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samedi, 16 mai 2015

Pensées non sacrilèges (1)

Le pantacourt, qu'on voit de nouveau fleurir sur les trottoirs de nos cités, est non seulement une entorse ahurissante au bon goût et à l'esthétique, mais également une double insulte jetée à la face de l'humour comme à celle de l'étymologie et, ce faisant, un outrage porté à la comedia dell arte tout entière. 

Les catholiques français devraient prier pour leurs "frères musulmans" à qui leur religion n'interdit point de travailler le dimanche; au lieu de cela, ils se réjouissent de pouvoir acheter du chocolat chez l'arabe du coin, et bientôt tout ce que le temple de la consommation proposera dans les hangars de banlieue, dédiés par le Veau d'Or à leurs répétitifs et mornes divertissements.

L'esprit du 11 Janvier, comme disent les prêtres clownesques qui nous gouvernent, me possède si bien, qu'au moment de payer leurs impôts pour cette triste République, j'ai rêvé que je les jetais par les fenêtres, billet de 10 par billet de 10, et qu'un amas de gueux surgis de nulle part s'en emparaient. J'eusse préféré, je dois le dire, voir s'envoler ainsi ce pognon plutôt que de le voir prendre la route du Trésor (ha ha!) public...

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