dimanche, 12 juin 2011
Telle une antithèse baroque
Frêle sont l’instant du bonheur,
Lourd, le lieu du malheur
Dans la durée comme dans l’espace
Mais constant l’un de l’autre
Arrimés, amarrés.
Traverses d’un seul corps, d’un seul âge.
Toi funambule
Du plein au vide,
Du vide au plein,
De l’un, malheur, de l’autre, bonheur.
22:41 Publié dans Des poèmes | Lien permanent | Commentaires (1) | Tags : antithèse, poésie, littérature, listeners |