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vendredi, 02 septembre 2011

Au prix de l'effroi

 

littérature

Habiter dans un vivant mensonge. 

07:34 Publié dans Des pièces de théâtre, Des poèmes | Lien permanent | Commentaires (2) | Tags : littérature | | |

Commentaires

C'est la maison abandonnée dont tu parlais ? Bravo ! Le seul truc que je reprocherais à Illustrator, c'est son côté trop lisse, trop "propre". Ça se sent moins dans les portraits (j'aime beaucoup ton Joyce).

Écrit par : Sophie K. | vendredi, 02 septembre 2011

En même temps, ce coté lisse vient du fait que je m'amuse à faire des dessins le moins lourd possible, avec un minimum de points d'ancrage (but de l'exercice) . J'essaierai de jouer avec d'autres aspects. Cela dit, ça reste un logiciel : avantage et désavantage, illusions aussi, dans le dessin comme dans tous les autres domaines, de la technologie. Joyce est content, n'en suis sûr, que tu l'aies distingué.

Écrit par : solko | vendredi, 02 septembre 2011

Les commentaires sont fermés.