dimanche, 06 avril 2014
Tournez manège
L’oiseau peintre a pris son envol, et moi qui avais l’habitude confortable de faire un billet rapide d’un coup de couper/coller dans un fichier word, je ne sais trop quoi dire ce soir. J’ai eu le temps durant cet hiver d’achever l’écriture d’un autre roman, un roman qui n’est pas de science fiction ni une légende, un roman de la tradition historique bien française, entamé il y a plus d’un an, et dont il va falloir que je m’occupe de lui trouver quelque éditeur ou autre. Je garde ça sous le coude, tandis que revient la saison des examens, des examens tournez manège et que j’ai l’esprit vide et l’être vacant.
Ce n’est pas la propagande politique qui va nous tomber dessus jusqu’aux Européennes qui va le remplir : les europhiles vont mettre le paquet, là aussi tournez manège. L’époque est terne. Il va falloir rebondir, comme ce petit personnage, qui aurait aussi fait un bon premier ministre, au point où nous en sommes, non ?
20:48 Publié dans Sur le vif | Lien permanent | Commentaires (4) | Tags : zébulon, pollux |