dimanche, 13 juin 2010
Qui dit mieux ?
Une vraie bonne école pour tous, avec une moyenne de 63 élèves par instituteur. De quoi inspirer tous les gouvernements européens par ces temps de pénurie budgétaire. C’était en Allemagne, en 1916.
20:14 Publié dans Sur le vif | Lien permanent | Commentaires (3) | Tags : politique, europe, luc chatel, éducation nationale |
Commentaires
Le compte y est, il y en a bien soixante-trois.
Peut-être l'instituteur leur lisait-il Anatole France, "Le Crime de Sylvestre Bonnard", par exemple ; et l'un des soixante-trois garda-t-il en mémoire tout au long de sa vie cette phrase : "Je craignais ses remontrances, ses railleries, ses objurgations, ses larmes."
Écrit par : Michèle | dimanche, 13 juin 2010
63 élèves... et que des garçons ! Avec 63 petites terreurs, bonjour la pagaille !
Je ne connais pas "Le Crime de Sylvestre Bonnard", mais j'espère en tout cas que leur maître leur lisait Anatole France plutôt que "La guerre de boutons" !
Écrit par : Benoit | mercredi, 16 juin 2010
@ Benoit : Tu connais en tout cas l'incipit des "Dieux ont soif". Très beau souvenir pour moi également.
Écrit par : solko | mercredi, 16 juin 2010
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