceux qui pensent échapper au binaire se regrouperont en masse derrière le FN, et on sombrera dans la mouise encore plus profondément.
C'est l'histoire de l'arroseur arrosé : à force de supprimer les matières de réflexion dans les collèges et lycées depuis quarante ans, on a affaire à une population incapable de penser plus loin que le bout de son nez. Ne pas s'étonner, donc, de la voir devenir de plus en plus brutalement instinctive dans ses choix. Et ceci explique bien le recul de la démocratie, les choix substitutifs mis en œuvre dans certains pays d'Europe, ou la mise à l'écart de partis considérés comme dangereux (cf. le coup des 500 signatures), les élites se retrouvant piégées par leur propre politique.
Écrit par : Sophie K. | vendredi, 10 février 2012
A qui doit-on, depuis 81, la suppression des "matières de réflexion dans les collèges et lycées", la création des IUFM et surtout l'entrée massive de ce qu'on appelle pudiquement "le nouveau public", sans autre ambition que celle de "maintenir la paix sociale".
L'école a maintenu la paix sociale, à peu près, mais s'est vidé de tout contenu. Quand je pense à tous ces profs qui s'apprêtent à voter Hollande...
Écrit par : solko | vendredi, 10 février 2012
Tant que la "gauche" pratiquera le nivellement par le bas (et oui, Mitterrand fut un sacré niveleur), on ne pourra pas offrir une alternative aux élites non partageuses de la droite (au contraire, ça les renforce d'autant).
Écrit par : Sophie K. | samedi, 11 février 2012
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