lundi, 07 décembre 2015
Ramure
La ramure du dedans
Sur le voile blanc
Les brindilles du dehors,
Sur les arbres grands
Filaments via le carreau
Arabesques qui voltigent
Oh que ces entrelacs sont beaux
Dans le noir et blanc qui les figent
Se contenter de ce silence
De la grand’ place et de la pièce
Liens d’une automnale danse
Lieux d’une commune tresse
04:29 Publié dans Aventures post-mortem de la langue française, Des poèmes | Lien permanent | Commentaires (2) |
Commentaires
Lubię...
(C'est du polonais et ça n'a rien à voir avec "lubie":))
Écrit par : bertrand | lundi, 07 décembre 2015
Dziękuję
Écrit par : Solko | mardi, 08 décembre 2015
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