vendredi, 01 janvier 2010
Pont La Feuillée (2)

Il suffisait de passer le pont ...


Et donc, bonne année à toutes et à tous.
00:40 Publié dans Des nuits et des jours... | Lien permanent | Commentaires (19) | Tags : 2010 |
Commentaires
Écrit par : Feuilly | jeudi, 31 décembre 2009
Écrit par : Michèle | jeudi, 31 décembre 2009
Les ponts sont des endroits merveilleux (l'endroit de Grenoble, ma ville natale, que je préfère est le mitan du pont Saint Laurent au dessus des flots de l'Isère: j'y éprouve un sentiment de douce puissance et de liberté incomparable au sein de la cité).
Merci pour ces ponts, vos invitations, vos histoires et billets nourrissants.
Un nouveau cycle ravive toujours les espoirs que nous portons, j'aime à penser que nous traversons quelques ponts ensemble au fil des lectures et des adresses. Heureux espoirs pour cette nouvelle année!
Écrit par : Marie-Hélène | jeudi, 31 décembre 2009
Écrit par : Le Photon | jeudi, 31 décembre 2009
Écrit par : solko | vendredi, 01 janvier 2010
Écrit par : solko | vendredi, 01 janvier 2010
Très bonne année 2010 à vous aussi.
Écrit par : solko | vendredi, 01 janvier 2010
A bientôt. Et bonne année à vos lecteurs en effet, certains m'étant connus d'autres non. Michèle, puisque je vous ai - façon de parler -, bonne année à vous. Et de même, bonne année 2010, Marie-Hélène.
Écrit par : tanguy | vendredi, 01 janvier 2010
Écrit par : Porky | vendredi, 01 janvier 2010
Écrit par : Michèle | vendredi, 01 janvier 2010
Pour passer le Rhône, il faut être deux
Pour bien le passer, il faut savoir danser
Allons passe passe passe...
Que ce Nouvel An vous soit (pfff, je déteste les voeux)... mais le coeur qui est. Et dansons maintenant!
Écrit par : Ambre | vendredi, 01 janvier 2010
En marge, peut-être, des bouleversements en cours, mais discrètement partisan.
S'il approuva d'abord ce qui a cru bon de se nommer la Révolution nationale, il se démarqua tout de suite dans ses articles de la presse de Paris, mais aussi de l'esprit de la presse vichyssoise.
Sans contester la réalité d'une défaite qui n'était que trop certaine, il se refusait à imiter ceux, dit-il, « qui cèdent aujourd'hui à une passion singulière, qui est celle de l'humiliation, pour ne pas dire de la servitude ». Cela pour la presse parisienne."
http://www.academie-francaise.fr/immortels/discours_reception/cabanis.html
Écrit par : Erica | vendredi, 01 janvier 2010
Écrit par : solko | vendredi, 01 janvier 2010
Écrit par : solko | vendredi, 01 janvier 2010
Écrit par : solko | vendredi, 01 janvier 2010
Bien à toi pour la nouvelle année, Solko.
Écrit par : nauher | vendredi, 01 janvier 2010
Écrit par : calystee | vendredi, 01 janvier 2010
Mais c'est bien dans ce sens-là que je l'entendais aussi. L'eau du fleuve n'est plus la même, mais la personne qui traverse (ou qui se baigne, selon la formule exacte prononcée par HÉRACLITE D’ÉPHÈSE)non plus.
Écrit par : Feuilly | vendredi, 01 janvier 2010
beaucoup de plaisir à regarder encore et encore ces photos et tous mes voeux pour cette année 2010.
Écrit par : guillaume | lundi, 04 janvier 2010
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